L’Agence régionale de santé, en Charente, a notifié sa suspension d’exercice au Dr Julien Devilléger pour s’être opposé à la vaccination

Le 14 mai 2021 je publiais un article intitulé « Combien de temps faudra-t-il pour convaincre les incrédules que nous sommes dirigés par des psychopathes de très haut calibre ? » dans lequel je faisais part d’un phénomène COVID concernant des personnes qui rapportent que lorsqu’elles appliquent un petit aimant à l’endroit où elles ont été injectées avec le “vaccin”, l’aimant colle. J’ajoutais à cet article quelques études scientifiques sérieuses concernant,— entre autres —, la protéine “Magneto” et l’administration de nanoparticules superparamagnétiques d’un vaccin à ADN. Trois mois plus tard, je publiais un second article concernant l’étude observationnelle du Dr Julien Devilléger, « Opération Secret 16 », sur le magnétisme chez les vaccinés. En conclusion de cette étude, on retrouve une aimantation beaucoup plus fréquente de la partie chez les vaccinés (35/75) par rapport aux non vaccinés (2/30), p = 0,0027. Cette aimantation est beaucoup plus fréquente en cas de vaccination Astra (17/28 vaccinés) par rapport aux non vaccinés (2/30), p = 0,0014.

Or, comme cela était à prévoir, le 19 août dernier, le Dr Devilléger fit la une du journal Charente Libre, sous le titre dubitatif : « Vaccin et magnétisme: un cardiologue charentais rejoint la sphère des antivax ». Bien que la journaliste Lénaëlle Simon laissa une place respectable et honnête aux propos de l’infirmière libérale Jessy Duthil et assistante du Dr Devilléger, elle ne put s’empêcher de réduire le travail de ce celui-ci à la sphère des complotistes. Pourtant, à peine une semaine plus tard, le Ministère japonais de la Santé, du Travail et du Bien-être (MHLW) confirmait que « le vaccin COVID-19 de Moderna est contaminé par une particule métallique qui réagit aux aimants ». Deux jours après, le MHLW publiait un nouveau communiqué de presse national annonçant le décès de deux personnes qui ont toutes deux reçu le vaccin COVID-19 Moderna pour injection intramusculaire. Le 3 septembre, nous apprenions que le Premier ministre du Japon, Yoshihide Suga, démissionnait et qu’il ne serait pas candidat à l’élection à la présidence du Parti libéral-démocrate qui était convoquée pour le 29 septembre.

Encore une fois, nous avons appris par l’intermédiaire du journal Charente Libre que l’Agence régionale de santé (ARS) a notifié sa suspension d’exercice au Dr Julien Devilléger ― non pas à cause de son exposé sur le magnétisme du « vaccin » ― mais bien pour s’être opposé au vaccin lui-même. « La loi ne se discute pas. Les considérations morales ne relèvent pas de nous. », affirme Atika Rida-Chafi, la directrice de l’ARS en Charente. Voici ce que m’écrit le Dr Devilléger : « La pratique de la médecine dépend du conseil de l’Ordre, et, autant j’ai pu bénéficier du soutien sans faille de Michel Bacquart, notre président local, qui m’a permis d’exercer 11/2 an sans masque, en renvoyant l’ARS dans les roses, autant le conseil national n’a pas fait preuve d’un grand soutien vis-à-vis des autres médecins jusqu’ici. »

Le Dr Devilléger n’est pas ce qu’on appelle un « Antivax ». Il m’écrit : « Je suis vacciné contre tout ce qui est possible, y compris la fièvre jaune et la typhoïde. J’ai arrêté de me faire vacciner contre la grippe, car j’étais plus malade qu’autre chose alors que je ne l’avais jamais rattrapée depuis l’enfance. Je suis prêt à me faire vacciner, pas de souci de ce côté-là, mais les indications scientifiques sont claires :

  • La maladie doit présenter une mortalité importante (?)
  • Il doit y avoir une absence de traitement efficace (?)
  • On doit considérer la balance bénéfice/risque en faveur du vaccin (?)

« Je vais citer votre compatriote le Pr Denis Rancourt : “Imaginez un vaccin si sûr qu’on est obligé de vous menacer pour le faire, contre une maladie si dangereuse qu’il faut vous tester pour savoir si vous l’avez” » Le Dr Devilléger précise : « Même si j’ai mené une étude sans prétention sur le magnétisme, et même si les expériences retrouvant une identification par Bluetooth de sujets vaccinés Covid (malgré l’absence de smartphone et objet connecté… en clair, les vaccinés deviendraient des objets connectés!) se multiplient dans le monde (notamment dans les pays hispaniques), mon cheval de bataille n’est pas le vaccin+++ »

Correspondance du Dr Julien Devilléger à Guy Boulianne (suite)

Concernant cette formule théorique de l’immunité collective (1-1/R0), où R0 taux de reproduction de base est le nombre de personnes contaminées en moyenne par un malade, cette dernière n’a jamais été vérifiée en pratique. En effet, pour la grippe, où le R0 est autour de 2,5, il faudrait théoriquement vacciner 60%, or, 20-30% suffisent.

Le R0 pour la Covid-19 était de 3 environ, soit une immunité collective théorique pour 66% vaccinés, mais en pratique, la maladie a disparu sans vaccin (c’est le principe des virus saisonniers). Avec le variant Delta, le R0 est de 8 environ, mais la définition de la maladie a changé à cause du dépistage.

Cas asymptomatique, c’est digne du Dr Knock de Jules Romain ou du Malade Imaginaire de Molière.

Pour la tuberculose, R0=10, Varicelle, R0=12, rougeole: R=16. Mais au moins, ces maladies sont cliniques et bien définies. Il n’y a pas de rougeole asymptomatique, de tuberculose asymptomatique, de varicelle asymptomatique!!! Sachant que le variant Delta est asymptomatique chez 95% des patients, si on gardait la définition habituelle d’une maladie, fondée sur des symptômes, alors le R0 serait<1, donc pas d’épidémie! Et pas d’épidémie, pas de mesure restrictive!

Le confinement sans raison médicale (mais politiquement très utile), le masque idem, les tests PCR idem, ont amené la psychose, qui a contribué à donner un rôle messianique aux vaccins. Le vaccin a un intérêt, tout du moins théorique, chez les + de 65ans, car :

  • 93% des décès Covid ont plus de 65ans ;
  • L’immunité acquise est de 83% avant 65 ans et 47% après 65 ans dans une étude danoise du Lancet (27 Mars 2021).

Pour autant, l’obligation vaccinale n’est pas une considération vaccinale, mais politique. Le premier à l’avoir utilisée était Napoléon (1802?) lors de la guerre contre la Russie me semble-t-il.

Mon cheval de bataille (pour rester dans l’esprit guerrier) est le MALC, acronyme pour « Masque A La Con! » Je vais écrire (je vais avoir beaucoup de temps, car je vais prendre des vacances, et je vais réfléchir à l’avenir…). Un autre cheval de bataille est de revoir les définitions d’une maladie : la base! Car tout est construit à partir d’une dérive sémantique, la même qui avait échoué en 2009, est est passée comme une lettre à la poste 10 ans plus tard !

Concernant l’hypothèse espagnole, celle-ci est carrément une plandémie de Corona… sans virus ! Avec une cause toxique, et les radiations dont 5G, responsables de fausses épidémies. La protéine « Corona effect » (Toxicity of graphene…) et les effets secondaires étant en tout point comparable au Covid-19. La protéine spike 1-666 serait en fait du graphène 6/6/6 (protons, neutrons, électrons) sous forme Corona 6-66…
C=3
O=15
R=18
O=15
N=14
A=1
6-66

Corona étant écrit sur Moderna… Là ce serait encore autre chose !
Pas de virus (ça parait dingue, mais je pense qu’il faut creuser le sujet !), quel intérêt pour un vaccin ?

Bien cordialement.

Julien DEVILLEGER
(29 septembre 2021)

PS : 22 Septembre 2019: Nicolas Sarkozy parle de surpopulation devant le Medef.
18 octobre 2019: Event 201, et même jour, et quasiment même heure: début JO militaires de Wuhan…

Dr Julien Devilleger à l’émission de Richard Boutry, “La Une TV – édition spéciale”, samedi le 14 août 2021.

TITRE : « 39 professionnels de santé non vaccinés suspendus, un médecin continue d’exercer » (Charente Libre, 29 septembre 2021)

L’ARS a mené des contrôles jeudi et vendredi dernier. 30 soignants dans des établissements de santé et 9 libéraux ont été épinglés. Un cardiologue de La Rochefoucauld brave l’interdit.

Les professionnels de santé doivent être vaccinés pour continuer à exercer depuis le 15 septembre. En Charente, 60 salariés d’établissements de santé ou médico-sociaux ont été suspendus faute d’attestation valide lors du contrôle à l’entrée de leur lieu de travail. Dans le détail, l’ARS évoque 30 soignants épinglés et 20 agents (administratifs, cuisiniers). « Cela n’entraîne pas de désorganisation des services », rassure Atika Rida-Chafi, la directrice de l’ARS en Charente. Elle s’attendait à ce chiffre, plutôt faible en rapport avec les milliers de professionnels qui se sont pliés à la loi.

Dans le libéral, 44 noms sont sur les radars de l’Assurance Maladie. Jeudi et vendredi derniers, l’ARS a mené des contrôles dans les cabinets concernés. Bilan de l’opération: sur les 44 suspects, 19 ont été inspectés, les autres n’étant pas présents au moment de l’intervention. « Huit d’entre eux ont une raison médicale pour ne pas être vaccinés et neuf sont susceptibles d’être suspendus », note Atika Rida-Chañi. Les deux derniers se sont avérés être en règle. Les profils de cette liste noire ? Un médecin et des professionnels du paramédical comme des kinés. Pharmaciens et biologistes seront concernés par une deuxième vague de contrôles.

« La loi ne se discute pas »

Les réfractaires avaient 24 heures pour fournir les justificatifs, faute de quoi ils n’ont plus le droit de recevoir de patients. Mais les contrôleurs ne se font pass d’illusion sur quatre d’entre eux « ouvertement opposés à la vaccination ». C’est le cas du docteur Julien Devilléger, cardiologue à La Rochefoucauld et Angoulême, visité vendredi. Mi-août, il s’était bâti une petite notoriété dans le milieu antivax, en soutenant une théorie sur le magnétisme lié au vaccin sur le plateau de « La Une TV », une web-télé anti-pass sanitaire.

Lundi, les patients défilaient toujours dans son cabinet de La Rochefoucauld. Un contrôle et une suspension d’exercice ? « Pas au courant », répond la secrétaire, son patron ne souhaitant pas s’expliquer. Selon nos informations, les inspecteurs de l’ARS ont pourtant bien notifié au médecin sa suspension à titre conservatoire. S’il ne dévisse pas sa plaque d’ici un mois, l’ordre des médecins peut prononcer une sanction disciplinaire, voire saisir le parquet pour exercice illégal de la médecine. « Cela ouvre la voie à des sanctions pénale », note Atika Rida-Chafi. L’Assurance Maladie peut aussi réclamer l’argent des remboursements versés lors de sa suspension. La directrice de l’ARS refuse de commenter ce cas précis. Mais elle l’assure: « nous voulons être intransigeants, la loi ne se discute pas. Les considérations morales ne relèvent pas de nous. » Le cardiologue et ses collègues seront de nouveau contrôlés dans les prochaines semaines.

Le 26 septembre 2021, le docteur Denis Agret nous parla des effets indésirables graves et des décès suite aux vaccins. Il démissiona dès le lendemain. (France 3 Occitanie)

Quelques études scientifiques à consulter :

RÉFÉRENCES :
Ginette Major
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