Le 3 octobre dernier, j’ai publié un article dans lequel j’écrivais que les gouvernements se donnent actuellement tous « les pouvoirs nécessaires pour qu’ils puissent prendre le contrôle sur tous les aspects de vos vies, en vous retirant tous vos droits, ainsi que votre liberté de penser et d’agir. » J’ajoutais que « les gouvernements iront jusqu’à vous retirer l’accès à vos comptes bancaires et à toutes vos économies ». Ceci n’est pas une théorie de la conspiration puisque la Thaïlande vient de geler plus de trois millions de comptes bancaires, tandis que le Vietnam a récemment supprimé 86 millions de comptes bancaires soi-disant « non vérifiés ». Les gouvernements feront tout aussi pour faire taire toute forme de dissidence. Au Canada, le gouvernement a déposé le projet de loi C-2 qui prévoit une expansion des pouvoirs de surveillance et le projet de loi C-9 qui représente un élargissement significatif des pouvoirs fédéraux en matière pénale en matière d’expression, d’association et d’accès aux espaces publics. C’est sans oublier la mise en œuvre des programmes pilotes sur l’identité numérique, l’utilisation de l’intelligence artificielle au sein de l’appareil gouvernemental, ainsi que la création éventuelle d’un équivalent numérique du dollar canadien, aussi appelé monnaie numérique de banque centrale (MNBC).
Comme je l’écrivais sur le réseau social ✘, l’adoption de lois similaires et le développement d’une architecture de surveillance et de contrôle par l’entremise d’une identité numérique sont « synchronisés mondialement ». Les mêmes politiques se mettent en place partout à travers le monde, aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en France, en Norvège, en Islande, à Singapour, au Sénégal, aux Émirats arabes unis, en passant par la Corée du Sud, le Costa Rica et l’Ukraine. Comme je le rappelais sur Twitter/X, ce qui se déroule confirme le titre de mon article de 2019, “Vous n’aurez nulle part où vous cacher : les globalistes vous préparent l’Apocalypse 2.0”. Les alternatives possibles seront rendues illégales.
La Russie impose à son tour l’utilisation d’une application d’identification numérique publique sur tous les appareils. En vertu d’un nouveau mandat qui est entré en vigueur en septembre, tous les smartphones, tablettes et appareils similaires vendus en Russie doivent être préchargés avec une plateforme d’identité numérique soutenue par l’État. Cette application tout-en-un est conçue pour consolider les services gouvernementaux, les outils financiers, la messagerie et l’identification numérique dans une interface unique, élargissant considérablement le rôle des logiciels liés à l’État dans la vie quotidienne. La Douma d’État russe a adopté le 10 juin une loi habilitante, décrivant les plans visant à consolider les services publics et les services commerciaux au sein de la nouvelle plateforme.
Le média indépendant Meduza a souligné que le projet suscite des inquiétudes quant à la surveillance et au contrôle des contenus, notamment compte tenu des liens de longue date de VKontakte avec les autorités russes. Les responsables continuent de présenter l’initiative comme une commodité pour les citoyens, promettant une intégration plus étroite avec le portail Gosuslugi et un moyen plus rationalisé d’interagir avec les institutions publiques. Mais cette décision représente également une consolidation spectaculaire des données, de l’identité et de la communication numérique sous la surveillance de l’État, ravivant les préoccupations de longue date en matière de confidentialité dans un pays où le contrôle numérique centralisé n’a cessé de s’étendre.
Je partage donc ci-dessous un article publié par The WinePress, intitulé “Russia Pilots Digital ID In All-In-One App Called MAX Designed To Mimic China’s WeChat”. The WinePress est un site internet d’actualités et de ministères chrétiens. Il rapporte l’actualité mondiale sur divers sujets. ◼
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs AuthorsDen et de la Nonfiction Authors Association (NFAA) aux États-Unis. Il adhère à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).





En ce moment je subis ce problème avec ma banque, ma conseillère a bloqué ma carte et les rejets commencent à s’accumuler. Je ne pourrai plus faire le plein de carburant pour mon véhicule et vivre comme je le voudrais.
Je suis vraiment désolé pour vous ! Les choses ne vont pas bien dans le monde. Ce n’est pas une farce…
La Pilule Rouge : Le président de la République Emmanuel Macron annonce l’identité numérique depuis l’Allemagne !
Dans cette vidéo, je reviens sur les récentes déclarations d’Emmanuel Macron à Sarrebruck, en Allemagne, lors de la célébration de la Réunification allemande aux côtés du chancelier Friedrich Merz. Le président de la République française y a évoqué la nécessité de plus de transparence dans les espaces publics numériques, qu’il décrit comme des lieux où règnent parfois le chaos et l’anonymat total. Selon lui, il serait temps de “retirer les cagoules numériques” pour responsabiliser les utilisateurs et lutter contre les abus sur les réseaux sociaux.
À travers cette annonce, Emmanuel Macron appelle à un sursaut européen autour de la régulation numérique, en s’appuyant sur des outils comme le DSA, le DMA, l’euro numérique et surtout l’identité numérique. Dans cette vidéo, je vous propose mon analyse personnelle de cette prise de position et des implications concrètes que pourrait avoir l’instauration d’une identité numérique européenne sur notre vie quotidienne.
Nous verrons également comment d’autres pays, comme le Royaume-Uni avec Keir Starmer ou la Suisse, expérimentent déjà des dispositifs similaires, officiellement pour renforcer la sécurité ou lutter contre le travail illégal. Mais ces mesures posent aussi la question de la liberté individuelle, du contrôle des citoyens et de l’avenir de la vie privée à l’ère du numérique.
Big Brother Watch : L’histoire nous met en garde contre l’identité numérique
Keir Starmer a récemment annoncé à son cabinet et aux médias qu’il envisageait un projet d’identification numérique obligatoire, suite à la pression accrue d’influents groupes de réflexion travaillistes, dont celui de Tony Blair.
Nous devons nous assurer d’être à l’avant-garde et de lancer la plus grande campagne possible avant toute annonce gouvernementale sur l’identification numérique, mais notre force dépend du soutien que nous recevons.
Avant Noël, nous intensifions nos efforts de campagne avec des actions planifiées, et nous nous sommes fixé comme objectif d’atteindre 2 000 soutiens à Big Brother Watch.
Nous avons également lancé une pétition et avons déjà atteint 90 000 signatures. Lorsque nous atteindrons 100 000 signatures, nous la présenterons au 10 Downing Street pour transmettre votre message au Premier ministre. Signez la pétition.
Kirby Clips : « Nous sommes dans une situation très délicate » – Être brutalement honnête à propos des identifiants numériques…
Vous devez savoir ceci… un événement majeur est sur le point de se produire au Royaume-Uni, et cela se produira plus tôt que prévu. Dans cette vidéo, Joe Kirby, d’Off The Kirb Ministries, parle de l’essor des identités numériques, de leurs implications pour nos libertés quotidiennes et de l’importance de ce moment, plus grande que la plupart des gens ne le pensent.
Avec les progrès technologiques, nous devons nous demander : que se construit-on réellement ici ? Et que dit la Bible à ce sujet ? Regardez jusqu’à la fin ; c’est important.
IA: l’angle mort — Quand les algorithmes décident de nos droits | Documentaire
L’intelligence artificielle n’est plus une promesse future : elle redessine déjà nos vies, souvent sans cadre ni contrôle. Tandis que le Québec ouvre la porte de l’administration publique et que les GAFAM règnent sans opposition, des décisions automatisées injustes menacent l’égalité et la justice sociale.
Identité numérique : la « chute » de la Suisse après celle de la Grande-Bretagne ?
La Grande-Bretagne instaure l’identité numérique, en même temps que la pénalisation des discours contraires à la doxa officielle. Plus étonnant, dernièrement, la Suisse prend le même chemin.
L’ID numérique est au coeur d’un système de contrôle moderne organisant le verrouillage économique et social des populations, qui comprend l’instauration de la monnaie numérique de banque centrale, le crédit social à la chinoise et les différents « Pass » carbone ou autre.
Se prémunir de cette tendance lourde mondiale est difficile. Il s’agit de reconnaître, dans un premier temps, que ce cycle et cette tentative de mise en esclavage prendront fin eux aussi, et de développer sa puissance personnelle. Le guerrier prend refuge en lui-même. La fuite est vaine si il manque l’essentiel : la culture d’un cercle vertueux entre le mental, le physique et l’assise spirituelle.
Le Grenier de l’éco : « L’euro numérique marque de la Bête ou monnaie du contrôle? Il arrive ! »
Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada : « Une vision de l’identité numérique du Canada digne de confiance ».
La vision du Canada pour un gouvernement où les services sont rapidement et facilement accessibles à l’aide d’une identité numérique digne de confiance.
“C’est une théorie du complot… jusqu’à ce que ça arrive.”
À partir du 12 octobre 2025, 29 pays européens basculent vers le nouveau système EES (Entry/Exit System) :
– Finis les tampons sur les passeports,
– Place à la collecte biométrique obligatoire aux frontières.
– Objectif officiel : moderniser, accélérer, sécuriser.
– Réalité : chaque voyageur sera traqué électroniquement, ses données enregistrées et centralisées.
France, Allemagne, Italie, Espagne, Grèce, Suisse… une grande partie de l’Europe est concernée.
Un simple “changement technique” ? Non : un tournant historique dans la manière dont on contrôle et surveille les déplacements humains.
Jonathan Blanchette : « Identité numérique obligatoire, sinon pas de travail !
Biométrie et reconnaissance faciale ».
Frère Paul-Adrien : « Le livre perdu d’Henoch : pourquoi l’a-t-on banni de la Bible ? »
Ce livre était cité par les premiers chrétiens, respecté par les Pères de l’Église… puis passé dans l’oubli. Le Livre d’Hénoch, écarté dans la Bible officielle, parle d’anges déchus, de géants, de sorcellerie, d’un enfer brûlant… et même d’un Fils de l’Homme avant Jésus. Pourquoi a-t-il disparu ? Que révèle-t-il sur la fin du monde, le jugement dernier, et l’au-delà ?
Dans cette enquête, nous remontons le fil d’un texte perdu, redécouvert en Éthiopie, et retrouvé dans les manuscrits de la mer Morte. Plongez dans l’un des livres les plus mystérieux du judaïsme ancien, à la frontière du canon biblique et de l’apocalypse interdite.