Je partage à mes lectrices et lecteurs un article de l’auteur Claude Janvier, intitulé “Et pendant que le monde a les yeux rivés sur Donald Trump, le mondialisme avance !”, publié à l’origine sur le site web de Riposte Laïque puis sur plusieurs autres sites comme AgoraVox et France-Soir. « Personne n’allume une lampe pour la mettre dans un lieu caché ou sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, afin que ceux qui entrent voient la lumière. » (Luc 11:33)
La majorité des Français et aussi des Européens ignore que l’État profond mondial œuvre dans les coulisses. En effet, une direction générale de la mondialisation vient d’être créée au Quai d’Orsay. La volonté de dissoudre la France dans le fondu mondialiste anglo-saxon est bel et bien réelle. À la lecture des documents indiqués, nul ne pourra le contester. Une armada de technocrates, formatée très certainement par le programme Young Global Leaders créé par Klaus Schwab en 2004, une délégation de signatures à la place de ministres, pour des actes, arrêtés, et décisions. En effet, une direction générale de la mondialisation a été dûment enregistrée au Journal officiel le 20 septembre 2024.
Voici un extrait, particulièrement explicite, de l’énorme pouvoir discrétionnaire que l’État profond mondial et son homologue français donnent à un haut fonctionnaire d’État, via la « direction générale de la mondialisation » présente au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.
« Délégation est donnée à M. Rami ABI AKL, ingénieur en chef des mines, chef de la mission du numérique et de l’intelligence artificielle, à l’effet de signer, au nom du ministre des Affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission du numérique et de l’intelligence artificielle. La mission soutient l’internationalisation des entreprises françaises dans les différentes filières numériques jugées stratégiques, comme les technologies quantiques, l’intelligence artificielle, la cybersécurité, les télécommunications, ainsi que l’acquisition, le traitement et la gestion des flux de données numériques. En coordination avec les autres administrations concernées, elle définit et met en œuvre les mesures d’attractivité pour les entreprises et talents étrangers ou expatriés sur les technologies critiques concernées. En outre, la mission contribue à renforcer la présence et l’activité de la France au sein des instances multilatérales dans les domaines de sa compétence, en particulier au sein de l’OCDE, de l’Union internationale des télécommunications (UIT) et des organismes normatifs européens et internationaux. »
Le contenu du document en entier montre que la France est entre les mains de technocrates ayant tous les pouvoirs. Nous retrouvons d’ailleurs les mêmes technocrates aux commandes du Parlement européen. Car, contrairement à une certaine légende urbaine, ce ne sont pas les députés européens qui dirigent Bruxelles en tant que capitale politique, mais bien des commissaires-technocrates aux ordres d’une présidente illégitime à sa tête, madame Ursula von der Leyen.
Tous les domaines évoqués dans ce document sont sous le contrôle de hauts fonctionnaires d’État. Ils ont le pouvoir de signer tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets. Frissons garantis !
Voici la liste des secteurs contrôlés par l’intelligentsia technocratique, présents dans ce document :
- Les pays membres du G7, du G20, de l’OCDE, et les sommets internationaux
- Le commerce extérieur et la coopération économique
- Sous-direction des secteurs stratégiques
- Énergies
- Normes économiques et lutte contre la corruption
- Attractivité et rayonnement économique
- Intelligence artificielle, cybersécurité, télécommunications, données numériques
- Développement humain
- Environnement et climat
- Gouvernance démocratique. (comprenne qui pourra !)
- Diplomatie féministe et éducation
- Culture et médias
- Enseignement supérieur et recherche
- Coopération et action culturelle
- Ordonnancement des dépenses, recettes, engagements et liquidations
- Langue française et éducation
- Investissement solidaire et durable
- Enseignement supérieur
- Collectivités territoriales et société civile
- Asie-Amériques, coopération
À la lumière de ce document, et après quelques recherches, il appert que cette « direction générale de la mondialisation » existe aussi en Italie, en Belgique, en Suède, tendant à prouver que l’Europe occidentale est, malheureusement, sous contrôle étroit de cette caste financière internationale à l’idéologie mortifère. Bienvenue dans un État fédéral européen dictatorial, gangrené par les technocrates, avec pour résultat une paupérisation galopante et une inflation démesurée. L’UE compte plus de 100 millions de pauvres en 2024 !
➽ Italie : Direzione Generale per la mondializzazione e le questioni globali
La Direction générale de la mondialisation et des questions mondiales est l’une des neuf directions générales du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République italienne créées à la suite de la réforme de 2010. La structure s’occupe de diverses activités et questions pertinentes dans le contexte international mondialisé actuel qui présentent un intérêt particulier pour l’Italie. En particulier, la Direction comprend à la fois des bureaux ayant une expertise thématique, principalement de nature multilatérale, et des bureaux ayant une expertise géographique couvrant les régions de l’Afrique, de l’Amérique latine et de l’Asie. Les principales questions dont s’occupe aujourd’hui la direction générale de la mondialisation et des questions mondiales étaient auparavant traitées par l’ancienne direction générale des questions économiques. En particulier, la Direction est chargée d’analyser et de gérer :
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- les processus de gouvernance mondiale ;
- les enjeux économiques au sein du G8/G20 ;
- la coopération économique et financière multilatérale ;
- les questions de propriété intellectuelle ;
- les enjeux internationaux en matière d’énergie et d’environnement.
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➽ Belgique : Direction générale des Affaires multilatérales et de la Mondialisation (DGM)
La direction générale des Affaires Multilatérales et de la Mondialisation (DGM) a pour missions de promouvoir et défendre la politique étrangère de la Belgique dans le cadre des thèmes multilatéraux et relatifs à la PESC. Au sein du Service Public Fédéral Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au développement, la direction Générale des Affaires Multilatérales et de la Mondialisation (DGM) a pour missions de promouvoir et défendre la politique étrangère de la Belgique dans le cadre des thèmes multilatéraux et relatifs à la PESC.
Structure :
Du fait de la quantité et de la diversité desdits thèmes, la DGM, qui peut s’appuyer sur l’action multilatérale de nos Représentations permanentes ainsi que de nos postes bilatéraux, est subdivisée grosso modo en 8 domaines de compétence qui sont gérés chacun par une direction et ce, sur la base de la répartition des tâches suivantes. [Extraits]
La direction Politique de Sécurité (M1) assure la gestion, la promotion, le développement et la coordination de la Politique européenne de sécurité et de défense (PESD). Elle est également en charge de la sécurité internationale au sens large et participe à ce titre à l’ensemble du processus décisionnel au sein d’institutions internationales comme l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) et l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE). De plus, elle est responsable de la gestion, la promotion, le développement et la coordination de la politique belge en matière de « menaces hybrides et de désinformation ».
La direction Nations Unies et OIF (M2) assure la promotion et le développement de la coopération internationale au niveau mondial dans le cadre du système des Nations Unies comme l’Assemblée Générale et ses commissions, le Conseil de Sécurité, les opérations de maintien de la paix, les sanctions, le Conseil Economique et Sociale et ses commissions fonctionnelles, les grandes conférences, les institutions spécialisées, les contributions budgétaires ainsi que la politique relative aux candidatures à l’ONU. Elle se charge également de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).
La direction Droits humains (M3) a pour missions principales d’élaborer et de mettre en œuvre les dimensions droits humains et développement de la démocratie de notre politique étrangère, tant au niveau bilatéral que dans le cadre des organisations internationales et régionales telles que les Nations Unies, l’Union européenne et le Conseil de l’Europe.
➽ Suède : Politiken för global utveckling i genomförandet av Agenda 2030
Le gouvernement indique dans la lettre 2015/16:182 La politique de développement global (PGU) dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 qu’un cadre unique pour un développement mondial juste et durable a été négocié en 2015. L’Agenda 2030 rassemble pour la première fois l’agenda de réduction de la pauvreté et l’agenda du développement durable dans ses trois dimensions – sociale, économique et environnementale – dans un agenda commun. L’Agenda 2030 vise à éradiquer la pauvreté et la faim, à réaliser les droits humains pour tous, à réaliser l’égalité et l’autonomisation de toutes les femmes et des filles, et à garantir une protection durable de la planète et de ses ressources naturelles. Avec le document final de la Conférence sur le financement du développement, l’Accord de Paris sur le climat et le Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe, l’Agenda 2030 constitue un nouveau cadre mondial pour le développement durable.
L’Agenda 2030 et les 17 nouveaux objectifs mondiaux de développement durable sont universels. Cela signifie que tous les pays ont la responsabilité de mettre en œuvre le programme et de contribuer à la réalisation des objectifs, aux niveaux national et mondial. Le gouvernement souligne dans la lettre que cela impose des exigences accrues en matière de consensus et de coordination entre les différents niveaux, acteurs et domaines politiques, et que la politique de consensus de la Suède Responsabilité conjointe – La politique suédoise de développement mondial est un outil central dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030. a également souligné que le PGU a un lien direct avec l’objectif 17 qui concerne le renforcement des moyens de mise en œuvre et du partenariat mondial pour le développement durable.
Le gouvernement déclare dans la lettre qu’il procède à un nouveau départ du PGU et souligne son intention de diriger la mise en œuvre de l’Agenda 2030 avec une politique cohérente qui tienne compte de la perspective des pauvres, des droits de l’homme et des limites de la planète. Il est indiqué que le nouveau départ du PGU signifie une augmentation de l’ambition et une augmentation des connaissances au sein du Gouvernement et de ses autorités. Le gouvernement informe qu’il a formulé des objectifs concrets pour le travail et a clarifié la responsabilité de leur mise en œuvre. Un groupe de travail interministériel composé de responsables de PGU au niveau des chefs d’unité de tous les ministères a été créé. Pour la première fois, tous les ministères ont élaboré des plans d’action internes pour travailler avec le PGU en lien avec les nouveaux objectifs mondiaux. Sur la base du contenu de ces plans, le gouvernement donne dans la lettre des exemples de son travail en 2014-2016 dans les domaines thématiques du PGU liés aux nouveaux objectifs mondiaux. Il est indiqué que l’ancien modèle comptable du PGU avec six défis mondiaux est ainsi remplacé par un modèle comptable lié aux nouveaux objectifs mondiaux.
Les ministres de nos pays, n’occupant en réalité que des CDD grassement rémunérés, ne sont là que pour amuser la galerie. Le système est très bien rôdé. Les médias et les partis politique fixent l’attention de la majorité grâce à des débats stériles qui n’ont jamais fait progresser la société, laissant le champ libre au véritable pouvoir profond qui, jour après jour, tisse la toile mondialiste avec ardeur. L’énième représentation du grand « théâtre de Guignol » dans toute sa splendeur.
Dormez bien, braves gens, l’oligarchie financière mondiale apatride tentaculaire veille sur vous. Deux options sont possibles : soit la France retrouve sa souveraineté, soit elle sera bientôt totalement diluée et absorbée dans la fondue mondialiste.
Merci à maître Roland Sanviti, avocat au barreau de Paris, fondateur de « Justice et Démocratie » & co-fondateur du Prix Giovanni Falcone pour avoir diffusé cette « pépite ».
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« Je voulais juste t'envoyer un ptit mot pour te dire que je te suis sur youtube et ta page web et je voulais te remercier en même temps pour ce que tu fais, tu es très courageux. Bref, je suis avec toi et t'encourage. Merci ! »