COVID-19 : Le virus est une arnaque de l’élite au changement climatique
« Nous sommes programmés pour entrer dans la Lumière. Les satanistes nous entraînent dans les ténèbres. » — Henry Makow PhD
L’agitation civile croissante commence à prendre note de Bill Gates et de son consortium résolument déterminé à changer l’économie mondiale. Ils ont utilisé le coronavirus comme un stratagème pour arrêter l’économie mondiale dans le cadre de leur programme sur les changements climatiques. Il existe une montagne de preuves indirectes qui indiquent que Fauci finance la création de ce virus et le transfère au laboratoire de Wuhan où ni la Chine ni les États-Unis ne l’ont divulgué, mais ce consortium qui a planifié cet événement 201 (Event 201) sur la façon de détruire l’économie mondiale et le reconstruire à partir de zéro. [1]
Ils introduisent déjà un revenu de base garanti, en supposant qu’ils peuvent supprimer plus de 300 millions d’emplois, puis payer les gens pour rester à la maison et regarder la télévision, où ils recréent le monde à leur propre image qu’ils promeuvent comme la grande réinitialisation. L’économiste Fabien, Thomas Piketty, écrit sur le site internet du journal Le Monde :
« La crise du Covid-19 peut-elle précipiter l’adoption d’un nouveau modèle de développement, plus équitable et plus durable ? Oui, mais à condition d’assumer un changement clair des priorités et de remettre en cause un certain nombre de tabous dans la sphère monétaire et fiscale, qui doit enfin être mise au service de l’économie réelle et d’objectifs sociaux et écologiques. Il faut d’abord mettre à profit cet arrêt économique forcé pour redémarrer autrement. » [2]
Tout cela a été planifié et il est promu par le tristement célèbre Forum économique mondial (FEM) de Davos. Ces gens sont tous des élitistes qui ne marcheraient jamais parmi nous qu’ils considèrent comme les grands non lavés. Ils ont déclenché la violence domestique dans le monde et encouragé tous les suicides en emprisonnant des personnes et en les privant de tous les droits de l’homme. Leur point de vue est que le monde est surpeuplé, donc éclaircir le troupeau pour sauver la planète est justifié et n’est donc pas un génocide, et Bill Gates ne voit aucun problème à ce que 700000 personnes puissent souffrir de son vaccin, [3] ce qui est un risque acceptable pour lui. Pendant ce temps, ils utilisent les médias pour blâmer Trump pour 100 000 morts comme si le vaccin de Gates les sauverait.
Des pays comme la Thaïlande ont vu leur commerce touristique et d’innombrables lignes alimentaires s’effondrer, le tout pour un faux virus. Ces élitistes ont utilisé la presse pour terroriser le peuple afin d’atteindre son objectif de recréer l’économie mondiale comme « plus verte, plus intelligente et plus juste ». Le Forum économique mondial promeut un programme marxiste avec un manifeste de 50 pages organisé par le communiste Thomas Piketty. Le FEM promeut un nouveau monde marxiste, appelant “le nouveau message urgent de Piketty sur la manière de lutter contre les inégalités” là où ils veulent attaquer toute personne riche. Leur proposition pour l’Europe est d’augmenter la fiscalité de 400% !
« Les gens disent que si vous commencez à remettre en question le nombre de zéros dans la fortune du milliardaire … où allez-vous vous arrêter? », déclara Piketty aux journalistes lors d’un lancement à Londres de son livre “Capital et idéologie”. « En fin de compte, je pense que nous devons accepter d’avoir une discussion démocratique sur ce qui est une propriété d’une ampleur raisonnable », a-t-il déclaré, arguant que l’expansion d’une classe super riche n’a pas profité à la société et s’est accompagné de faibles taux de croissance. [4]
Karl Marx a déjà essayé et plus de 200 millions de personnes ont perdu la vie. C’est ce que Socrate a prévu – la destruction de la société occidentale. Ce nouveau rapport met les visages derrière l’intrigue et c’est la lutte entre les droits de l’homme et l’oppression.
« Nous assistons à une lutte cosmique entre le Bien et le Mal, et je regrette de dire que le Mal est aux commandes et proche de la victoire. Les satanistes (francs-maçons) contrôlent à la fois les positions “progressistes”, “conservatrices” et “nationalistes”. » — Henry Makow PhD
Le manifeste « marxiste » pour la démocratisation de l’Europe
Gerald R. Flurry écrivait le 15 juin dernier : « Le coronavirus accélère l’arrivée du Saint-Empire romain prophétisé. » Ajoutant plus loin : « De nombreuses personnes ont exprimé la crainte que la récente crise détruise l’Union européenne. Mais même si cela peut paraître comme tel, l’Europe est, en fait, sur le point de s’unir d’une manière puissante. »
De nombreux experts vous diront que l’Europe est sur le point de se désunir. Si la réponse de ces pays au coronavirus n’entraîne pas un effondrement économique immédiat, la dette qu’ils accumulent viendra à échéance à un moment donné. Une sorte de crise financière est inévitable. Quand elle arrivera, regardez ce qui se passera !
Une crise comme la crise actuelle est exactement ce que les dirigeants européens ont désiré avec impatience pour forger un super-État européen ! L’un des fondateurs de l’Union européenne, Jean Monnet, a déclaré : « L’Europe sera forgée dans les crises et sera la somme des solutions adoptées pour ces crises », paroles reprises par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lors d’une entrevue sur la radio française Europe 1 : « On a souvent prédit la mort de l’Europe (…) Je suis convaincue que l’Europe sortira plus forte de cette crise. » [5]
Gerald R. Flurry écrit : « Le coronavirus a créé des problèmes, pour l’Europe, qui ont accru la pression pour l’unité. À l’heure actuelle, l’Europe est faible et divisée — une condition que le peuple allemand, plus que tout, ne peut pas accepter. Il va réagir, on peut en être sûr. L’aspiration des gens pour un “homme fort qui prendra enfin des mesures, se renforcera”. Et ils auront leur homme fort. Cet homme détournera l’Europe et la transformera en une autre itération du Saint-Empire romain, tout comme les hommes forts précédents l’ont fait, notamment Charlemagne, Otton le Grand et Adolf Hitler. » [6]
De toute évidence, Thomas Piketty souhaite renforcir les pouvoirs politique et économique de l’Union européenne au détriment des différentes législations nationales, profilant ainsi la résurgence du Saint-Empire romain germanique. En effet, Piketty est à la tête de la coalition d’économistes, de politiciens et d’historiens (T-Dem) qui ont élaboré un manifeste de 50 pages appelant à une augmentation des impôts des sociétés et des particuliers pour lever des fonds représentant environ quatre fois le budget actuel de l’UE. Cet argent financerait la création d’une assemblée européenne pour faire “des progrès immédiats” dans le rapprochement de la “division dommageable” qui, selon eux, menace la région.
« Après le Brexit et l’élection de gouvernements anti-européens à la tête de plusieurs pays membres, il n’est plus possible de continuer comme avant », écrivent les signataires. « L’Europe doit construire un nouveau modèle pour assurer le développement social juste et durable de ses citoyens. »
« Nous, citoyens européens venus d’horizons et de pays différents, lançons aujourd’hui un appel pour transformer profondément les institutions et les politiques européennes. Ce Manifeste contient des propositions concrètes, en particulier un projet de Traité de démocratisation et un projet de Budget, qui peuvent être adoptés et appliqués en l’état par les pays qui le souhaitent, sans qu’aucun pays ne puisse bloquer ceux qui souhaitent avancer.
« Notre projet politique est de bâtir un modèle original européen de développement social, équitable et durable. Nos propositions reposent sur la création d’une Assemblée européenne, démocratique et souveraine, compétente pour adopter un budget et une fiscalité au niveau européen permettant de répondre ensemble aux défis de notre avenir. Ce budget est conçu comme un levier pour qu’existe un nouvel espace politique transnational où les élus mais aussi les mouvements sociaux et les ONG reprennent la main et participent directement à la définition des objectifs politiques européens. »
Les inégalités ont augmenté l’agenda mondial à la suite de la crise financière de 2008, qui a amplifié les divisions entre ceux qui ont les revenus les plus élevés et les plus faibles. Bien qu’une grande partie du travail de Piketty explore ces thèmes, l’ampleur du problème est difficile à mesurer et les progrès concrets pour combler l’écart ont été lents.
Les promesses vagues et théoriques doivent être abandonnées et ceux qui ont profité de la mondialisation doivent s’engager à financer les biens publics, ont déclaré les auteurs du rapport. « La justice fiscale nécessite la création d’une Assemblée européenne souveraine qui peut adopter des impôts communs sur les grandes sociétés et les contribuables riches », écrit Piketty dans un article sur Twitter. Le plan « peut commencer avec quelques pays, puis s’étendre à d’autres ». [7]
« J’ai 70 ans et je ne serai là que pour une décennie ou deux. Mais je frémis en pensant à ce qui attend l’humanité. Il est temps de reconnaître notre terrible situation. Un cancer mortel infecte toutes les institutions sociales. Il doit être reconnu et traité. La civilisation occidentale ira-t-elle à sa tombe en raison de notre manque de sens et de notre naïveté? » — Henry Makow PhD
À propos de Thomas Piketty
Thomas Piketty, naît le 7 mai 1971 à Clichy, en banlieue parisienne. Ses parents, issus d’un milieu « très aisé », militent au parti politique français trotskiste situé à l’extrême gauche, Lutte ouvrière (LO). Ils vivent, au moment de sa naissance, dans l’Aude où ils sont éleveurs. À la fin des années 1970, la famille Piketty rejoint l’Île-de-France : son père est technicien et sa mère institutrice. La famille connaît l’expérience du chômage.
Après un baccalauréat C obtenu au lycée Descartes de Tours, Piketty entre en classes préparatoires scientifiques au lycée Louis-le-Grand, puis est admis à l’École normale supérieure en 1989 (il se classe 71e au concours d’entrée, Section sciences). Il obtient en 1991 un DEA en analyse et politiques économiques co-habilité par l’ENS, l’EHESS et l’ENSAE.
Il soutient, en juin 1993, à l’âge de vingt-deux ans, une thèse de doctorat en sciences économiques préparée à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et à la London School of Economics sous la direction de Roger Guesnerie. [8] Intitulée « Essais sur la théorie de la redistribution des richesses », elle obtient le prix de la meilleure thèse de l’année 1993 décerné par l’Association française de science économique.
Sa thèse achevée, il part enseigner de 1993 à 1995 au MIT, puis revient en France pour devenir chargé de recherche au CNRS, puis directeur d’études à l’EHESS à partir de 2000. Il publie l’année suivante une étude historique détaillée, Les hauts revenus en France au XXe siècle : inégalités et redistributions, 1901-1998. En 2005, Dominique de Villepin lui confie la création d’une nouvelle institution universitaire française « capable de rivaliser avec la London School of Economics », [9] projet sur lequel il travaillait depuis 2004. L’École d’économie de Paris (EEP), dont il devient le premier directeur à partir de la fin 2006, regroupe le Centre d’économie de la Sorbonne (université Paris 1), l’ex-DELTA, le CERAS et le Centre pour la recherche économique et ses applications (CEPREMAP). Il quitte ses fonctions au début de 2007. Il devient conseiller de Ségolène Royal lors de la campagne électorale présidentielle de 2007, rôle qu’il ne pouvait accepter auparavant, car incompatible avec le devoir de réserve traditionnellement associé à la fonction de haut fonctionnaire.
En 2013, son ouvrage Le capital au XXIe siècle est publié en France aux Éditions du Seuil. En 2014, la parution de sa traduction anglaise aux Presses universitaires de Harvard est rapidement remarquée. Clive Crook, sur Bloomberg View, écrit qu’« en plus de ses autres défauts », l’ouvrage incite les lecteurs à croire que l’inégalité est le seul problème important, et qu’il faudrait s’inquiéter de la faible croissance non parce que cela impacterait les niveaux de vie, mais aggraverait les inégalités. [10] Lors d’une tournée aux États-Unis pour présenter son livre, Piketty sera reçu à la Maison Blanche par le conseiller économique du président américain Barack Obama. [11]
En 2019, il publie le livre Capital et Idéologie aux Éditions du Seuil, qui fut traduit en anglais par Arthur Goldhammer et publié aux Presses universitaires de Harvard un an plus tard, sous le titre Capital and Ideology. Ce livre étudie les idéologies justifiant les forts niveaux d’inégalités à travers le temps. Il a été critiqué par Nicolas Brisset, qui reproche à Piketty de centrer son analyse sur la notion de propriété, aux dépens de celle de capital. Brisset considère également que Piketty analyse de manière trop insuffisante les systèmes idéologiques successifs. [12] Pour le journaliste Jean-Marc Vittori : « “Capital et idéologie” est bancal et débouche donc sur des propositions dangereuses », de plus « la démarche, plus souvent descriptive qu’explicative, fondée sur des positions de principe qui ne sont pas justifiées, manque étrangement de raisonnements économiques ». [13]
En 2015, Thomas Piketty accepte — sans quitter ses fonctions à l’EHESS / École d’économie de Paris — de participer à un programme sur les inégalités lancé par la London School of Economics. [14] Il a assuré la direction de 17 thèses de doctorat à l’EHESS entre 2005 et 2016 et la supervision de 64 mémoires de master à l’Ecole d’économie de Paris entre 2002 et 2017.
Thomas Piketty (@PikettyLeMonde) : "Ce manifeste pour la démocratisation de l'Europe, c'est d'abord un manifeste pour la justice fiscale et sociale" #le79inter pic.twitter.com/L8ZnlmH2RA
— France Inter (@franceinter) 10 décembre 2018
RÉFÉRENCES :
- Martin Armstrong : The Great Reset – The Final Battle Against Marxists. Armstrong Economics, June 18, 2020.
- Thomas Piketty : Le temps de la monnaie verte. Le Monde, 12 mai 2020.
- AFP USA : Bill Gates did not say COVID-19 vaccine could kill nearly a million people. Fact Check, Monday 18 May 2020. (PolitiFact)
- Mark John : This is Piketty’s urgent new message on how to fight inequality. World Economic Forum, 17 February 2020.
- Coronavirus – Ursula von der Leyen : « Il faut un plan Marshall pour assurer notre avenir ». Europe 1, vendredi le 3 avril 2020.
- Gerald R. Flurry : Le coronavirus et le Saint-Empire romain. La Trompette, 15 juin 2020.
- Emma Charlton : Want a fairer society? This economist says he has the answer. World Economic Forum, 11 December 2018.
- La London School of Economics (LSE) est fondée en 1895 par quatre membres de la Société fabienne, Sidney Webb, Beatrice Potter Webb, Graham Wallas et George Bernard Shaw. Son campus se trouve sur Houghton Street, dans le quartier d’Holborn, au centre du borough londonien de Westminster et à proximité de la City de Londres (lire: « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués », par Guy Boulianne).
- Michel Turin : Le grand divorce : pourquoi les Français haïssent leur économie, Paris, Calmann-Lévy, 2006.
- Clive Crook : The Most Important Book Ever Is All Wrong. Bloomberg View, 20 april 2014.
- Contrepoints : Piketty au piquet : interview de Frédéric Georges-Tudo. 22 février 2015.
- Nicolas Brisset : Capitalisme et Idéologie : une critique. ResearchGate, 3 février 2020.
- Jean-Marc Vittori : Piketty : anatomie d’un pamphlet anticapitaliste. Les Echos, 19 septembre 2019.
- Jean-Pierre Robin : Thomas Piketty, enrôlé par la London School of Economics. Le Figaro (15 mai 2015), encart « Le Figaro Économie », samedi 16 / dimanche 17 mai 2015, page 19.
« Vous êtes le seul au Québec à écrire avec autant de courage. "Your body of work" doit être imprimé pour la postérité, tout votre travail n'est pas en vain. »