Suite à la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine, dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6 novembre, Elon Musk s’est exclamé sur son réseau social X : « Novus Ordo Seclorum », l’une des deux devises latines figurant au revers du Grand Sceau des États-Unis. Selon l’histoire officielle, cette devise aurait été inventée par Charles Thomson, le secrétaire du Congrès de la Confédération, mais nous verrons ci-dessous que ceci n’est pas tout à fait conforme à la « vraie réalité »..
Le revers du Grand Sceau présente une pyramide tronquée surmontée d’un œil de la Providence. La plupart des ouvrages s’adressant au grand public diront que l’année de la déclaration d’indépendance des États-Unis, 1776, est indiquée en chiffres romains à la base de la pyramide. Par contre, ceci n’est pas de l’avis du Dr Emanuel Josephson qui écrit dans son livre “Roosevelt’s Communist Manifesto”, publié en 1955 : « L’insigne de l’Ordre des Illuminati a été adopté par Weishaupt au moment où il a fondé l’Ordre, le 1er mai 1776. C’est cet événement qui est commémoré par le MDCCLXXVI à la base de la pyramide, et non la date de la signature de la Déclaration d’Indépendance, comme l’ont supposé les non-informés ».
La plupart des ouvrages vous diront aussi que l’expression « Novus Ordo Seclorum » signifie « Nouvel Ordre des Âges », tentant d’évacuer tout lien avec quelque société secrète que ce soit. Ceci n’est pas complètement faux, mais nous nous devons d’être un peu plus précis. Le mot seclorum est la forme plurielle génitive (possessive) du mot saeculum, qui signifie « génération », « siècle » ou « âge ». Saeculum en est venu à signifier « âge, monde » dans le latin chrétien tardif, et « séculier » en est dérivé, par l’intermédiaire de secularis. Dans ce contexte, la devise « Novus Ordo Seclorum » signifie donc bel et bien « Nouvel Ordre Mondial ». N’oublions pas ce que le grand commandeur du Conseil de la Juridiction Sud du Rite écossais ancien et accepté, Albert Pike, écrivit dans son ouvrage ésotérique et initiatique le plus célèbre, “Morals and dogma of the ancient and accepted Scottish Rite of Freemasonry” :
« La Maçonnerie, comme toutes les Religions, tous les Mystères, l’Hermétisme et l’Alchimie, cache ses secrets à tous, sauf aux Adeptes et aux Sages, ou aux Élus, et utilise de fausses explications et des interprétations erronées de ses symboles pour tromper ceux qui ne méritent que d’être trompés ; pour leur cacher la Vérité, qu’elle appelle Lumière, et pour les en éloigner. »
L’internaute Donnie Discerned nous rappelle qu’Elon Musk portait déjà une veste de smoking blanche avec la devise « novus ordo seclorum » écrite dans le dos, lors du Met Gala en 2018. On voit donc que cette mention fait partie d’un agenda personnel du magnat des affaires. Srishti B Dutta écrit dans le journal India Times : « Connu pour son influence et sa vaste portée, Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, a utilisé sa plateforme de médias sociaux comme un puissant outil tout au long de la campagne, ralliant des soutiens et façonnant l’opinion publique. Cette victoire n’est pas seulement celle de Trump ; elle témoigne également de l’influence indéniable d’Elon Musk sur le paysage politique moderne. » La journaliste poursuit : « Novus Ordo Seclorum a pris un sens nouveau lorsqu’Elon Musk a repris cette expression après la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle de 2024, accompagnée d’une image de lui avec Donald Trump. Apparaissant au revers du Grand Sceau des États-Unis et au dos de chaque billet d’un dollar américain, cette phrase fait allusion à une transformation historique. »
Mais quel est donc ce Nouvel Ordre Mondial que nous préparent Donald Trump et Elon Musk ? Contrairement aux attentes de leurs admirateurs, cela risque d’être un nouvel ordre technocratique basé sur la surveillance des citoyens. Le réalisateur et journaliste Richard Willett écrit : « Tout est financé par le technocrate Peter Thiel, qui est Palantir, qui est IN-Q-TEL, qui est la branche de capital-risque de la CIA ». Je vous rappelle que la société Palantir est le moteur de l’État de surveillance et, peu après l’annonce de la nomination de Vance à la vice-présidence de Trump, on a appris que Joe Lonsdale, cofondateur de Palantir, ainsi que Palantir elle-même, soutenaient un super PAC Trump-Vance appelé America PAC. [Lire cet article] Le cofondateur du Free Thought Project, Jason Bassler, écrit pour sa part : « Je ne dis pas que ces personnages se positionnent comme des sauveurs pour inaugurer un État policier technocratique, mais si c’était le cas, que feraient-ils différemment ? » Un autre internaute écrit sur X/Twitter : « Le gars qui construit des puces cérébrales, des robots et SkyNet vient de siffler le Nouvel Ordre Mondial et tout le monde dans les commentaires applaudit comme un groupe de phoques. »
« Le régime Trump, qui appartient à Israël et aux milliardaires de l’intelligence artificielle, va installer un système de contrôle de l’intelligence artificielle en parfaite adéquation avec l’agenda de la secte/du WEF, comme je l’ai prévenu tout au long de la campagne électorale. Ils l’ont fait entrer (eux-mêmes). Il est maintenant temps de se venger. » ― David Icke, le 8 novembre 2024
Donald Trump ne sera peut-être pas celui que ses admirateurs les plus fanatiques croient qu’il est. Dès son élection le 5 novembre dernier, la présence policière autour de sa résidence de Mar-a-Lago en Floride a été largement renforcée, incluant la patrouille d’un chien-robot ! Ce robot à la fine pointe de la technologie est notamment équipé de petites mitraillettes sur le dos, de systèmes de géolocalisation, de détecteurs à balayage et de divers capteurs. L’auteur David Icke écrit à juste titre : « Vous voyez ce que je veux dire ? Les gens qui ont mis en garde contre le contrôle par des robots IA applaudissent maintenant parce que Trump les utilise. Ce n’est que le début de la prise de contrôle de l’IA pour laquelle les démocrates auraient dû faire face à des représailles. Mais pas Trump et Musk. C’est une opération psychologique. »
J’écrivais récemment sur le réseau X/Twitter : « Je suis exaspéré de voir les gens croire en cette politique tordue. Ils attendent un sauveur. Les gens n’ont pas évolué. Tout reste pareil. Même si on écrit des tonnes d’articles, les gens ne changeront pas. Ils ne réfléchissent pas. Ils restent au même point. » Un peu plus tard dans la même journée, j’écrivais : « Les gens sont manipulés et facilement manipulables, et ceux qui les manipulent le savent très bien. Les gens n’ont pas compris qu’ils se moquent totalement d’eux. » Il s’agit que Trump et Musk fassent des pitreries et des bouffonneries pour que les gens tombent en extase devant ces idoles des temps modernes. J’entrevois déjà certaines personnes me qualifier de woke, de démocrate, de gauchiste, de socialo-communiste, etc. Ce serait bien mal me connaître. Chacun devrait savoir que « je suis sans parti ni allégeance ». En fait, je fais tout simplement face à la réalité qui nous environne sans me voiler le visage. Tel que je l’ai mentionné sur X/Twitter : « Mes idées et ma conception du monde dans lequel nous vivons et qu’on nous impose sont clairs ». Heureusement, ce n’est pas tout le monde qui est aveuglé par ce culte des personnalités. Voici quelques commentaires :
« Je suis heureux de voir que certaines personnes ont conservé leur lucidité. Nous sommes un petit nombre, mais mon petit doigt me dit que nous serons bientôt de plus en plus nombreux. » (DanyDee)
« Ils sont esclaves de ce système et ne le réalisent pas. Et pire, ils soutiennent des leaders de pays étrangers et affichent des drapeaux de pays qui ne sont pas le leur. » (Kaiserin Von Europa)
« Même les politiciens de droite semblent ne pas se rendre compte (ou n’osent pas ou ne veulent pas parler) que Trump est un trompeur qui prépare l’arrivée de l’Antichrist et le Nouvel Ordre Mondial. Ça n’a pas de sens. J’en ai décroché un. J’en ai assez de ce petit jeu. » (Lorraine Bernier)
« L’agenda se poursuit dans le plus grand abrutissement des masses. Toujours pas de nouvelles de possibles fraudes cette fois ? Bizarrement l’élection de Trump se déroule sans encombres. Mais les ignares ne voient rien tellement ils ont du caca dans les yeux. » (Carlota)
Pour sa part, le réalisateur et journaliste Richard Willett écrit sur le réseau social d’Elon Musk : « La secte transhumaniste babylonienne est au grand jour, comme elle a dû le faire à un moment donné. Et maintenant, elle a fait un lavage de cerveau aux masses américaines et britanniques pour qu’elles l’acceptent. Trump, RFK et Netanyahu sont tous membres du groupe messianique Chabad. Trump a gracié Anthony Levandowski qui dirige une église (secte) d’AI à la demande de Peter Thiel. »
Le 1er novembre, une amie me transmettait des informations à propos du Projet Esther. Elle m’écrivait : « Bonjour Guy. J’ignore si c’est un sujet qui vous intéresse, mais j’ai l’impression que si Trump est élu que la guillotine va tomber sur ceux étiquetés “Pro-Hamas” et autres. Ça donne froid dans le dos… » Je lui ai répondu : « Je trouve cela écœurant. Ce n’est pas parce qu’on dénonce le génocide sur les Palestiniens que nous sommes des pro-Hamas. Et c’est tout à fait normal de dénoncer le sionisme. C’est la plaie du monde. Être antisioniste n’est pas être antisémite. (…) Ils viendront tous nous chercher. » Surtout lorsque l’on sait que le Hamas a été créé et financé par nul autre que les États-Unis et Israël, comme je l’ai publié à quelques reprises sur ce site internet. Mon amie concluait la correspondance en m’écrivant : « Soyez prudent, vous êtes sur la ligne de front de la Vérité et exercez le métier le plus dangereux qui soit. »
L’organisation à l’origine du Projet 2025, le projet controversé d’une seconde administration Trump, a publié un plan pour lutter contre l’antisémitisme. Le Projet Esther a été dévoilé par la Fondation Heritage à l’occasion du premier anniversaire du lancement par Israël de sa campagne génocidaire contre la population de Gaza. Le document affirme que l’antisionisme et les sentiments en faveur de la paix sont toujours et dans tous les cas équivalents à de l’antisémitisme. Il appelle à infiltrer, surveiller et détruire les groupes qu’il identifie comme étant affiliés à un prétendu « réseau mondial de soutien au Hamas ». Le texte intégral du « Projet Esther » est disponible sur le site de la Heritage Foundation, un laboratoire d’idées et lobby américain proche de Donald Trump. Le document appelle les « partenaires » à s’engager dans une répression contre l’éducation, la liberté d’expression, l’organisation et la collecte de fonds qui remettent en question ou défient la politique du gouvernement israélien. Il propose que le pouvoir exécutif du gouvernement américain poursuive les organisations qui critiquent Israël. « Nous espérons que cet effort représentera une opportunité de partenariat public-privé lorsqu’une administration volontaire occupera la Maison Blanche »
Cet addendum au Projet 2025 accuse 16 membres du Congrès d’être à la tête d’une « cabale active de haineux des Juifs, d’Israël et de l’Amérique à Washington » et les qualifie de « caucus du Hamas ». Le document déplore ensuite que davantage de législateurs juifs aient voté contre la tentative de censure de la représentante démocrate du Michigan Rashida Tlaib, plutôt que pour elle. Il affirme que les dix sénateurs juifs ont tous « des positions anti-israéliennes [qui] sont à la fois notoires et inexplicables ». Comme l’écrit Taryn Fivek sur le site internet de People’s World, « les organisations chrétiennes évangéliques semblent avoir joué un rôle majeur dans la rédaction du projet, et ce sont probablement les électeurs chrétiens plutôt que juifs qui sont le public cible de la campagne Heritage ». Le nom du projet Esther est tiré d’un récit biblique tiré du Livre d’Esther. Selon ce récit, qui se déroule en Perse au 5e siècle avant J.-C., Esther, l’épouse du roi, intervient pour sauver le peuple juif d’un génocide.
Mais contrairement à l’humanité de son homonyme, le projet Esther est impitoyable. Les membres nés à l’étranger des organisations ciblées doivent être expulsés. Les enseignants et le personnel sympathisants doivent être licenciés et les étudiants et professeurs étrangers doivent faire l’objet d’un contrôle politique pour obtenir un visa. La sympathie ou l’affiliation aux organisations ciblées entraînerait une liste noire d’emploi. Des termes tels que « analyse des réseaux sociaux » sont utilisés pour décrire la surveillance, l’infiltration et la perturbation des mouvements de justice sociale. L’infiltration est préconisée comme une tactique visant à semer la méfiance entre les organisations. Le document propose même d’identifier des « nœuds critiques » – des individus humains – dont la « suppression » constituerait une étape majeure vers la destruction des organisations que la Heritage Foundation considère comme hostiles aux intérêts commerciaux d’Israël et des États-Unis. La journaliste Taryn Fivek ajoute : « Si l’on se souvient de l’époque de McCarthy, une simple trace de sympathie pour les Palestiniens suffirait à classer une organisation ou un individu dans le réseau du Hamas. Le document note que tout groupe qui cherche à « défaire le tissu de la société américaine » pourrait être lié à ce réseau fantaisiste, ce qui le qualifierait de « voué à la destruction ». Ainsi, une guerre contre le sentiment anti-israélien serait de la même manière une guerre contre les ennemis de la Heritage Foundation. »
Arno Rosenfeld écrivait le 15 octobre dans le magazine juif américain The Forward : « Ce groupe de réflexion a contribué à façonner les politiques des présidents républicains pendant des décennies et se concentre désormais sur « l’institutionnalisation du trumpisme ». Cela signifie qu’il y a de fortes chances qu’une grande partie du contenu du document de 33 pages du Projet Esther puisse devenir une politique fédérale si l’ancien président Donald Trump gagne en novembre. » Trois semaines plus tard, il semble bien que les propos du journaliste soient sur le point de se concrétiser. En effet, le quotidien généraliste britannique The Independent (et bien d’autres médias) nous apprenait le 8 octobre que Donald Trump s’est engagé à « éliminer les ennemis des Juifs » lors d’un discours prononcé la veille lors d’un événement commémoratif au Trump National Doral Golf Club en Floride, à l’occasion du premier anniversaire des attaques contre Israël. Évidemment, Trump sème la confusion de genre entre « Juif » et « Sioniste ».
Dans ce contexte, devrais-je moi-même m’inquiéter de ce Projet Esther présenté par la Fondation Heritage ?!
Makia Freeman écrit sur le site The Freedom Articles : « Nous n’avons pas besoin d’un nouveau maître de plantation. Nous avons besoin de la conscience qui forme la base d’un système d’auto-gouvernance. L’humanité est-elle prête à évoluer au-delà du point où elle a besoin d’un gouvernement ? Les gens peuvent-ils se désengager du vote et du système ? Les gens peuvent-ils déprogrammer la croyance que leur vote compte, la croyance que leur vote changera quelque chose, la croyance que nous avons besoin d’un gouvernement et la croyance en l’autorité ? » En conclusion, je partage avec vous un article très intéressant et pertinent de Tom A. Hidell intitulé “The Illuminati Symbol, the Great Seal and the One Dollar Bill” (Le symbole des Illuminati, le grand sceau et le billet d’un dollar), nous proposant une analyse approfondie sur le symbolisme du Grand Sceau des États-Unis (Rex Illuminati, 22 avril 2014).
« Il [Elon Musk] ne fait que troller les gars. C’est juste une blague. Et quand les wagons arriveront et que les troupes vous forceront à entrer, ce sera aussi une blague. » — Brian Young (HighImpactFlix), le 7 novembre 2024
➽ « Le symbole des Illuminati, le grand sceau et le billet d’un dollar », par Tom A. Hidell (Rex Illuminati)
L’œil omniscient flottant au-dessus d’une pyramide inachevée est le symbole le plus largement reconnu des Illuminati. Le « logo Illuminati » apparaît sur le billet d’un dollar américain, le billet de banque le plus largement diffusé au monde, et on le voit de plus en plus dans les films, à la télévision et dans d’autres médias. Il est désormais reconnu comme le logo prééminent des Illuminati tout-puissants et secrets. Que représente ce symbole ? Comment a-t-il pu apparaître sur le billet d’un dollar ? S’agit-il des Illuminati ?
L’œil qui voit tout et la pyramide sont apparus pour la première fois au revers du sceau des États-Unis dans un dessin approuvé par le Congrès en 1782. Après la signature de la Déclaration d’indépendance donnant officiellement naissance aux États-Unis d’Amérique, un comité a été formé pour créer un emblème afin de résumer les idéologies de la nouvelle nation.
Les sceaux pendentifs étaient couramment utilisés pour authentifier les communications officielles à l’époque, c’est pourquoi le comité, comprenant les pères fondateurs Thomas Jefferson, Benjamin Franklin et John Adams, s’est attaché à concevoir les deux côtés du Grand Sceau des États-Unis.
La conception finale a pris six ans et est passée par trois comités différents comprenant un total de 14 hommes avant d’être finalement approuvée par le Congrès à l’automne 1789.
Il est difficile d’estimer la contribution exacte de chaque homme à la conception finale. Le premier comité a contribué à l’œil omniscient dans un triangle et la pyramide inachevée à 13 marches a été ajoutée par le troisième comité en 1782, mais elle a probablement été inspirée par la conception du billet continental de Francis Hopkinson, membre du deuxième comité. Selon l’occultiste et expert du Grand Sceau Robert Hieronimus, les deux pyramides ont été influencées par la représentation de Sir John Greaves de 1646 d’une pyramide inachevée. (voir Pyramidographia de John Greaves)
Les sceaux pendentifs, qui étaient de petits disques de cire suspendus aux documents et imprimés avec des emblèmes officiels ou des armoiries de chaque côté, étaient utilisés pour authentifier les communications officielles. (Voir Le sceau pendentif à double face d’Henri VIII) Les sceaux pendentifs furent plus tard remplacés par le sceau à plaquette plus pratique qui ne nécessitait qu’une seule empreinte de sceau. Le côté représentant l’aigle devint proéminent tandis que le côté opposé, l’œil qui voit tout et la pyramide disparurent peu à peu dans l’obscurité. Jusqu’à…
➧ Franklin Delano Roosevelt, le New Deal et le billet d’un dollar
En 1935, le 32e président et 32e franc-maçon Franklin Roosevelt a ajouté le Grand Sceau au dos du billet d’un dollar américain. Le secrétaire à l’Agriculture (plus tard vice-président) Henry Wallace a écrit qu’il avait vu pour la première fois le dos du Grand Sceau et qu’il avait été « impressionné » par la façon dont la devise Novus Ordo Seclorum pouvait signifier « New Deal des siècles ».
Il apporta le sceau à Roosevelt :
Roosevelt, en regardant la reproduction en couleur du sceau, fut d’abord frappé par la représentation de « l’œil qui voit tout », une représentation maçonnique du Grand Architecte de l’Univers. Ensuite, il fut impressionné par l’idée que les fondations du nouvel ordre des âges avaient été posées en 1776, mais qu’elles ne seraient achevées que sous l’œil du Grand Architecte. Roosevelt, comme moi, était un franc-maçon du 32e degré.
Roosevelt fut tellement impressionné par le sceau qu’il suggéra de l’ajouter au billet d’un dollar à condition que les catholiques ne s’opposent pas à ce que l’œil maçonnique omniscient soit présent sur le billet. Il n’y eut aucune objection et FDR approuva personnellement le design final. Les nouveaux billets furent mis en circulation à l’été 1935.
La familiarité de Wallace avec l’occultisme allait lui causer des ennuis lors de l’élection présidentielle de 1940, après que des lettres qu’il avait écrites à l’occultiste russe Nicolas Roerich furent entre les mains des républicains. Les lettres « Cher gourou » furent rendues publiques sept ans plus tard.
➧ Signification maçonnique du Grand Sceau
Non seulement de nombreux fondateurs du gouvernement des États-Unis étaient des francs-maçons, mais ils reçurent l’aide d’un organisme secret et auguste existant en Europe qui les aida à établir ce pays dans un but spécial et particulier, connu seulement de quelques initiés.
Le Grand Sceau est la signature de cet organisme exalté – invisible et pour la plupart inconnu – et la pyramide inachevée sur son revers est un tréteau énonçant symboliquement la tâche à l’accomplissement de laquelle le gouvernement des États-Unis s’est consacré depuis le jour de sa création.
― Manly P. Hall : Secret Teachings of All Ages (1928)
Le franc-maçon du trente-deuxième degré James B. Walker a écrit sur les répétitions du nombre 13 et les « symboles maçonniques sur un billet de 1 $ » (Masonic Symbols In a $1 Bill) dans le numéro d’avril 1960 de la publication maçonnique, le magazine The New Age. L’idée était développé dans la même publication par le franc-maçon 32° Elmer W. Claypool.
➧ La conspiration communiste des Illuminati et le New Deal
Les Illuminati bavarois d’Adam Weishaupt ont promu de nombreuses idées qui seront plus tard associées au communisme, telles que l’abolition de la propriété privée, de l’héritage et de la religion. L’ordre a également promu l’abolition de la monarchie et de tout système de gouvernement, faisant de Weishaupt un précurseur de l’anarchisme.
Peggy Pawlowski a noté dans sa thèse de doctorat que Weishaupt a clairement décrit la guerre des classes dans ses écrits ultérieurs. Les idées de Weishaupt ont été développées plus tard par Karl Marx. En 1797, l’abbé jésuite Augustin Barruel publie Mémoires pour servir à l’histoire du Jacobinisme qui deviendra un best-seller international. Barruel a décrit comment la Révolution française était le résultat d’une conspiration millénaire des Illuminati bavarois, fondée par les Templiers adorateurs du diable au XIe siècle afin de renverser tous les trônes et tous les autels. (Thomas Jefferson n’a pas beaucoup aimé le livre et a fait référence à Barruel comme un « ivrogne ».)
La même année, John Robison, qui avait développé une thèse similaire, publia Preuves de conspiration dans lesquelles il détaille un complot similaire des Illuminati et des francs-maçons pour renverser tous les gouvernements d’Europe. Leur principal mode d’opération consistait à infiltrer les loges maçonniques et s’était déjà répandu dans toute l’Europe et aux États-Unis.
Lorsqu’on a demandé au président franc-maçon George Washington dans une lettre s’il était possible que « certaines loges aux États-Unis aient pu attraper l’infection et puissent coopérer avec les Illuminati ou le Club des jacobins en France », il a répondu :
Je n’ai pas voulu douter que les doctrines des Illuminati et les principes du jacobinisme ne se soient pas répandus aux États-Unis. Au contraire, personne n’est plus convaincu que moi de ce fait.
L’idée que je voulais transmettre était que je ne croyais pas que les Loges des Francs-Maçons de ce pays aient, en tant que Sociétés, tenté de propager les principes diaboliques des premiers, ou les principes pernicieux des seconds (s’ils sont susceptibles de séparation).
― George Washington à George W. Snyder, 24 octobre 1798
Ironiquement, ces deux livres ont fait plus pour diffuser les doctrines des Illuminati que Weishaupt n’aurait jamais pu en rêver. Les deux livres ont été lus dans le monde entier et traduits dans des dizaines de langues, tandis que les écrits originaux des Illuminati sont seulement maintenant traduit en anglais !
En 1919, Nesta Webster a relancé les conspirations des Illuminati (avec une touche antisémite) en plaçant une fois de plus les Illuminati ainsi que les francs-maçons allemands au centre de la Révolution française. “The French Revolution : a study in democracy” (La Révolution française : une étude sur la démocratie) a montré comment les Illuminati bavarois ont déclenché la Révolution française en créant une pénurie de céréales afin de pousser les citoyens à la révolte. Après avoir lu son livre, Winston Churchill a écrit :
« Ce mouvement parmi les Juifs n’est pas nouveau. Depuis l’époque de Spartacus-Weishaupt jusqu’à celle de Karl Marx, et jusqu’à Trotsky (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldman (États-Unis), cette conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base d’un développement arrêté, d’une malveillance envieuse et d’une égalité impossible, n’a cessé de croître. Elle a joué, comme l’a si bien montré une écrivaine moderne, Mme Webster, un rôle clairement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française…
« Elle a été le moteur de tous les mouvements subversifs du XIXe siècle ; et maintenant enfin, cette bande de personnalités extraordinaires issues du monde souterrain des grandes villes d’Europe et d’Amérique a saisi le peuple russe par les cheveux et est devenue pratiquement les maîtres incontestés de cet énorme empire. »
― Winston Churchill, Illustrated Sunday Herald, février 1920
Nesta Webster a continué à publier “World Revolution: The Plot Against Civilization” (La Révolution mondiale : le complot contre la civilisation), dans lequel elle affirme que Karl Marx a livré et exécuté les plans d’Adam Weishaupt lors de la Première Internationale en 1864. Elle souligne que la Journée internationale des travailleurs célébrée le 1er mai, le même jour que la fondation des Illuminati bavarois, n’est pas une simple coïncidence.
➧ Entre en scène Franklin D. Roosevelt…
Les programmes socialistes de Roosevelt lui avaient valu de nombreux ennemis puissants. Son « New Deal », une série de programmes destinés à aider les Américains pauvres à se remettre sur pied après la dévastation de la Grande Dépression, était mal vu par Wall Street. Son abrogation de l’« étalon-or » avait également rendu les riches prêteurs mécontents de la Maison-Blanche de Roosevelt.
Au début des années 30, un groupe d’Américains de la classe supérieure, soutenus par JP Morgan et DuPont, planifiaient un coup d’État pour remplacer FDR par un gouvernement fantoche plus souple. (Voir le général Butler et le complot commercial)
Beaucoup considéraient Roosevelt comme une marionnette communiste. Ses adversaires de droite voyaient dans ses programmes sociaux la concrétisation d’un nouvel ordre mondial communiste.
En 1955, le Dr Emanuel Josephson a écrit le “Roosevelt’s Communist Manifesto” (Manifeste communiste de Roosevelt) dans lequel il a décrit en détail une conspiration des Illuminati communistes de Roosevelt pour réaliser le rêve du « père du communisme » et fondateur des Illuminati bavarois, Adam Weishaupt. Josephson a soutenu que le New Deal était basé sur un plan rédigé par Weishaupt. Il a été le premier à affirmer qu’Adam Weishaupt avait utilisé le revers du Grand Sceau comme Sceau de l’Ordre.
INSIGNE DE L’ORDRE DES ILLUMINATI QUE L’ILLUMINATEUR
JEFFERSON A FAIT AU REVERS DU SCEAU AMÉRICAIN
L’insigne ci-dessus de l’Ordre des Illuminati a été adopté par Weishaupt au moment où il a fondé l’Ordre, le 1er mai 1776. C’est cet événement qui est commémoré par le MDCCLXXVI à la base de la pyramide, et non la date de la signature de la Déclaration d’Indépendance, comme l’ont supposé les non-informés.
La signification de ce dessin est la suivante : la pyramide représente la conspiration pour la destruction de l’Église catholique (chrétienne universelle) et l’établissement d’un « monde unique », ou dictature de l’ONU, le « secret » de l’Ordre ; l’œil rayonnant dans toutes les directions est « l’œil qui espionne tout » qui symbolise l’agence d’espionnage terroriste, de type Gestapo, que Weishaupt a créée sous le nom de « Frères insinuants », pour garder le « secret » de l’Ordre et terroriser la population afin qu’elle accepte son règne. Cet « Ogpu » a fait ses premiers pas sous la Terreur de la Révolution française, dont il a joué un rôle déterminant dans l’organisation. Il est étonnant que l’électorat tolère la poursuite de l’utilisation de cet insigne comme élément du Grand Sceau des États-Unis.
« ANNUIT COEPTIS » signifie « notre entreprise (conspiration) a été couronnée de succès ». Ci-dessous, « NOVUS ORDO SECLORUM » explique la nature de l’entreprise : et cela signifie « un nouvel ordre social », ou « New Deal ».
Il convient de noter que cet insigne n’a acquis une signification maçonnique qu’après la fusion de cet Ordre avec l’Ordre des Illuminati lors du Congrès de Wilhelmsbad, en 1782.
Benjamin Franklin, John Adams (parent de Roosevelt) et Thomas Jefferson, fervent Illuminateur, proposèrent au Congrès le revers du sceau sur la face duquel se trouvait le symbole de l’aigle, qui l’adopta le 10 juin 1782. Lors de l’adoption de la Constitution, le Congrès décréta, par la loi du 15 septembre 1789, qu’elle serait conservée comme sceau des États-Unis. Il est cependant précisé, par le Département d’État dans sa dernière publication sur le sujet (2860), que « le revers n’a jamais été découpé et utilisé comme sceau », et que seule la partie portant le symbole de l’aigle a été utilisée comme sceau officiel et armoiries. Il a été publié pour la première fois à gauche du revers des billets de dollars au début du New Deal, en 1933.
Quelle est la signification de la publication, au début du New Deal, de ce symbole de la « Gestapo », qui avait été si soigneusement supprimé jusqu’alors que peu d’Américains connaissaient son existence, autrement que comme symbole maçonnique ?
Cela ne peut que signifier qu’avec l’avènement du New Deal, les conspirateurs Illuminati-Socialistes-Communistes, partisans du professeur Weishaupt, considéraient que leurs efforts commençaient à être couronnés de succès.
― Emanuel M. Josephson : Roosevelt’s Communist Manifesto, Chedney Press 1955.
Ces mots reliant les Illuminati bavarois de FDR et Weishaupt au Nouvel Ordre Mondial Communiste ont été copiés mot pour mot (sans attribution) en 1958 par William Guy Carr dans son très populaire “Pawns in the Game” (Des pions sur l’échiquier), qui s’est vendu à plus d’un demi-million d’exemplaires, cimentant à jamais l’œil qui voit tout flottant au-dessus d’une pyramide comme un symbole des Illuminati ― Le symbole des Illuminati. (Carr corrige la date à laquelle le Congrès a adopté le sceau au 20 juin 1782 et ajoute les mots « par ordre du président FD Roosevelt » à la fin de ce même paragraphe.)
Cette mélodie a très peu changé depuis.
Heureusement, de nouvelles découvertes telles que la boîte suédoise et d’autres dépôts d’écrits originaux des Illuminati ainsi que Les traductions de documents originaux nous ont permis de vérifier si ces affirmations du milieu du XXe siècle avaient une quelconque validité.
La pyramide des Illuminati de Bavière contre la pyramide du Grand Sceau.
➧ Symbole des Illuminati bavarois et le Grand Sceau
La pyramide :
Pour les Illuminati bavarois, la pyramide désignait l’Ordre des Illuminati lui-même. Les pierres devant la pyramide représentaient les objectifs non encore achevés de l’Ordre en l’honneur de l’Architecte suprême, tout comme la pyramide du Grand sceau signifie la nation nouvellement créée et inachevée. (De la même manière que FDR interprétait l’œil omniscient au-dessus de la pyramide.) La pyramide était exposée en évidence sur le tapis (ou le tréteau) de toutes les assemblées de Minerval. Les lettres D et P qui flanquent la pyramide signifient Deo Proximo, ou proche de Dieu. À comparer avec Annuit cœptis (13 lettres) – « Dieu a favorisé nos entreprises » utilisé dans le Grand Sceau.
Les Illuminati bavarois ont utilisé la pyramide avec une signification étonnamment similaire à celle du Grand Sceau. Cela pourrait donner du crédit soit à la théorie selon laquelle les Illuminati ont influencé d’une manière ou d’une autre la conception du Grand Sceau, soit à la théorie selon laquelle les concepteurs du Grand Sceau travaillent à partir de sources communes telles que des livres d’emblèmes et des symboles héraldiques bien connus.
L’œil qui voit tout :
À ce jour, aucune image ou référence connue à l’œil qui voit tout n’a été trouvée dans les documents des Illuminati.
Cependant, l’œil qui voit tout était déjà utilisé dans la maçonnerie allemande et française et il est tout à fait possible qu’il ait été utilisé dans certains rituels des Illuminati (en particulier dans les rituels francs-maçonniques de l’Ordre). Il ne semble pas avoir d’importance, ni n’était utilisé en combinaison avec la pyramide utilisée dans les degrés de Minerval.
Notez que l’Ordre utilisait un point circonstancié (⊙) pour représenter l’Ordre dans les communications écrites. Selon l’historien maçonnique Albert Churchward dans son livre “Les arcanes de la franc-maçonnerie” (The arcana of freemasonry) : « Le point au centre d’un Cercle est égal au point à la pointe du Triangle, et ce Glyphe est équivalent à l’Œil ; les deux sont synonymes. »
➧ Dans le terrier du lapin conspirateur…
L’ufologue John Keel raconte la légende d’un homme en noir (MIB) qui apparaît à Jefferson habillé comme un sombre étranger portant une cape noire et remettant le revers complet du Grand Sceau à Thomas Jefferson. Ces mêmes entités mystérieuses sont apparues à des moments similaires à Jules César, Napoléon et Malcolm X, entre autres. On ne sait pas vraiment pourquoi Jefferson a choisi de ne pas soumettre ce projet au Congrès, préférant plutôt exprimer en privé ses inquiétudes quant au remplacement du pygargue à tête blanche par un dindon sauvage.
Le chercheur Texas Marrs écrit dans son Codex Magica que l’agent Rothschild Haym Salomon a secrètement soudoyé les membres des comités du Grand Sceau afin de réaliser les objectifs des Illuminati. La pyramide représente le Nouvel Ordre Mondial en construction sous l’œil vigilant du dieu maçonnique Jahbuhlun (note : Jahbulon) qui est en réalité Lucifer et l’aigle qui est en réalité un phénix représentant Satan et son fils s’élevant de la destruction de la civilisation. (Nouvel Ordre Mondial)
Selon Marrs, Rothschild a obtenu ce qu’il voulait et a obtenu que l’emblème des Illuminati figure sur les grands sceaux des États-Unis. Cette histoire est peu probable car à l’époque, Mayer Rothschild était un marchand de pièces relativement obscur qui venait tout juste de se lancer dans le secteur bancaire.
Pour David Icke, l’œil est l’œil reptilien de Draco. L’aigle a 32 plumes sur une aile et 33 sur l’autre représentant les deux plus hauts degrés de la franc-maçonnerie. Les Illuminati sont obsédés par les symboles car le cerveau reptilien communique en utilisant des images, pas des mots. Ces images et symboles cachés peuvent être compris par le cerveau reptilien en se connectant à la bonne fréquence.
Armé de la Bible et d’un billet d’un dollar, Michael Fazio, qui se proclame « le plus grand expert mondial » de la « pictographie, des glyphes et de l’iconologie » du billet d’un dollar, a pu identifier 3300 pictogrammes cachés sur le billet, dont un séraphin à six ailes, des hiboux, des bêtes se léchant les babines, des chefs de guerre, des chauves-souris, encore des hiboux, des diables, des anges au vent crochu, un crâne et des os, et… les propres testicules de Dieu…
Après avoir envoyé des lettres à David Letterman, Jay Leno et à tous les érudits religieux des États-Unis, et toujours incapable de vendre son travail, il en est venu à la conclusion que ses informations ne pouvaient pas sortir car si jamais ses concepts s’avéraient vrais… (il ne le dit pas…) Il y a vraiment de bonnes raisons à cela… (il ne dit aucune raison…)
L’œil est devenu synonyme de Big Brother et de son invasion continue de la vie privée. On dit parfois qu’il représente l’œil de Lucifer surveillant ses sbires du haut d’une pyramide. La pyramide à 13 marches peut représenter les 13 lignées des Illuminati qui ont fait alliance avec Satan l’Antéchrist.
Une entrevue réalisée en l’an 2000 avec le prédicateur et auteur chrétien de Nouvelle-Zélande, Barry Smith, sur Revelation TV où il parle de la marque de la bête à venir et comment l’éviter.
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« Merci Guy de continuer à nous informer. C’est trop important tout ce que tu écris même si nous en savons beaucoup. C’est important de nous faire ces rappels... Que la VÉRITÉ ! Rien que la VÉRITÉ. »