Je vous avais fait part des dangers du fameux Traité sur les pandémies dès le 7 octobre 2021, alors que je partageais l’article du Dr Urmie Ray, qui fut publié à l’origine sur le site internet de Principia Scientific International. J’ai poursuivi ces avertissements à quelques reprises, soit à ces dates : 30 mai 2022, 26 mai 2023, 9 juillet 2023, 19 janvier 2024 et 8 février 2024. N’oublions pas que plusieurs projets de loi dont j’ai déjà parlé coïncident parfaitement avec ce Traité sur les pandémies qui est proposé par l’OMS et que le Canada signera fort probablement, ainsi que plusieurs autres pays. Par ce traité, les chefs d’État s’apprêtent à remettre la souveraineté de leurs nations entre les mains d’un gouvernement mondial et à signer un traité international qui soumettra tous les peuples à une dictature sans précédent, incluant les fermetures de frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus (englobant les exigences relatives à l’injection de vaccins ou d’autres produits pharmaceutiques).
Comme je l’ai écrit précédemment dans mon article du 19 janvier 2024, il semble bien que l’agenda des globalistes s’accélère maintenant. En effet, lors de la discussion au Forum économique mondial de Davos sur « la préparation à la maladie X » qui eut lieu le 17 janvier, Tedros Adhanom a affirmé que la meilleure façon de se préparer à la maladie X est que chaque pays signe le « Traité sur les pandémies », actuellement désigné CA+. Or, exactement le même jour, les médias à l’échelle internationale nous apprenaient que des scientifiques liés à l’armée chinoise ont développé en laboratoire une nouvelle variante du coronavirus qui attaque le cerveau et ont démontré un taux de mortalité de 100 % lors d’expériences avec des souris « humanisées ». Le virus, qui aurait été cloné dans un laboratoire de Pékin et conservé en plusieurs copies, risquerait d’être transmis à l’homme.
Je partage maintenant un texte rédigé par le chroniqueur L’Observateur Q2 (@LobservateurLi2). Publié le 25 mars 2024 sur son compte ✘, ce texte ne s’adresse pas uniquement à ses 32 367 abonnés++, mais à toutes les personnes qui se soucient de leur avenir. Ce texte sert en quelque sorte d’avertissement ultime et lucide avant la signature du Traité sur les pandémies qui aura lieu dans moins de deux mois.
Une vidéo de Marcus Cottus (@cottusmarcus) publiée sur Twitter/X : « Pendant que les médias alimentent une controverse insignifiante avec Guillaume Lemay-Thivierge… détourner l’attention de la population des vrais enjeux. »
➽ Le Traité sur les pandémies sera une bifurcation historique de nos sociétés, ainsi qu’un coup d’état mondial
➦ Par L’Observateur Q2 (@LobservateurLi2)
Aussi surprenant que cela puisse sembler, il y a une réalité encore plus grande et plus menaçante que la conflit fratricide Ukraine/Russie avec ses échos de guerre mondiale en devenir, et pourtant elle est peu visible, peu discutée, une présence quasi spectrale.
En effet, toute l’actualité mondiale n’est qu’agitation au regard d’un évènement qui aura lieu dans 60 jours et auquel toutes sortes de diversions fumeuses servent d’écran protecteur. Ce sera une bifurcation historique de nos sociétés. Cela aura lieu entre le 27 mai et le 1er juin prochain à Genève. C’est un coup d’état mondial, je pèse mes mots, préparé de longue date qui affectera les 194 états signataires de l’OMS qui seront appelés à voter sur le Traité pandémique mondial et qui devront ensuite appliquer les Règlements sanitaires internationaux RSI (IHR) dans les 12 mois subséquents.
Ces accords seront juridiquement contraignants. L’OMS aura le pouvoir de déclarer des Pandémies à sa seule discrétion. Elle aura tout pouvoir pour dicter aux états les mesures à prendre, les confinements à faire, les vaccins à injecter, les discours à tenir et les propos à censurer, à judiciariser, les populations à interner ou à déplacer. Je le répète ses diktats seront contraignants, ce ne seront pas des suggestions.
L’OMS s’érige en détentrice unique de la science et toute critique sera de la désinformation, sujette à censure et passible de sanctions. Comme l’OMS est une émanation de l’ONU et qu’elle opère sous les principes de l’idéologie du One Health, la santé a été élargie pour inclure la santé animale (sauvage et domestique), la santé de l’environnement (air, eau, terre, forestier, agricole) et la santé humaine (incluant transport, travail, industrie, hygiène de vie), le tout ne faisant qu’un.
Aucun mécanisme de consultation n’est prévu, aucun contre pouvoir n’est au programme, aucune durée n’est inscrite, le respect des droits humains et de la dignité des personnes a été biffé du document actuel. Gardons aussi à l’esprit que personne à l’ONU ni à l’OMS n’est élu. Ils sont tous nommés sans transparence et sans consultation citoyenne. Nous n’y avons aucune représentation ni droit de parole ni de procédure d’appel des décisions. Il n’y a pas de bouton d’arrêt. Ils utilisent le droit pour suspendre l’État de droit. Une astucieuse perversion.
Il est remarquable que ce sujet est totalement absent des médias traditionnels, que nos politiciens n’en discutent même pas, ne nous en parlent pas, que nous n’avons pas été consultés en tant que peuple souverain et qu’il n’y a aucun plan pour nous impliquer dans le processus.
La 77ème Assemblée annuelle de l’OMS signera le début d’une ère où ne subsistera que l’exuvie de nos républiques constitutionnelles vidées de leur substance, simples courroies de transmission des ordres venus de haut, tenants d’un pouvoir légitimé par des élections arrangées, bras armé contre les manants en cas de protestations. L’OMS est le cheval de Troie sur lequel repose leur stratégie d’attaque mondiale.
D’une seule pierre, 194 coups.
Pour paraphraser un président bien connu, « la Bête de l’événement est là et elle arrive ».
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« Merci Monsieur Boulianne, pour ce travail immense et votre dévouement d'information de la population toute entière. C'est là votre message de paix et d'espérance qui nous est indispensable. »
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).
Network : Main basse sur la télévision (Network) est un film américain réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1976. Le film est acclamé par la critique à sa sortie. Succès commercial, il reçoit par ailleurs de nombreuses distinctions dont 10 nominations aux Oscars. Il en remporte quatre : meilleur scénario original, meilleur second rôle féminin pour Beatrice Straight, meilleure actrice pour Faye Dunaway et Oscar du meilleur acteur pour Peter Finch.
Le réseau UBS est racheté par le conglomérat CCA. Franck Hackett décide alors de renvoyer Howard Beale, présentateur du journal télévisé depuis 20 ans et en perte d’audimat, malgré les protestations de Max Schumacher, rédacteur en chef. Lors de ses dernières émissions, Beale devient de plus en plus offensant, menaçant de se suicider et jurant en direct à la télévision. Flairant le bon coup médiatique, Diana Christensen, directrice des programmes, donne carte blanche à Beale. Lorsque Beale hurle à des millions de téléspectateurs de se rebeller contre le système, c’est le carton d’audience. Hackett décide alors de renvoyer Schumacher, et donne les pleins pouvoirs à Christensen. Elle transforme alors l’émission de Beale en une idiotie commerciale, où le présentateur, devenu totalement fou, crie des inepties populistes au public. Dans le même temps, elle crée une série documentaire tapageuse sur un groupe terroriste communiste. En parallèle, Schumacher quitte femme et enfants pour vivre avec Christensen.
Lors d’une émission, Beale révèle qu’UBS va être racheté par des Saoudiens, et demande au public de s’insurger. Il est donc convoqué par Arthur Jensen, propriétaire de CCA. À l’aide d’une mise en scène qui impressionne Beale, Jensen le convainc d’abandonner ses idées populistes et de propager un message pro-capitaliste et mondialiste. Beale s’exécute, mais les audiences baissent. Dans le même temps, Schumacher décide de quitter Christensen, obsédée par ses objectifs d’audimat et incapable d’exprimer la moindre émotion. Elle envoie alors ses amis terroristes tuer Beale en pleine émission, pour relancer l’audimat. Beale devient alors le premier homme à avoir été assassiné parce qu’il ne faisait pas assez d’audience.
Patrick Gaudreault (@PatGaudreault76) :
🔺Les décisions dictées par l’OMS devront obligatoirement être exécutées par les pays signataires.
🔺L’OMS pourra dicter les médicaments autorisés ou interdits durant une pandémie.
🔺Les états devront contrôler les réseaux sociaux.