Le ministère de la Défense de la Russie a publié la correspondance de Hunter Biden sur le financement des biolaboratoires en Ukraine

Le 31 mars 2022, le ministère de la Défense de la fédération de Russie a publié une correspondance entre le fils du président américain Joseph Robinette Biden (c’est-à-dire Joe Biden) et des employés du département de réduction des menaces du Pentagone et ses sous-traitants de biolaboratoires en Ukraine. Le contenu des lettres montre que Hunter Biden a joué un rôle important dans la création d’opportunités financières pour le travail sur les agents pathogènes en Ukraine, malgré les accords internationaux sur la non-prolifération des armes biologiques. La menace d’une utilisation à grande échelle d’armes biologiques contre la Russie, et donc contre le monde, est bien réelle et constitue un crime de guerre en soi. Afin de bien informer mes lecteurs à la source, j’ai traduit ci-dessous le discours du lieutenant-général Igor Kirillov, directement à partir du site Web du ministère de la Défense. [1] Les lecteurs pourront comparer et authentifier ma traduction avec celle qui a été faite par le ministère russe. [Consultez le PDF]

Écusson de la Moscovie

Les médias propagandistes tentent par tout les moyens de faire croire que Vladimir Poutine est l’incarnation du mal et un dictateur impitoyable. Laissez-moi vous dire que le Mal ne se situe pas là où on pourrait le croire, mais qu’il est à nos portes … il est chez nous. Ces nouveaux dictateurs qui se lèvent à travers le monde — lorsqu’ils auront perdu la grande bataille — se rabattront et feront périr leurs propres populations avec un esprit de vengeance effroyable. Là se situe le danger réel.

Il est clair pour celles et ceux qui savent voir et entendre que nous sommes en train de vivre les temps eschatologiques. Deux forces antagonistes s’affrontent actuellement : les tenants du Nouvel Ordre Mondial « unilatéral », souhaitant asservir l’humanité sous le joug de leur dictature, contre les défenseurs d’un ordre mondial « multipolaire, juste et démocratique ». C’est ce que fait actuellement le président Vladimir Poutine au sein du format Russie-Inde-Chine (RIC), contribuant à l’établissement de la multipolarité et à la suprématie du droit international sur la scène mondiale. J’ai écrit dans la présentation de mon dernier livre intitulé “L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique” :

« L’humanité vit dans un combat perpétuel entre ceux qui sont de la “race de vipères” et ceux qui sont les “fils de Dieu”. Cette race de vipères se cache sous la dénomination contemporaine de « Nouvel Ordre Mondial ». Il s’agit pour cette engeance de prendre possession et d’asservir les humains dans un système babylonien en leur injectant le venin du serpent et en leur ôtant toute parcelle divine qui était déjà en eux. Dans ce contexte, il semble que le président de la Russie, Vladimir Poutine, soit l’un des derniers remparts contre cette Cabale maléfique. C’est ce qui expliquerait que la mission de transporter l’Arche de Gabriel aux confins de l’Antarctique lui fut confiée. C’est aussi ce qui expliquerait la raison pour laquelle les forces obscures mondialistes le combattent avec autant d’ardeur et d’acharnement. »

Cela pourra surprendre certaines personnes, mais le rabbin Haïm Dynovisz [2] et M Hababou n’hésitent pas à dire dans une vidéo qui fut rapidement censurée par Youtube que les dirigeants qui sont au pouvoir ne sont pas des humains, mais qu’ils sont plutôt des reptiliens, descendants du serpent originel. (Vidéo à 35:06 min.) « Ils ont pris une forme humaine mais ce ne sont pas du tout des descendants de Adam et Eve. Le monde est partagé soit en singes devenus des hommes,— donc qui n’ont rien à voir avec Adam et Eve —, soit des démons qui sont descendus dans ce monde et qui sont généralement les grands dictateurs, les grands assassins, les grands violeurs, les grands criminels, etc. » (Vidéo à 28:28 min.)

Pouvons-nous retrouver quelques vérités dans la symbolique ancestrale ? Je vous rappelle que les armoiries de la Russie portent en leur centre l’écusson de la Moscovie qui se blasonne ainsi : « de gueules représentant Saint Georges terrassant la Dragon, sur son destrier d’argent (de la Moscovie). »


« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre. » (Apocalypse 20:7-8)

Le ministère de la Défense a montré la correspondance du fils de Biden sur les laboratoires biologiques en Ukraine

Le ministère russe de la Défense a organisé une autre réunion d’information sur les résultats de l’analyse des documents liés aux activités biologiques militaires américaines sur le territoire de l’Ukraine. Igor Kirillov, chef des troupes de défense contre les radiations, chimiques et biologiques des forces armées russes (RCBZ), a fait des déclarations qui transforment en fait les pays hébergeant des laboratoires biologiques américains en cibles pour les frappes préventives des forces stratégiques russes.

Igor Kirillov a commencé par présenter la correspondance du fils du président américain sortant, Hunter Biden, qui gère un fonds d’investissement avec des employés du bureau de réduction des menaces du département américain de la Défense et un certain nombre de sous-traitants du Pentagone en Ukraine. Il y est question du financement de programmes biologiques en Ukraine par Hunter Biden. Mais comme aucun programme militaire ne peut être mené sans tenir compte de l’avis du président américain Joe Biden, tout cela peut parler de l’entreprise familiale du président américain, qui l’a construite avec l’argent des contribuables américains.

« Le contenu des lettres montre que Hunter Biden a joué un rôle important dans la création de l’opportunité financière de travailler avec des agents pathogènes sur le territoire de l’Ukraine, en obtenant des fonds pour Black & Veach et Metabiota », a déclaré Igor Kirillov. Il a démontré la correspondance, notant que la présence de ces matériaux a été confirmée par les médias occidentaux. Selon Kirillov, les lettres confirment que les véritables objectifs du Pentagone en Ukraine étaient loin d’être scientifiques. Ainsi, dans l’une des lettres, le vice-président de Metabiota note que les activités de l’entreprise viseront à assurer « l’indépendance culturelle et économique de l’Ukraine vis-à-vis de la Russie ».

Le lieutenant général a souligné que les activités de la société Black & Veach soulevaient des questions même parmi les services spéciaux ukrainiens. Il a cité un mémorandum de la direction du SBU dans la région de Kherson daté de 2017 selon lequel l’Agence américaine de réduction des menaces pour la défense (DTRA. – Ed.) a l’intention, par l’intermédiaire de cette société, d’établir un contrôle sur les laboratoires microbiologiques en Ukraine qui enquêtent sur les infections dangereuses. Le SBU a souligné qu’à cet égard, « la menace potentielle d’une aggravation de la situation épidémique » dans le pays est devenue réelle.

Metabiota, à son tour, est connu pour ses travaux sur la prédiction des épidémies de maladies infectieuses, le Pentagone l’a impliqué dans la modélisation de la situation épidémiologique dans l’espace post-soviétique, a poursuivi Kirillov. Selon le ministère de la Défense, Marie Guttieri, vice-présidente de l’entreprise et confidente de Hunter Biden, travaillait en Ukraine depuis Metabiota, ce qui est confirmé par leur correspondance.

Participants directs au programme

Le lieutenant général a donné les noms de responsables spécifiques qui ont été directement impliqués dans la création de composants d’armes biologiques en Ukraine.

« L’un des personnages clés est Robert Pope, à l’époque employé de DTRA et directeur du programme coopératif de réduction des menaces, dont le but était d’impliquer les États de l’espace post-soviétique dans les activités biologiques militaires. Il est également l’auteur de l’idée de créer le Dépôt central des micro-organismes particulièrement dangereux à Kiev », a déclaré Kirillov.

Joanna Wintrall, chef du bureau DTRA en Ukraine, a coordonné les projets biologiques militaires et sélectionné les employés. Sous sa supervision, les projets UP-4, UP-6 et UP-8 ont été menés pour étudier des agents pathogènes mortels, notamment l’anthrax, la fièvre de Crimée-Congo, la leptospirose.

La division ukrainienne de Black & Veach est dirigée par Lance Lippencott, « il est également le principal interlocuteur des responsables du ministère de la Défense et du ministère de la Santé d’Ukraine ». La société travaille dans l’intérêt du Pentagone depuis 2008 et est également engagée dans l’étude du « virus des rickettsies et de l’encéphalite à tiques chez les arthropodes du nord-ouest de l’Ukraine ».

La biosurveillance et les rapports ont été supervisés par David Mustra, qui est étroitement associé à Metabiota. Auparavant, il a dirigé des projets biologiques militaires en Ukraine et en Europe de l’Est dans le cadre du Programme coopératif de réduction des menaces.

Le programme biologique militaire du Pentagone

Comme déjà signalé au ministère de la Défense de la fédération de Russie, les États-Unis ont dépensé plus de 200 millions de dollars pour le fonctionnement de laboratoires biologiques en Ukraine, qui ont participé au programme biologique militaire américain et ont traité, en particulier, des agents pathogènes de la peste et de l’anthrax.

Au total, le réseau était composé de plus de 30 institutions travaillant dans l’intérêt du Pentagone. Après le début de l’opération spéciale russe, tout ce qui concernait la poursuite du programme américain a été retiré de l’Ukraine, a souligné Kirillov.

Auparavant, le ministère russe de la Défense avait déjà attiré l’attention sur les faits du développement aux États-Unis de moyens techniques pour la livraison et l’utilisation d’armes biologiques. Ainsi, l’Office américain des brevets et des marques a publié le document n° 8 967 029 pour un véhicule aérien sans pilote destiné à répandre des insectes infectés dans l’air. La description du brevet indique qu’avec cet appareil, les troupes ennemies peuvent être détruites ou désactivées sans risque pour le personnel militaire américain. Kirillov a montré des diapositives et des documents d’autres brevets qui témoignent de la livraison de formulations chimiques et biologiques par voie aérienne.


► Réunion d’information sur les résultats de l’analyse des documents relatifs aux activités militaires et biologiques des États-Unis sur le territoire de l’Ukraine

► Discours du chef des troupes de protection NBC des forces armées de la Fédération de Russie, le lieutenant-général Igor Kirillov (31 Mars 2022)

Plus tôt, nous avons présenté un schéma d’interaction entre les agences gouvernementales et la direction militaro-politique actuelle des États-Unis avec des objets biologiques ukrainiens. En particulier, l’implication du fonds d’investissement géré par Hunter Biden dans le financement de programmes biologiques en Ukraine a été notée.

Vous avez devant vous la correspondance du fils de l’actuel président américain avec des employés du bureau de réduction des menaces du département américain de la Défense et des sous-traitants du Pentagone en Ukraine. La présence de ces matériaux est confirmée par les médias occidentaux.

Le contenu des lettres montre que Hunter Biden a joué un rôle important dans la création d’une opportunité financière pour le travail sur les agents pathogènes en Ukraine, en obtenant des fonds pour Black & Veatch et Metabiota.

La correspondance publiée indique que les véritables objectifs du Pentagone en Ukraine sont loin d’être scientifiques. Ainsi, dans l’une des lettres, le vice-président de Metabiota note que les activités de l’entreprise viseront à assurer « … l’indépendance culturelle et économique de l’Ukraine vis-à-vis de la Russie… », ce qui est plutôt étrange pour une entreprise de biotechnologie.

Aujourd’hui, nous avons la possibilité de donner les noms de responsables spécifiques qui ont participé à la création de composants d’armes biologiques sur le territoire ukrainien.

L’un des personnages clés est Robert Pope, alors employé de la DTRA et directeur du Cooperative Threat Reduction Program, dont le but était d’impliquer les États de l’espace post-soviétique dans les activités biologiques militaires. Il est également l’auteur de l’idée de créer le Dépôt central des micro-organismes particulièrement dangereux à Kiev.

Dans sa lettre à la ministre de la Santé Uliana Suprun (soit dit en passant, une citoyenne américaine), Pope apprécie hautement les activités du chef du ministère de la Santé de l’Ukraine, notant en particulier l’accès de spécialistes américains aux installations biologiques ukrainiennes et le début de travaux sur la formation d’un dépôt de micro-organismes.

Permettez-moi de vous rappeler comment cette activité s’est terminée : conformément aux informations disponibles, tous les biomatériaux pathogènes de l’installation de stockage ont été acheminés par avion de transport militaire vers les États-Unis via Odessa début février 2022.

La coordination des projets biologiques militaires en Ukraine et la sélection des interprètes ont été dirigées par Joanna Wintrall, chef du bureau DTRA en Ukraine. Sous sa supervision directe, les projets américains UP-4, UP-6, UP-8 ont été mis en œuvre pour étudier des agents pathogènes mortels, notamment l’anthrax, la fièvre de Crimée-Congo et la leptospirose.

Dans la continuité – la division ukrainienne de la société « Black & Veach », dirigée par Lance Lippencott. Il est également la principale personne de contact pour les fonctionnaires du ministère de la Défense et du ministère de la Santé de l’Ukraine.

L’entreprise travaille depuis 2008 dans l’intérêt du Pentagone dans le cadre de projets d’étude de bioagents potentiellement dangereux. Parmi eux, le projet UP-1 pour l’étude des rickettsies et du virus de l’encéphalite à tiques chez les arthropodes du nord-ouest de l’Ukraine. Afin de contrôler globalement la situation biologique, au cours du projet UP-2, la société a mis en place un système de surveillance à distance de l’incidence de la tularémie et de l’anthrax dans les installations biologiques ukrainiennes.

Les questions de biosurveillance et de transfert d’informations ont été supervisées par David Mustra, qui est étroitement associé à un autre sous-traitant du Pentagone, Metabiota. Auparavant, il a dirigé des projets biologiques militaires en Ukraine et en Europe de l’Est dans le cadre du Programme coopératif de réduction des menaces.

Il convient de noter que les activités de la société Black & Veatch ont soulevé de nombreuses questions, même parmi les services spéciaux ukrainiens.

Ainsi, en 2017, le département de Kherson du SBU dans son mémorandum indiquait, citation : « …récemment, la menace potentielle d’une aggravation de la situation épidémique dans notre pays a été mise à jour, en raison des intentions de DTRA à travers la société Black & Veatch pour établir un contrôle sur le fonctionnement des laboratoires microbiologiques en Ukraine, en menant des recherches sur les agents pathogènes d’infections particulièrement dangereuses qui peuvent être utilisées pour créer ou moderniser de nouveaux types d’armes biologiques… ». Fin de citation.

Metabiota est connu pour ses développements dans la prédiction des épidémies de maladies infectieuses. De plus, elle a été impliquée par le Pentagone dans la modélisation de la situation épidémiologique dans l’espace post-soviétique. Sur le territoire ukrainien, Metabiota était représentée par Mary Guttieri, vice-présidente de la société et confidente de Hunter Biden, ce qui est confirmé par les éléments de leur correspondance.

Les questions de modernisation des laboratoires ont été supervisées par Scott Thornton. En outre, il a conseillé le personnel local sur la gestion des agents pathogènes à haut risque dans le cadre des projets ukrainiens DTRA.

Les informations reçues démontrent l’implication directe du département militaire américain et de ses sous-traitants dans la planification et la mise en œuvre des projets du Pentagone sur le territoire ukrainien. Nous pensons que les responsables répertoriés devraient répondre aux questions sur les véritables objectifs de ces travaux.

Plus tôt, nous avons prêté attention aux faits du développement aux États-Unis de moyens techniques pour la livraison et l’utilisation d’armes biologiques. Ainsi, l’Office américain des brevets et des marques a publié le document n° 8 967 029 pour un véhicule aérien sans pilote destiné à répandre des insectes infectés dans l’air. La description du brevet indique qu’avec cet appareil, les troupes ennemies peuvent être détruites ou désactivées sans risque pour le personnel militaire américain.

D’autres brevets présentés sur la diapositive montrent divers types de munitions pour la livraison de formulations chimiques et biologiques. Dans leur description, les caractéristiques sont notées : « … faible coût unitaire de destruction et pas besoin de contact avec la main-d’œuvre ennemie … ». Ceci est conforme au concept de « guerre sans contact » de Washington. La possibilité d’équiper des capsules de substances toxiques, radioactives, narcotiques, ainsi que d’agents pathogènes de maladies infectieuses est montrée.

Nous vous rappelons que ces documents ont été rendus publics dans le cadre de l’enquête sur les activités d’un autre projet biologique du Pentagone – le Centre Lugar à Tbilissi.

En 2018, le ministère russe des Affaires étrangères a demandé au département d’État américain de donner une évaluation juridique du développement de ces dispositifs techniques du point de vue du respect des conventions sur l’interdiction des armes chimiques et biologiques. L’administration américaine s’est limitée à une réponse formelle, remerciant cyniquement la partie russe d’avoir attiré l’attention sur cette question et soulignant que « … le développement et la production d’armes biologiques et chimiques sont interdits par la législation nationale, mais la décision d’émettre une brevet ne viole pas les obligations des États-Unis au titre de la BTWC et de la CWC… ».

Dans le contexte de ce qui précède, l’attention est attirée sur la demande de l’entreprise ukrainienne Motor Sich au fabricant turc de véhicules aériens sans pilote « Bayraktar ». Je tiens à souligner que ce document est daté du 15 décembre 2021. Son essence : est-il possible d’équiper ce drone de systèmes et de mécanismes de pulvérisation d’aérosols d’une capacité supérieure à 20 litres.

Avec la portée de vol d’un tel UAV (jusqu’à 300 km) et l’équipement de conteneurs avec des formulations biologiques, une réelle menace d’utilisation à grande échelle d’armes biologiques sur le territoire de la Fédération de Russie est créée.

En fait, nous parlons du développement par le régime de Kiev de moyens techniques pour la livraison et l’utilisation d’armes biologiques avec la possibilité de leur utilisation contre la Fédération de Russie.

Un résultat important de l’opération spéciale des forces armées russes a été la cessation des activités de cinq laboratoires biologiques de Kiev, dans lesquels des travaux ont été effectués avec des agents pathogènes de l’anthrax, de la tularémie, de la brucellose, du choléra, de la leptospirose et de la peste porcine africaine.

Une partie de la collection a été exportée aux États-Unis, les souches restantes ont été détruites en urgence conformément à l’arrêté du ministère de la Santé ukrainien en date du 24 février.

Les faits de la participation de ces laboratoires à la réalisation de travaux commandés par le département militaire américain ont été confirmés. Dans l’un de ces bio-objets, le Centre de santé publique du ministère de la Santé de l’Ukraine, plusieurs projets UP ont été mis en œuvre simultanément avec un financement total de plus de 30 millions de dollars.

Veuillez prêter attention à la décision signée par le responsable du comité d’éthique de ce centre le 12 juin 2019 dans le cadre du projet UP-8. Le document témoigne de la conduite d’études avec un risque inconnu pour la vie et la santé des participants, ainsi que de la dissimulation de l’identité des sujets.

Auparavant, nous avons cité le programme de recherche de ce projet et il ne suppose qu’une procédure standard de prélèvement sanguin. La question se pose : quels sont les essais mettant la vie en danger s’il est prescrit par le document que « …les incidents mineurs avec des volontaires doivent être signalés au Comité de bioéthique des États–Unis 72 heures après l’incident, et les cas graves, y compris la mort des gens-dans les 24 heures… » ?

Nous n’excluons pas que le programme de recherche officiel ne soit que la « partie visible de l’iceberg », alors qu’en pratique des volontaires ont été infectés par le virus de la fièvre Crimée-Congo, les hantavirus et l’agent causal de la leptospirose.

Une telle attitude dédaigneuse envers les citoyens ukrainiens caractérise bien l’approche pragmatique des États-Unis dans l’organisation de la recherche biologique militaire. Les pays en développement sont considérés comme des terrains d’essai pour les composants d’armes biologiques et de médicaments.

Nous pensons que les documents reçus témoignent de la violation effective par les États-Unis et l’Ukraine des obligations découlant de l’article 4 de la BTWC et de la résolution n° 1540 du Conseil de sécurité des Nations Unies du 28 avril 2004.

Nous continuerons d’analyser les preuves documentaires des violations par l’administration américaine et le régime de Kiev des accords internationaux sur la non-prolifération des armes biologiques et vous tiendrons informés.


Conclusion : Que ressort-il de tout cela ?

La menace réelle d’une utilisation à grande échelle d’armes biologiques en Russie n’a pas été épuisée même maintenant, alors que la plupart des laboratoires américains en Ukraine continuent d’exister. En fait, nous parlons du développement par le régime de Kiev de moyens techniques pour la livraison et l’utilisation d’armes biologiques avec la possibilité de leur utilisation contre la Russie. Autrement dit, les mêmes armes de destruction massive.

Dans une telle situation, la Russie pourrait utiliser de manière préventive ses armes de destruction massive contre tous les centres de prise de telles décisions et les 30 laboratoires biologiques américains connus en Ukraine, et peut-être tous les autres qui entourent la Russie. Mais le problème est que la plupart des laboratoires de biologie sont situés dans une zone résidentielle densément peuplée, que les néonazis utilisent désormais comme « bouclier humain ». En fait, ce sont les nationalistes ukrainiens qui gardent désormais les affaires illégales de la famille Biden aux États-Unis pour créer des armes biologiques. C’est pourquoi la Russie s’est limitée à une opération spéciale, qui a déjà documenté les pires craintes de nos experts.

Des spécialistes militaires ont déjà prouvé en laboratoire que sur le territoire de cinq laboratoires biologiques américains en Ukraine, des travaux ont été menés avec des agents pathogènes : anthrax, tularémie, brucellose, choléra, leptospirose, peste porcine africaine.

Il existe des preuves qu’une partie de cette terrible collection a été transportée aux États-Unis, et les souches restantes ont été détruites d’urgence conformément à l’arrêté du ministère ukrainien de la Santé du 24 février 2022.

Le ministère russe de la Défense a promis de continuer à rendre compte des résultats de l’analyse des preuves documentaires des violations par l’administration américaine et le régime de Kiev des accords internationaux sur la non-prolifération des armes biologiques. Mais il est déjà évident que l’Ukraine, comme un certain nombre d’autres anciennes républiques soviétiques, est devenue en quelques années un terrain d’essai néonazi, où il est devenu possible de tester des composants d’armes biologiques sur des personnes.


La fin du monde avant la délivrance finale – Rav Dynovisz avec M Hababou

La fin du monde avant la délivrance finale (24 mars 2022) — Le rabbin Haïm Dynovisz et M Hababou n’hésitent pas à dire dans une vidéo qui fut rapidement censurée par Youtube que les dirigeants qui sont au pouvoir ne sont pas des humains, mais qu’ils sont plutôt des reptiliens, descendants du serpent originel. (Vidéo à 35:06 min.) « Ils ont pris une forme humaine mais ce ne sont pas du tout des descendants de Adam et Eve. Le monde est partagé soit en singes devenus des hommes,— donc qui n’ont rien à voir avec Adam et Eve —, soit des démons qui sont descendus dans ce monde et qui sont généralement les grands dictateurs, les grands assassins, les grands violeurs, les grands criminels, etc. »


RÉFÉRENCES :
NOTES :
  1. J’utilise un réseau virtuel privé russe (VPN) fourni par FineVPN pour accéder aux sites internet du ministère de la Défense de la fédération de Russie, du gouvernement et du Kremlin, ainsi qu’aux autres sites officiels et d’information situés en Russie.
  2. Le rabbin Haïm Dynovisz est né dans les années 1950 en Belgique au cœur d’une famille juive non-pratiquante. C’est au cours de la Guerre du Kippour, que le jeune homme décide de se rapprocher du judaïsme. Il va alors étudier la Torah dans plusieurs yechiva en France et ailleurs. Plus tard, il deviendra rabbin et ‘Habad. Aujourd’hui, il donne des cours de Torah à Jérusalem selon les enseignements profonds du judaisme, de la Hassidout, du Zohar et de la Kabbala.
Montréalité
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« Les articles de Monsieur Boulianne sont toujours intéressants et argumentés, ils me procurent de l’information et des sources de réflexion. »

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Publié le 2 mars 2022
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).

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[…] est tellement englué avec ses nombreuses malversations et celles de son fils Hunter, comme je vous en ai informé dès le mois de décembre 2019, qu’il lui […]

anne-france casteleyn

merci bravo las verités doivent sortir au gd jour

Chapet ginette

C’est excellent

Marie Thérèse

Merci pour votre travail de recherche et de traduction !
La vérité sortira, ayons la Foi…!

Paul-Emic

A reblogué ceci sur Politique émois et moi et a ajouté:
Des révélations sur le projet américain de guerre bactériologique qui disposait de plusieurs laboratoires en Ukraine. Fort heureusement, la campagne électorale permet aux journalistes français de faire comme si ça n’existait pas.

Le ministère de la Défense de la Russie a publié la correspondance de Hunter Biden sur le financement des biolaboratoires en Ukraine

Carolyonne89

A reblogué ceci sur La vérité est ailleurs et a ajouté:
Si vous souhaitez vraiment connaître toute la vérité sur la guerre Russo ukrainienne, sur l’implication extrêmement importante et dangereuse des USA en matière de laboratoires bacterioliques a des fins militaires, et celle de Hunter Biden, entre autres personnages américains impliqués totalement et les risques majeurs encourus pour les populations ukrainiennes,russes et européennes, lisez attentivement cet article et vous comprendrez tout!

Le ministère de la Défense de la Russie a publié la correspondance de Hunter Biden sur le financement des biolaboratoires en Ukraine

Paul-Emic

Impressionnant, mais visiblement ça n’impressionne pas les journalistes français qui observent un silence de papillon.

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