Les républicains du sous-comité de la Chambre des représentants ont publié un rapport Choc sur le COVID, aussitôt réfuté par les démocrates

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Plusieurs allégations formulées au début de la pandémie de coronavirus de 2020, qui ont été rejetées comme des théories du complot, pourraient être factuellement exactes, affirme un nouveau rapport des républicains du Congrès. Publié par le sous-comité spécial sur la pandémie de coronavirus du Comité de surveillance et de responsabilité de la Chambre des représentants des États-Unis, dirigé par les républicains, le rapport “After Action Review of the COVID-19 Pandemic: The Lessons Learned and a Path Forward” (Bilan de la pandémie de COVID-19 : les leçons apprises et la voie à suivre) couvre la réponse du gouvernement fédéral à la pandémie de COVID-19, soulignant à la fois les succès et les échecs. Le rapport présente plusieurs conclusions axées sur les origines du virus, la gestion des mesures de santé publique et les conséquences à long terme de la réponse à la pandémie. Il a également été condamné par les démocrates, qui affirment que le rapport n’a fait qu’« alimenter des récits extrêmes » et « vilipender les scientifiques et les responsables de la santé publique de notre pays ».

Depuis février 2023, le sous-comité spécial a envoyé plus de 100 lettres d’enquête, mené plus de 30 entretiens et dépositions transcrits, tenu 25 audiences et réunions et examiné plus d’un million de pages de documents. Les membres et le personnel ont révélé une corruption de haut niveau dans le système de santé publique américain, confirmé l’origine la plus probable de la pandémie, tenu les mauvais acteurs de la COVID-19 publiquement responsables, favorisé un consensus bipartisan sur les questions importantes de l’ère de la pandémie, et bien plus encore. Le rapport de 520 pages a été soumis au Congressional Record. Le rapport du GOP a conclu que l’origine « la plus probable » de la pandémie était une fuite de main-d’œuvre à Wuhan, en Chine. Le rapport a également présenté des conclusions relatives à l’efficacité et à la transparence de l’utilisation des fonds des contribuables et des programmes d’aide pour faire face à la pandémie, à l’efficacité des lois et réglementations fédérales adoptées pour faire face à la pandémie, au développement de vaccins et aux politiques de vaccination, à l’impact économique de la pandémie, à l’impact sociétal sur les décisions de fermeture des écoles et à la surveillance de la préparation et de la réponse à la pandémie par le pouvoir exécutif et le Congrès.

« Encore récemment, ceux qui tenaient de pareils propos étaient dénigrés, ostracisés et qualifiés de “complotistes”. Or, ce rapport nous apprend qu’ils voyaient clair à bien des égards… Mais ne comptons pas sur leurs accusateurs pour leur présenter des excuses! », écrit Nathalie Elgrably dans le Journal de Montréal. « Après deux ans d’enquête, ce que certains voulaient taire ou maquiller a finalement éclaté au grand jour. Chose certaine, la confiance entre les institutions et les citoyens a été brisée. »

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La question que l’on peut se poser est la suivante : Est-ce que ce rapport des républicains du Congrès conduira à des poursuites judiciaires contre les gouvernements qui ont mis la vie et la santé de la population en danger, les organisations qui ont géré cette « crise de coronavirus », les services de santé qui ont collaboré à cette hécatombe, ainsi que les médias qui ont allègrement diffamé ceux qu’on appelait les « complotistes » et qui ont désinformé,― intentionnellement ou non ―, le grand public en général ? Permettez-moi d’en douter. Pourquoi ? Parce ce que le système politique et judiciaire est lourd, complexe et surtout corrompu jusqu’à la moelle. Ce n’est pas l’idée d’être pessimiste, mais plutôt d’être réaliste. Et croyez bien que cela me navre. J’ai été l’un de ceux qui ont dénoncé depuis le tout début ce complot contre l’humanité, camouflé sous cette “crise de coronavirus”. J’ai publié 400 articles à ce sujet, du 18 mars 2020 jusqu’à aujourd’hui. J’étais donc l’un de ces “conspirationnistes”. J’ai perdu plusieurs comptes de réseaux sociaux à cause de cela, ainsi que des milliers d’abonnés, ce qui m’a causé de très graves préjudices : Facebook, Youtube, Vimeo, LinkedIn pour ne nommer que ceux-là.

Loin d’évoquer d’éventuelles poursuites, le Comité de surveillance et de responsabilité indique simplement que le rapport final servira de « feuille de route » au Congrès, au pouvoir exécutif et au secteur privé pour se préparer et répondre aux futures pandémies. « Ce travail aidera les États-Unis et le monde à prédire la prochaine pandémie, à s’y préparer, à se protéger de la prochaine pandémie et, espérons-le, à prévenir la prochaine pandémie. Les membres du 119e Congrès devraient poursuivre et s’appuyer sur ce travail, il y a plus d’informations à trouver et des mesures honnêtes à prendre », a écrit le président Wenstrup dans une lettre au Congrès. « La pandémie de COVID-19 a mis en évidence une méfiance envers les dirigeants. La confiance se gagne. La responsabilité, la transparence, l’honnêteté et l’intégrité permettront de regagner cette confiance. Une future pandémie nécessite une réponse de toute l’Amérique gérée par des personnes sans avantage personnel ni parti pris. Nous pouvons toujours faire mieux, et pour le bien des futures générations d’Américains, nous devons le faire. C’est possible. »

Bien que le sous-comité spécial sur la pandémie de coronavirus soit bipartisan, il est majoritairement composé de républicains, avec 9 républicains contre 7 démocrates (Clerk). Il y a donc un parti pris certain en son sein. L’un des points qui est soulevé dans le résumé des informations contenues dans le rapport concerne l’opération Warp Speed, un partenariat public-privé lancé sous l’administration Trump pour faciliter et accélérer le développement, la fabrication et la distribution de vaccins, de thérapies et de diagnostics contre la COVID-19. Ce programme a favorisé la production en masse de plusieurs vaccins et de différents types de technologies vaccinales, sur la base de données préliminaires. Nous lisons : « L’opération Warp Speed ​​du président élu Trump, qui a encouragé le développement et l’autorisation rapides du vaccin contre la COVID-19, a été un grand succès et a contribué à sauver des millions de vies », reprenant les mots exacts de Donald Trump. Cette allégation est en contradiction avec tout ce qui la précède et lui succède dans le rapport. Le sous-comité prend soin d’octroyer peu de responsabilité au gouvernement, qu’il soit Républicain ou Démocrate, et de rejeter presque tous les blâmes sur les scientifiques et les responsables de la santé publique. Nous lisons à la page 214 :

Le 16 mars 2020, l’administration Trump a annoncé des directives de « 15 jours pour ralentir la propagation ». À la suite de ces directives, les États et les localités sont allés plus loin et ont commencé à émettre des ordres de confinement stricts. À ce stade, il semblait y avoir un consensus général sur le fait que les activités potentiellement inutiles devaient être suspendues temporairement pour « aplatir la courbe » et atténuer le risque que le système de santé soit submergé par des cas graves de COVID-19. Pourtant, dans les coulisses, les responsables de la santé publique se préparaient discrètement à une période de perturbation beaucoup plus longue. Le Dr Deborah Birx a écrit plus tard dans son livre “Silent Invasion” que 15 jours n’étaient qu’un point de départ et qu’elle avait déjà prévu un confinement plus long lors de la présentation du plan.

« A peine avions-nous convaincu l’administration Trump de mettre en œuvre notre version d’un confinement de deux semaines que j’essayais de trouver comment le prolonger. Quinze jours pour ralentir la propagation était un début, mais je savais que ce ne serait que cela. Je n’avais pas encore les chiffres devant moi pour justifier une prolongation, mais j’avais deux semaines pour les obtenir. »

En fin de compte, les 15 jours promis se sont transformés en années, ce qui a eu des conséquences incroyablement dommageables pour le peuple américain. Plutôt que de donner la priorité à la protection des plus vulnérables, les politiques du gouvernement fédéral et des États ont encouragé ou forcé des millions d’Américains à renoncer à des éléments essentiels d’une vie saine, heureuse, productive et épanouissante. Cela semble être un problème fondamental de l’approche de santé publique privilégiée par les institutions américaines pendant la pandémie. Dans un apparent mea culpa du Dr Collins lors d’un panel pour Braver Angels, il a admis que l’approche ignorait intrinsèquement les dommages collatéraux possibles et cherchait aveuglément à lutter contre le COVID lui-même.

Le sous-comité termine ce chapitre en faisant des constatations : « Les confinements prolongés liés à la COVID-19 ont inutilement nui à l’économie américaine, ils ont inutilement endommagé la santé mentale des Américains, ils ont perturbé le développement des enfants et des jeunes adultes américains et ils ont eu de graves conséquences sur la santé physique des Américains. Malgré l’absence de fondement scientifique, les passeports vaccinaux sont devenus un confinement de facto pour les Américains non vaccinés. » Il leur aura fallu deux ans pour déterminer cela, alors que les « complotistes » le clamaient depuis le début !

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Malgré le fait que le rapport ait été rédigé à l’issue d’une enquête approfondie de deux ans, qui a impliqué 30 entretiens/dépositions transcrits et 25 audiences/réunions, les démocrates affirment que ses conclusions sont presque TOUTES des conneries. « Au cours du 118e Congrès, la sous-commission spéciale sur la pandémie de coronavirus dirigée par les républicains a alimenté des récits extrêmes vilipendant les responsables de la santé publique, les scientifiques et les enseignants américains », peut-on lire dans le petit rapport de 61 pages des démocrates intitulé “Partisan Probes Over Pandemic Prevention and Preparedness” (Enquêtes partisanes sur la prévention et la préparation à la pandémie). « Au lieu de faire passer les gens avant la politique, les républicains du sous-comité spécial ont donné la priorité aux enquêtes partisanes plutôt qu’aux opportunités significatives de renforcer la prévention et la préparation aux futures pandémies et de sauver des vies futures », poursuit-il.

Les démocrates soutiennent qu’au lieu d’essayer de discerner la vérité et de demander des comptes aux individus qui se comportent mal, le Congrès devrait s’occuper d’étudier comment gérer la prochaine pandémie. Il ne vient évidemment pas à l’esprit des démocrates que la meilleure façon de se préparer à la prochaine pandémie est d’examiner de près les erreurs de la précédente pour s’assurer qu’elles ne se reproduisent plus jamais. « Le rapport final du sous-comité républicain reflète deux années gaspillées en coups politiques au lieu de prévenir et de préparer la prochaine pandémie », a déclaré un porte-parole des démocrates du comité. « Au lieu de s’unir aux démocrates pour devancer les futurs virus ou renforcer l’infrastructure et la main-d’œuvre de la santé publique américaine, les républicains du sous-comité restreint ont donné la priorité à des enquêtes extrêmes qui ont vilipendé les scientifiques et les responsables de la santé publique de notre pays dans le but de blanchir la réponse désastreuse de l’ancien président Trump au COVID-19 », ont-ils ajouté.

En parlant de blanchiment, les démocrates se sont battus avec acharnement pour le Dr Fauci dans leur propre rapport. « Le Dr Fauci n’a pas organisé de campagne de suppression des fuites de laboratoire », peut-on lire dans un résumé du rapport. « Il n’a pas orchestré l’article sur l’origine proximale, il n’a pas soudoyé les auteurs de cet article avec un financement fédéral et il n’a pas demandé au personnel du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) de manipuler la couverture médiatique publique de la question. » Le résumé poursuit : « Le Dr Fauci n’a pas menti au Congrès concernant la recherche sur le gain de fonction au WIV. Le témoignage antérieur du Dr Fauci au Sénat faisait explicitement référence à la définition réglementaire du terme “gain de fonction”, plutôt qu’à une utilisation informelle du terme, et son témoignage était exact à cet égard. »

Pourtant, les faits réels semblent clairement réfuter le récit des démocrates :

Les démocrates ont également minimisé l’idée de la théorie de la fuite de laboratoire, arguant qu’il est tout aussi probable que le COVID provienne d’un animal. « Aujourd’hui, une origine zoonotique et un accident de laboratoire sont tous deux plausibles, tout comme un scénario “hybride” reflétant un mélange des deux », peut-on lire dans leur rapport.

« Il a été expliqué à plusieurs reprises au sous-comité spécial que toutes les épidémies et pandémies antérieures, ainsi que presque toutes les épidémies précédentes, avaient des origines zoonotiques. Dans le même temps, une origine de laboratoire pour le SARS-CoV-2 reste également plausible. »

À leur actif, les démocrates de la Chambre des représentants ont au moins reproché à l’ancien gouverneur de New York en disgrâce, Andrew Cuomo, d’avoir « interféré » dans le décompte des décès dans les maisons de retraite après avoir émis un décret exigeant que les maisons de retraite acceptent les patients atteints de COVID. « Au cours de la pandémie de COVID-19, l’administration [Cuomo] a publié les décès dans les maisons de retraite sur le site Web du NYSDOH », peut-on lire dans le rapport. « Le site Web a comptabilisé les décès cumulés dans les maisons de retraite jusqu’à la date de publication. » Un audit mené par le contrôleur de l’État de New York a révélé que le NYSDOH « utilisait des méthodologies alternatives pour comptabiliser les décès dans les maisons de retraite » et « manquait systématiquement de transparence, et était parfois inexact, incohérent, incomplet et/ou non susceptible d’analyse », poursuit-il.

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« Le sous-comité spécial a tenu les mauvais acteurs responsables, a conduit à des changements réels dans nos agences de santé publique et a fourni une feuille de route sur ce qu’il faut faire et ne pas faire », a déclaré le président du sous-comité Brad Wenstrup lors de la dernière audience. « Dans un scénario d’ici quelques années, les gens auront peut-être depuis longtemps oublié ce que nous avons fait ici. Mais si notre travail conduit à un système fiable capable d’atteindre nos objectifs de prévision, de préparation, de protection et de prévention de la prochaine pandémie, pour moi ce sera une récompense suffisante. »

Paul Ruiz, membre de rang de l’organisation, a déclaré que les démocrates et les républicains avaient terminé deux années d’enquête avec « des impressions différentes sur ce que nous avons trouvé ou non ». M. Ruiz a toutefois reconnu les « pertes humaines dévastatrices » causées par la pandémie, qui a fait 1 million de morts. « Bien que nous ayons surmonté les jours les plus sombres de la pandémie de COVID-19, je reconnais qu’en tant que nation, nous ne parviendrons peut-être jamais complètement à surmonter ce chagrin que nous partageons tous, quel que soit notre parti politique », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il était important de « mettre l’humanité au premier plan et de réfléchir à la perte et à la souffrance humaines ». Il a déclaré que malgré les opinions divergentes entre républicains et démocrates, il pense que la nation peut s’unir pour prévenir et se préparer aux futures pandémies, fermer les voies d’émergence de nouveaux virus et renforcer le contrôle des infections et de la prévention dans les établissements de soins de longue durée pour assurer la sécurité des personnes âgées.


Le résumé des informations contenues dans le rapport final

Par le sous-comité spécial sur la pandémie de coronavirus

Les origines de la pandémie de coronavirus, y compris, mais sans s’y limiter, le financement par le gouvernement fédéral de la recherche sur les gains de fonction

ORIGINE DU COVID-19 : Le COVID-19 est probablement apparu dans un laboratoire de Wuhan, en Chine. Les CINQ arguments les plus convaincants en faveur de la théorie de la « fuite du laboratoire » sont les suivants :

  1. Le virus possède une caractéristique biologique qu’on ne retrouve pas dans la nature.
  2. Les données montrent que tous les cas de COVID-19 proviennent d’une seule introduction chez l’homme. Cela va à l’encontre des pandémies précédentes, où il y a eu plusieurs événements de contagion.
  3. Wuhan abrite le principal laboratoire de recherche sur le SRAS de Chine, qui a pour habitude de mener des recherches sur les gains de fonction à des niveaux de biosécurité inadéquats.
  4. Les chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) ont été malades d’un virus de type COVID à l’automne 2019, quelques mois avant que le COVID-19 ne soit découvert sur le marché humide.
  5. Selon presque tous les critères scientifiques, s’il existait une preuve d’une origine naturelle, elle aurait déjà fait surface.

PUBLICATION SUR L’ORIGINE PROXIMALE : La publication « L’origine proximale du SRAS-CoV-2 » — qui a été utilisée à plusieurs reprises par les responsables de la santé publique et les médias pour discréditer la théorie de la fuite en laboratoire — a été incitée par le Dr Fauci à promouvoir le récit préféré selon lequel la COVID-19 est originaire de la nature.

RECHERCHE SUR LE GAIN DE FONCTION : Un incident en laboratoire impliquant une recherche sur le gain de fonction est très probablement à l’origine de la COVID-19. Les mécanismes gouvernementaux actuels de supervision de cette dangereuse recherche sur le gain de fonction sont incomplets, extrêmement alambiqués et manquent d’applicabilité mondiale.

ECOHEALTH ALLIANCE INC. (ECOHEALTH) : EcoHealth, sous la direction du Dr Peter Daszak, a utilisé l’argent des contribuables américains pour faciliter des recherches dangereuses sur les gains de fonction à Wuhan, en Chine. Après que le sous-comité spécial a publié des preuves selon lesquelles EcoHealth avait violé les termes de sa subvention des National Institutes of Health (NIH), le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a entamé une procédure officielle d’exclusion et suspendu tout financement à EcoHealth.

  • De nouvelles preuves montrent également que le ministère de la Justice (DOJ) a ouvert une enquête sur les activités d’EcoHealth pendant la pandémie.

ÉCHEC DU NIH : Les procédures du NIH en matière de financement et de supervision des recherches potentiellement dangereuses sont déficientes, peu fiables et constituent une menace sérieuse pour la santé publique et la sécurité nationale. De plus, le NIH a favorisé un environnement qui a encouragé le contournement des lois fédérales sur la conservation des dossiers, comme en témoignent les actions du Dr David Morens et de la « FOIA Lady » Marge Moore.


L’efficacité, l’efficience et la transparence de l’utilisation des fonds des contribuables et des programmes d’aide pour lutter contre la pandémie de coronavirus, y compris tout rapport de gaspillage, de fraude ou d’abus

FINANCEMENT D’AIDE COVID-19 : Les gouvernements fédéral et des États ont connu d’importantes lacunes en matière de coordination, n’étaient pas préparés à superviser l’allocation des fonds d’aide COVID-19 et n’ont pas réussi à identifier suffisamment le gaspillage, la fraude et l’abus de l’argent des contribuables pendant la pandémie.

PROGRAMME DE PROTECTION DES CHÈQUES DE SALAIRE : Le programme de protection des chèques de paie, qui offrait un soulagement essentiel aux Américains sous la forme de prêts qui pouvaient être annulés si les fonds étaient utilisés pour compenser les difficultés de l’ère de la pandémie, était en proie à des réclamations frauduleuses entraînant la perte d’au moins 64 milliards de dollars de l’argent des contribuables au profit de fraudeurs et de criminels.

DEMANDES DE CHÔMAGE FRAUDULEUSES : Les fraudeurs ont coûté au contribuable américain plus de 191 milliards de dollars en profitant du système d’assurance chômage du gouvernement fédéral et en exploitant les informations personnelles identifiables des individus.

ÉCHECS DE LA SMALL BUSINESS ADMINISTRATION (SBA) : 200 millions de dollars de l’argent des contribuables ont été perdus en raison de l’incapacité de la SBA à exercer une surveillance appropriée, à mettre en œuvre des contrôles internes et à garantir l’adoption de mesures de protection contre la fraude.

FRAUDE TRANSNATIONALE : Au moins la moitié de l’argent des contribuables perdu dans les programmes d’aide liés au COVID-19 a été volé par des fraudeurs internationaux.

SURVEILLANCE DU FINANCEMENT DE L’AIDE COVID-19 : L’élargissement des programmes d’aide qui manquaient de fonctions de surveillance appropriées a exposé de graves vulnérabilités au sein du système et ouvert la voie aux fraudeurs, aux criminels internationaux et aux adversaires étrangers pour profiter des contribuables.


La mise en œuvre ou l’efficacité de toute loi ou réglementation fédérale appliquée, promulguée ou envisagée pour faire face à la pandémie de coronavirus et se préparer aux futures pandémies

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS) : La réponse de l’OMS à la pandémie de COVID-19 a été un échec total, car elle a cédé à la pression du Parti communiste chinois et a placé les intérêts politiques de la Chine avant ses obligations internationales. En outre, la dernière initiative de l’OMS pour résoudre les problèmes exacerbés par la pandémie de COVID-19 – par le biais d’un « Traité sur la pandémie » – pourrait nuire aux États-Unis.

DISTANCIATION SOCIALE : La recommandation de distanciation sociale de « 2 mètres de distance » — qui a entraîné la fermeture des écoles et des petites entreprises dans tout le pays — était arbitraire et ne reposait sur aucune base scientifique. Lors d’un témoignage à huis clos, le Dr Fauci a déclaré que cette recommandation « est apparue comme par magie ».

PORT DU MASQUE OBLIGATOIRE : Il n’existe aucune preuve concluante que le port du masque protège efficacement les Américains du COVID-19. Les responsables de la santé publique ont changé d’avis sur l’efficacité du port du masque sans fournir aux Américains de données scientifiques, ce qui a provoqué une augmentation massive de la méfiance du public.

CONFINEMENT : Le confinement prolongé a causé des dommages incommensurables non seulement à l’économie américaine, mais aussi à la santé mentale et physique des Américains, avec un effet particulièrement négatif sur les jeunes citoyens. Plutôt que de donner la priorité à la protection des populations les plus vulnérables, les politiques gouvernementales fédérales et étatiques ont forcé des millions d’Américains à renoncer à des éléments essentiels d’une vie saine et financièrement saine.

ÉCHEC DE LA PANDÉMIE À NEW YORK : L’ordonnance du 25 mars de l’ancien gouverneur de New York Andrew Cuomo, qui obligeait les maisons de retraite à accepter des patients positifs au COVID-19, était une faute médicale. Les preuves montrent que M. Cuomo et son administration ont œuvré pour dissimuler les conséquences tragiques de leurs décisions politiques dans un effort apparent pour se soustraire à toute responsabilité.

  • Les éléments de preuve suggèrent que M. Cuomo a sciemment et volontairement fait de fausses déclarations à la sous-commission spéciale à de nombreuses reprises sur des aspects importants de la catastrophe de la maison de retraite de New York causée par le COVID-19 et sur la dissimulation qui a suivi. La sous-commission spéciale a renvoyé M. Cuomo devant le ministère de la Justice pour qu’il engage des poursuites pénales.

RESTRICTIONS DE VOYAGE : Les restrictions de voyage rapidement mises en œuvre par le président Trump ont sauvé des vies. Au cours de l’entretien retranscrit du Dr Fauci, il a approuvé sans équivoque toutes les restrictions de voyage émises par l’administration Trump. Ce témoignage va à l’encontre du discours public selon lequel les restrictions de voyage de l’administration Trump étaient xénophobes.

DÉSINFORMATION SUR LA COVID-19 : Les responsables de la santé publique diffusent souvent de fausses informations par le biais de messages contradictoires, de réactions instinctives et d’un manque de transparence. Parmi les exemples les plus flagrants de campagnes de désinformation généralisées, l’utilisation de médicaments hors indication et la théorie de la fuite en laboratoire ont été injustement diabolisées par le gouvernement fédéral.

  • L’administration Biden a même eu recours à des méthodes antidémocratiques et probablement inconstitutionnelles – notamment en faisant pression sur les réseaux sociaux pour qu’ils censurent certains contenus liés à la COVID-19 – pour lutter contre ce qu’elle considérait comme de la désinformation.


Le développement de vaccins et de traitements, ainsi que l’élaboration et la mise en œuvre de politiques de vaccination pour les employés fédéraux et les membres des forces armées

OPÉRATION WARP SPEED : L’opération Warp Speed ​​du président élu Trump, qui a encouragé le développement et l’autorisation rapides du vaccin contre la COVID-19, a été un grand succès et a contribué à sauver des millions de vies.

VACCIN COVID-19 : Contrairement à ce qui avait été promis, le vaccin contre la COVID-19 n’a pas arrêté la propagation ou la transmission du virus.

APPROBATION ACCÉLÉRÉE DU VACCIN CONTRE LA COVID-19 : La FDA a précipité l’approbation du vaccin contre la COVID-19 afin de respecter le calendrier arbitraire imposé par l’administration Biden. Deux éminents scientifiques de la FDA ont mis en garde leurs collègues contre les dangers d’une précipitation du processus d’approbation du vaccin et la probabilité d’effets indésirables. Ils ont été ignorés et, quelques jours plus tard, l’administration Biden a rendu obligatoire le vaccin.

OBLIGATIONS VACCINALES : Les obligations vaccinales n’étaient pas étayées par la science et ont causé plus de mal que de bien. L’administration Biden a contraint des Américains en bonne santé à se conformer aux obligations vaccinales contre la COVID-19 qui ont bafoué les libertés individuelles, porté atteinte à la préparation militaire et ignoré la liberté médicale pour imposer un nouveau vaccin à des millions d’Américains sans preuves suffisantes pour étayer leurs décisions politiques.

IMMUNITÉ NATURELLE : Les responsables de la santé publique se sont engagés dans un effort coordonné pour ignorer l’immunité naturelle — qui est acquise par une infection antérieure à la COVID-19 — lors de l’élaboration des directives et des mandats relatifs aux vaccins.

SYSTÈME DE DÉCLARATION DES BLESSURES LIÉES AUX VACCINS : Les systèmes de déclaration des blessures liées aux vaccins ont créé de la confusion, n’ont pas réussi à informer correctement le public américain sur les blessures liées aux vaccins et ont détérioré la confiance du public dans la sécurité des vaccins pendant la pandémie de COVID-19.

INDEMNISATION DES BLESSURES CAUSÉES PAR LES VACCINS : Le gouvernement ne parvient pas à statuer de manière efficace, équitable et transparente sur les demandes d’indemnisation des blessés causés par les vaccins contre la COVID-19.


L’impact économique de la pandémie de coronavirus et la réponse gouvernementale associée sur les individus, les communautés, les petites entreprises, les prestataires de soins de santé, les États et les entités gouvernementales locales

IMPACTS SUR LES ENTREPRISES : Les gouvernements fédéral et étatiques ont imposé des mesures de confinement obligatoires qui ont été la principale cause de fermetures temporaires et permanentes d’entreprises. Plus de 160 000 entreprises ont fermé en raison de la pandémie, dont 60 % ont été classées comme permanentes. Pour les entreprises qui sont restées ou ont rouvert leurs portes, le manque de diversité de la chaîne d’approvisionnement a exacerbé les défis de l’ère de la pandémie et a creusé les disparités existantes.

IMPACTS SUR LES SOINS DE SANTÉ : Le système de santé américain a été gravement endommagé par la pandémie de COVID-19. Les patients ont subi une baisse de la qualité des soins, des temps d’attente plus longs, des rendez-vous médicaux plus courts et des diagnostics manqués.

IMPACTS SUR LES TRAVAILLEURS : Les taux de chômage ont atteint des niveaux jamais vus depuis la Grande Dépression. Des mesures d’atténuation trop larges – y compris la consigne de « 2 mètres de distance » aujourd’hui démentie – ont eu un impact disproportionné sur les secteurs à bas salaires.

RÉSERVE FÉDÉRALE : La réponse agressive, précoce et sans précédent de la Réserve fédérale à la pandémie de COVID-19 a permis d’éviter un grave ralentissement économique. Cette approche continue a également contribué à une inflation vertigineuse.


L’impact sociétal des décisions de fermeture des écoles, comment les décisions ont été prises et s’il existe des preuves de perte d’apprentissage généralisée ou d’autres effets négatifs résultant de ces décisions

FERMETURE DES ÉCOLES EN RAISON DE LA COVID-19 : La « science » n’a jamais justifié la fermeture prolongée des écoles. Il était peu probable que les enfants contribuent à la propagation de la COVID-19 ou souffrent d’une maladie grave ou d’un décès. Au contraire, en raison de la fermeture des écoles, les enfants ont subi des pertes d’apprentissage historiques, des taux plus élevés de détresse psychologique et un bien-être physique réduit.

INFLUENCE DES CENTRES POUR LE CONTRÔLE ET LA PRÉVENTION DES MALADIES (CDC) : Le CDC de l’administration Biden a rompu avec la tradition et a donné accès à une organisation politique d’enseignants à ses directives scientifiques sur la réouverture des écoles. L’ancienne directrice du CDC, Rochelle Walensky, a demandé à la Fédération américaine des enseignants (AFT) de fournir un langage spécifique pour les directives et est même allée jusqu’à accepter de nombreuses modifications apportées par l’AFT.

INFLUENCE DE L’AFT : Les écoles sont restées fermées plus longtemps que nécessaire en raison de l’ingérence politique de l’AFT dans les directives de réouverture des écoles du CDC. L’AFT est un syndicat politique, et non une organisation scientifique, qui a plaidé en faveur d’efforts d’atténuation qui ont prolongé la fermeture des écoles, y compris un « déclencheur » de fermeture automatique.

  • Le témoignage a révélé que le président de l’AFT, Weingarten, disposait d’une ligne téléphonique directe pour contacter l’ancien directeur du CDC, Walensky.

IMPACTS À LONG TERME : Les résultats des tests standardisés montrent que les enfants ont perdu des décennies de progrès scolaires en raison de la fermeture des écoles en raison de la COVID-19. Les problèmes de santé mentale et physique ont également explosé, les tentatives de suicide chez les filles de 12 à 17 ans ayant augmenté de 51 %.


Coopération du pouvoir exécutif et d’autres avec le Congrès, les inspecteurs généraux, le Government Accountability Office et d’autres dans le cadre de la surveillance de la préparation et de la réponse à la pandémie de coronavirus

OBSTACLE AU HHS : Le HHS de l’administration Biden s’est engagé dans une campagne pluriannuelle de retard, de confusion et de non-réactivité dans une tentative d’entraver l’enquête du sous-comité spécial et de cacher des preuves qui pourraient incriminer ou embarrasser de hauts responsables de la santé publique. Il semble que le HHS ait même intentionnellement sous-financé sa composante qui répond aux demandes de surveillance législative.

OBSTACLE À ECOHEALTH : Le président d’EcoHealth, le Dr Peter Daszak, a fait obstruction à l’enquête du sous-comité spécial en fournissant des informations accessibles au public, en ordonnant à son personnel de réduire la portée et le rythme des productions et en falsifiant des documents avant de les rendre publics. De plus, le Dr Daszak a fourni de fausses déclarations au Congrès.

DR. DAVID MORENS : Le conseiller principal du Dr Fauci, le Dr David Morens, a délibérément entravé l’enquête du sous-comité spécial, a probablement menti au Congrès à plusieurs reprises, a illégalement supprimé les dossiers fédéraux COVID-19 et a partagé des informations non publiques sur les processus de subvention du NIH avec le président d’EcoHealth, le Dr Peter Daszak.

OBSTACLE À NEW YORK : La Chambre exécutive de New York, dirigée actuellement par la gouverneure Kathy Hochul, a expurgé des documents, présenté de nombreuses revendications de privilège illégitimes et retenu des milliers de documents sans base juridique apparente pour entraver l’enquête du sous-comité spécial sur les échecs de l’ancien gouverneur Cuomo pendant la pandémie.

SOURCES ET RÉFÉRENCES :


➤ CI-DESSOUS : Lors d’une audience de préparation le 4 décembre 2024, le Sous-comité spécial sur la pandémie de coronavirus a voté pour soumettre le rapport au compte rendu du Congrès.

VEUILLEZ NOTER : En publiant l’article ci-dessus, j’ai voulu demeurer le plus objectif possible en partageant à peu près toutes les informations disponibles à ce jour, dont le rapport contradictoire des démocrates. Évidemment, j’ai une opinion personnelle beaucoup plus acide que cela. À mon avis, le rapport du sous-comité spécial sur la pandémie de coronavirus est une autre manipulation des autorités pour calmer les « complotistes » et donner l’illusion à la population qu’un travail d’enquête a été réalisé, alors que plusieurs points cruciaux n’ont pas du tout été abordés, comme la dangerosité des « thérapies géniques ». Au contraire, le rapport affirme que Donald Trump a contribué à sauver des millions de vies grâce à l’opération Warp Speed (ce qui est une fabulation mensongère), sans prendre en compte la mort sociale, la mort économique, la mort psychologique, la mort psychiatrique, ainsi que la mort spirituelle des gens. ― GUY BOULIANNE


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Paul Philippe
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« Félicitations et honneur à vous Monsieur Boulianne pour ce titre dans le monde périlleux du vrai Grand journalisme tellement nécessaire et que nous apprécions. »

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