Fiducia supplicans (« Confiance suppliante ») est une déclaration de 2023 sur la doctrine catholique qui permet aux prêtres catholiques de bénir les couples qui ne sont pas considérés comme mariés selon l’enseignement de l’Église, y compris les couples de même sexe. Sous-titré « Sur la signification pastorale des bénédictions », le document est daté du 18 décembre 2023 et a été publié le même jour. Fiducia supplicans a été publiée par le Dicastère pour la doctrine de la foi du Saint-Siège et approuvée par une signature du pape François. Il s’agit de la première déclaration publiée par le DDF depuis Dominus Iesus en 2000.
Dès sa publication, la déclaration a suscité de très nombreuses réactions, certaines enthousiastes, d’autres très critiques, voire hostiles. La Fiducia supplicans a été largement interprétée. François a conseillé aux bureaucrates du Saint-Siège d’éviter les « positions idéologiques rigides » trois jours après la publication du document. Le préfet de la DDF, Víctor Manuel Fernández, a déclaré plus tard dans une interview que la déclaration ne permettait pas de bénir les unions, un communiqué de presse de la DDF en janvier 2024 répétant cela. Alors que la plupart des reportages ont rapporté que Fiducia supplicans a annulé une réponse ad dubium de 2021 du prédécesseur de la DDF, qui a statué que l’Église n’a pas le « pouvoir de donner la bénédiction aux unions de personnes du même sexe », d’autres commentateurs ont déclaré que la décision de 2021 était toujours en vigueur. Dans son introduction, Fiducia supplicans se décrit comme « offrant de nouvelles précisions » sur le responsum 2021.
La déclaration Fiducia supplicans permet aux prêtres de donner des « bénédictions spontanées » à des couples de sexe opposé, « en situation irrégulière » aux yeux de l’Église catholique, c’est-à-dire qui ne sont pas mariés religieusement, ou bien divorcés-remariés. Elle autorise également la bénédiction de couples de même sexe. Le document explique que ce type de bénédiction informelle et spontanée n’est pas une bénédiction liturgique ou ritualisée « afin de ne pas créer de confusion avec la bénédiction propre au sacrement du mariage. » Selon Vatican News, Fiducia supplicans n’introduit pas de changement dans la doctrine sur le mariage dans l’Église catholique, ni ne signifie l’approbation de ces unions.
➽ PCB : Le 18 décembre 2024 marque le 1er anniversaire de la FS – les funérailles de l’Église catholique
Quelle est l’essence de l’Église catholique ? C’est la doctrine catholique orthodoxe, basée sur l’Écriture et la Tradition. Si cette doctrine est niée à la racine, alors ce n’est plus l’Église catholique, mais une secte. Que Bergoglio ait pu littéralement transformer l’Église catholique en sa secte dotée de l’anti-évangile sodomite Fiducia supplicans est vraiment un exploit audacieux. Dans ce crime des plus graves, il est protégé par l’hérésie de la papolâtrie. Avec le document final du synode d’octobre, il a déjà lancé la phase de mise en œuvre des crimes synodaux. Cet ordre du jour apostat doit s’incarner dans chaque diocèse, dans chaque paroisse et dans l’âme de chaque catholique. Le chaos planifié, provoqué par l’ordination des femmes, l’abolition du célibat et l’introduction de pratiques païennes au cours de la Sainte Messe, doit servir cet objectif. Même les ariens du IVe siècle n’avaient pas réussi à mettre en œuvre une tromperie aussi anormale.
Le fait que les évêques de certains pays aient rejeté la déclaration Fiducia supplicans ne change rien. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont pas pris la mesure radicale consistant à se séparer de l’usurpateur de la papauté. Quelles en sont les conséquences ? Au cours d’un webinaire du 29 novembre, le cardinal Judas Besungu a fixé une tâche claire aux évêques africains, à savoir mettre en œuvre les idées du Synode ! En d’autres termes, sodomiser et diaboliser l’Église en Afrique. Cela signifie que leur rejet de la Fiducia supplicans n’est pas du tout pris en compte.
Notons deux termes clés qui ont été utilisés au cours de ce webinaire. L’un est le terme “nouvelle Église”, dans lequel les évêques africains doivent être formés. Pourquoi ? Afin qu’ils embrassent la sodomie suicidaire et commencent à la bénir. L’autre terme manipulateur est « mettre en œuvre les idées du Synode ». Bergoglio et Besungu ne tiennent pas du tout compte du fait que la Fiducia supplicans ait été uniformément rejetée par l’Afrique ! Personne ne demande plus rien aux évêques africains à ce sujet ; ils sont simplement dans la phase de mise en œuvre. Et maintenant, ils n’auront plus qu’à répondre à Bergoglio concernant la façon dont ils mettent en œuvre les soi-disant conclusions du Synode. Fondamentalement, ils seront examinés afin de voir s’ils incarnent l’anti-évangile sodomite suicidaire. De telles méthodes insidieuses et manipulatrices de Bergoglio et Besungu doivent recevoir une réponse appropriée.
Chers évêques, vous devez rompre avec la soumission à l’usurpateur de la papauté et à son complice Ambongo Besungu. Proclamez ensuite un patriarcat africain séparé. Ce patriarcat affirmera les vérités fondamentales de la foi et de la morale catholiques, tout en condamnant clairement les hérésies qui trouvent leurs racines dans le concile de Vatican II. Ce sont avant tout les hérésies du modernisme et du syncrétisme, ainsi que l’aggiornamento avec le monde. Le Patriarcat condamnera clairement le motu proprio hérétique de Bergoglio du 1er novembre 2023, Ad theologiam promovendam, qui a établi le principe de saper les dogmes catholiques. Il condamnera également la Fiducia supplicans hérétique et le document final du Synode approuvé par Bergoglio le 24 novembre 2024.
Le temps est également venu pour les États-Unis d’Amérique de se séparer de l’usurpateur, compte tenu du changement politique qui s’est produit.
Vous, les évêques des États-Unis, avez négligé votre devoir de rejeter la Fiducia supplicans suicidaire et avez persisté dans cette obstination pendant toute une année. Réveillez-vous pendant qu’il en est encore temps ! Mais il ne suffit plus maintenant de renoncer à la déclaration Fiducia supplicans ; vous devez vous séparer de l’usurpateur de la papauté. Quand comprendrez-vous ? Pourquoi continuez-vous à être impliqués dans sa rébellion contre Dieu ? Par votre passivité, vous aggravez les crimes commis et créez les conditions pour que Bergoglio poursuive son programme criminel. Mais plus que cela, vous êtes co-responsables devant Dieu et l’Église de ces crimes. C’est un péché terrible aux yeux de Dieu. Vous devez vous en repentir. Vous attirez la malédiction de Dieu et la punition la plus sévère sur vous-mêmes et sur l’Amérique. En acceptant l’anti-évangile sodomite, chacun de vous a attiré sur lui-même la peine latae sententiae. Ce fait, à savoir que chacun de vous est soumis à la peine la plus lourde de l’excommunication, ne devrait-il pas vous obliger à faire une pénitence adéquate ? Quelle sorte de pénitence ? À vous séparer de l’usurpateur de la papauté. C’est une pénitence spécifique pour chacun de vous.
Les évêques d’Amérique qui se séparent, même s’ils sont minoritaires, créeront les conditions pour qu’un patriarcat catholique s’établisse sur le continent américain. Peu à peu, même les évêques hésitants pourront rejoindre ce Patriarcat. Le Patriarcat offre une solution alternative. L’évêque et son diocèse ne seront pas abandonnés seuls aux pressions du courant hérétique. Cette séparation n’est pas un schisme. Bergoglio ne s’est pas seulement exclu de l’Église à cause de son anti-évangile, qui est un péché plus grand que le schisme, mais il détruit aussi l’institution même de la papauté. Par le biais de la Fiducia supplicans, il a emprunté une voie hérétique sur laquelle un pape légitime ne peut plus être élu.
Chers évêques des États-Unis, en établissant le Patriarcat, vous préserverez non seulement la doctrine catholique orthodoxe et l’Église catholique, mais vous créerez aussi les conditions pour la restauration de l’institution de la papauté. C’est la demande que Dieu vous adresse aujourd’hui, et vous serez chacun tenu personnellement responsable de son accomplissement devant Son tribunal.
Il est clair qu’un hérétique public qui s’est placé en situation de rébellion contre Dieu, qui a sapé tous les fondements de la doctrine catholique et qui s’est publiquement et de manière provocatrice consacré à Satan au Canada, n’est pas un véritable pape. Cela a tout son sens pour tout observateur rationnel. Le fait que Bergoglio soit excommunié de l’Église est basé sur la nature même de la Sainte Écriture. Cela est également confirmé par les Pères et les Docteurs de l’Église.
L’intouchabilité de Bergoglio quant à son crime et à sa rébellion ouverte contre Dieu et l’Église est garantie par l’hérésie de la papolâtrie. Cette hérésie soutient la croyance selon laquelle le pape peut être le plus grand criminel, un meurtrier de masse, et peut être en rébellion contre Dieu. Il peut abroger tous les commandements de Dieu, peut légaliser et bénir les péchés les plus graves, supprimant ainsi le Sauveur, et rester toujours un pape valide. Il peut même se consacrer publiquement à Satan, et pourtant les papolâtres le vénèrent comme le représentant du Christ sur Terre. Ceux qui soutiennent aujourd’hui une hérésie aussi absurde sont soit des idiots, soit des suicidés ecclésiastiques, soit des imposteurs. Ils possèdent le même esprit que Bergoglio. Le plus fervent partisan de la papolâtrie est l’évêque Schneider. Malheureusement, l’évêque Strickland est aussi l’un des défenseurs de la soi-disant obéissance et soumission à l’usurpateur de la papauté. Parmi les laïcs aux États-Unis, il s’agit de M. Matt et de sa soi-disant Conférence sur l’identité catholique et en Italie, du professeur Roberto de Mattei et d’autres.
Tout véritable évêque, en tant que successeur des apôtres, est obligé de se séparer lui-même ainsi que tout son diocèse de l’hérétique public endurci qu’est Bergoglio. À cette fin, chaque évêque diocésain devrait rédiger une lettre pastorale justifiant la raison pour laquelle il est obligé de prendre cette mesure.
Cher évêque, qu’attendez-vous lorsque vous appelez un usurpateur un pape valide ? Si vous le faites, vous devez lui obéir. Vous vous attendez à lui désobéir dans certains domaines ? Il va bientôt resserrer l’étau autour de votre cou. Vous créez à présent les conditions de ses crimes, ce qui vous rend encore plus coupable que lui. Vous ne défendez pas les enseignements du Christ ni de Son troupeau, et vous ne vous souciez pas de votre propre salut. Je vous en appelle par l’autorité de la fonction prophétique, c’est-à-dire par l’autorité de Dieu lui-même et par l’autorité de l’apôtre du Christ, à vous séparer, vous et votre diocèse, de l’usurpateur de la papauté. De cette façon, vous créerez les conditions pour l’établissement d’un patriarcat. C’est une solution extrêmement opportune, tant pour les États-Unis que pour l’Afrique.
+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
+ Méthode OSBMr / + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires
« Merci pour votre travail qui cherche à contrebalancer les excès et propos erronés repris en boucle par les médias mainstream. Il n'est pas facile d'être juste et équilibré, tant les vraies sources sont difficiles à trouver - et tant la manipulation est omniprésente. »
VEUILLEZ NOTER : Les commentaires des lecteurs et lectrices peuvent être approuvés ou non, à ma seule discrétion et sans préavis. Merci de votre compréhension. — Guy Boulianne
En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs AuthorsDen et de la Nonfiction Authors Association (NFAA) aux États-Unis. Il adhère à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).
Le pape François ordonne à l’église de changer la pensée du Christ !
« Et maintenant permettez-moi de vous transmettre un souhait et une invitation. Le souhait est celui-ci: que la théologie aide à repenser la pensée. Notre manière de penser, comme nous le savons, façonne aussi nos sentiments, notre volonté et nos décisions. Un cœur large correspond à une imagination et une pensée vastes, tandis qu’une pensée repliée, fermée et médiocre peut difficilement générer de la créativité et du courage. Il me vient à l’esprit les manuels de théologie avec lesquels nous étudiions. Le contenu était fermé, «de musée», de bibliothèque, mais ne donnait pas à réfléchir. »
– Discours du pape François aux participants au Congrès international sur l’avenir de la théologie (9 décembre 2024).