Le film de Roman Polanski, “Rosemary’s Baby”, a-t-il un lien avec les Kennedy, les Onassis et le “fils secret”, c’est-à-dire l’imposteur John-John ?

L’actrice et modèle Patricia Ann Conway interprète Jackie Kennedy dans le film de Roman Polanski.

Le 11 octobre dernier, Mario-Manuel Leeb a réalisé une vidéo dans laquelle il a fait un lien très intéressant entre le film et le roman « Rosemary’s Baby » (Un bébé pour Rosemary), les Kennedy. les Onassis et ― selon moi ― le “fils secret” des Onassis-Callas, c’est-à-dire l’imposteur « John-John ». Cette analyse correspond parfaitement avec le dossier du véritable John Fitzgerald Kennedy Jr., alias David Keith Quigley, et le vol d’identité perpétré depuis longtemps par les services secrets et les membres de la mafia, souvent en collusion avec le milieu hollywoodien.

Impatient de faire connaitre la vérité, Quigley (JFK Jr.) le répète encore une fois dans sa dernière vidéo. Il dit : « Ils ne veulent pas que cette histoire soit connue. Ils ne veulent pas que la vérité soit connue, parce que c’est la vérité et je révèle ce qui se passe réellement et qui je suis. Je suis le fils d’un ancien président qui a été assassiné. Ce qu’ils ne vous disent pas, c’est qu’ils n’ont pas arrêté de tuer. C’est un réseau de meurtres au sommet. Que ce soit Harris, Trump, ou n’importe qui, c’est un réseau de meurtres et vous devez tous vous réveiller parce que vous agitez votre drapeau pour la Cabale. Si vous soutenez Donald Trump, vous agitez votre drapeau. Si vous soutenez le parti démocrate, le parti républicain, n’importe lequel d’entre eux, c’est du crime organisé. C’est ce que j’essaie de révéler. C’est ce qu’ils ne veulent pas que vous entendiez. Ils ne veulent pas que vous l’entendiez. »

Je vous rappelle que David Keith Quigley affirme être le véritable JFK Jr., alors qu’il se serait fait voler son identité à l’âge de 10 ans et aurait été remplacé par le fils illégitime de Maria Callas et d’Aristote Onassis, c’est-à-dire George Onassis, alias « John-John ». Quigley écrivait dans l’introduction de son livre “Stolen Identity” (Identité volée) : « Tous ces meurtres avaient pour but de voler la fortune des familles Kennedy et Onassis. Les actions et attitudes de ceux qui ont commis ces actes odieux vont au-delà du mal et de l’avidité. Ils existent dans un monde de folie que les gens ordinaires auraient du mal à comprendre. Ils ont leur propre langue, leur culture et leur code de conduite. Pendant la majeure partie de ma vie, j’ai été un cerf-volant dans la féroce tempête de ces fous. D’une manière ou d’une autre, quelqu’un en bas tenait le bout de la ficelle, et je suis donc toujours là, vivant pour raconter mon histoire. »

Rosemary’s Baby (ou Le Bébé de Rosemary au Québec) est un film d’horreur psychologique américain de 1968 écrit et réalisé par Roman Polanski, basé sur le roman d’Ira Levin de 1967. Le film met en vedette Mia Farrow dans le rôle d’une jeune mariée vivant à Manhattan qui tombe enceinte, et qui soupçonne ses voisins, plus âgés, de vouloir lui voler son bébé pour l’utiliser dans un culte satanique.

L’auteur du roman « Rosemary’s Baby« , Ira Levin, a déclaré au Los Angeles Times en 2002 : « Je me sens coupable que Rosemary’s Baby ait conduit à L’Exorciste et à La Malédiction. Toute une génération a été démasquée et croit davantage en Satan. Je ne crois pas en Satan. » [The New York Times] Un an plus tard, il écrira dans la postface de l’édition de la New American Library : « J’avais le sentiment d’être coincé avec Satan en qui je ne croyais pas du tout ». Donc, étant un non-croyant, était-ce une façon pour lui de dire que son livre n’était pas une fiction d’horreur, mais qu’il décrivait au contraire des faits bien réels ?

Il est vrai que le roman d’Ira Levin, « Un bébé pour Rosemary », paraît être une « œuvre à clé » qui nous mène vers une sorte de jeu de piste que l’on doit suivre pour comprendre les tenants et les aboutissants de l’histoire. Tout semble graviter autour de la famille Kennedy, en particulier le 35e président des États-Unis. La première mention des Kennedy que l’on retrouve dans le roman est un personnage fictif du nom de Keith Kennedy, un ancien locataire du Bramford (Dakota Building) impliqué dans des affaires occultes et qui aurait contribué à la sinistre réputation du bâtiment au début du XXe siècle.

Plus tard, Rosemary se trouva assise, un verre à la main, à bord du yacht du président Kennedy. « Il y avait du soleil et une petite brise légère, le temps idéal pour une croisière. Le président, penché sur une immense carte, donnait des instructions précises et détaillées à l’homme de barre, un Noir », lit-on dans le roman. Le mari de Rosemary la déshabilla pensant qu’elle dormait et ne s’en apercevait pas. « A présent, elle n’avait plus rien sur elle, sauf un bikini rouge, mais sur le yacht toutes les autres femmes ― Jackie Kennedy, Pat Lawford et Sarah Churchill ― étaient en bikini, elles aussi. » On lui demanda de descendre sous le pont. En dessous, il y avait une immense salle de bal et au centre se trouvait un lit sur lequel elle serait bientôt violée par le diable. Jackie Kennedy entra dans la salle de bal, dans une ravissante robe de satin ivoire brodée de perles. « Je suis absolument navrée d’apprendre que vous ne vous sentez pas bien », dit-elle en se précipitant vers Rosemary. C’est elle qui suggéra d’attacher ses jambes, au cas où elle aurait des convulsions. Jackie sourit amicalement à Rosemary. « Essayez de dormir », dit-elle. « Nous restons sur le pont en vous attendant. » Elle se retira, dans le bruissement de sa robe de satin.

Vers la fin du roman, Rosemary atteignit la salle de séjour de l’appartement de Minnie et Roman Castevet où étaient réunis tous ceux qui avaient conspiré contre elle. Le bébé qu’elle eut du diable se trouvait dans un berceau noir, garni de taffetas noir, avec une capote et des volants d’organdi noir. Un crucifix se balançait la tête en bas, en haut de la capote, un ruban noir entouré autour des pieds de Jésus. Les sorciers attendaient avec impatience la venue d’un invité spécial provenant de l’étranger. Soudain, « Roman revint, tenant par le bras un homme au teint foncé, athlétique et élégant, avec un complet blanc immaculé et des souliers blancs. » Il s’agissait de celui que tout le monde attendait et qui semblait jouer un rôle de premier plan dans ce complot maléfique, le grec Argyron Stavropoulos.

Or, cet homme originaire de la Grèce pourrait personnifier le célèbre armateur Aristote Onassis, amant de la cantatrice Maria Callas de 1959 à 1968 puis époux en secondes noces de Jacqueline Kennedy de 1968 jusqu’à sa mort. Un internaute écrit sur le site spécialisé Film|Boards, un forum de discussion sur les films et la télévision : « Mon avis est qu’il est censé représenter un homme très riche et puissant semblable à Aristote Onassis. Étant donné que Levin dans son livre utilise JFK (en tenue de marine) et Jackie Kennedy, il a peut-être hésité à utiliser Onassis par son nom. Jackie est clairement utilisée dans un rêve provoqué par la drogue, donc plus facile à utiliser. Vous voyez certainement le riche magnat grec et Onassis est le premier nom qui me vient à l’esprit. » Un autre internaute nous fait remarquer que le livre a été publié en 1967 et que le film est sorti en 1968, l’année où Jackie et Onassis se sont mariés. « De nombreux Américains ont été quelque peu indignés lorsque Jackie a épousé ce magnat « étranger » plus âgé et riche ; beaucoup ont réagi comme si elle avait vendu son âme au Diable », écrit-il. Il est suggéré sur le site web de discussion et d’actualités Reddit que Argyron Stavropoulos pourrait personnifier l’armateur grec Stávros Niárchos, principal concurrent d’Aristote Onassis et l’époux de la première femme de ce dernier, Athiná Livanoú, deuxième fille du magnat grec du transport maritime Stavros Livanos.

Lors de la première rencontre du couple Woodhouse avec le couple Castevet, l’occultiste Roman (alias Steven Marcato) leur fit la lecture d’un livre qui critiquait le rapport Warren, de l’assassinat de Kennedy. « Croyez-vous qu’il ait pu y avoir un complot ? », demanda-t-il à Guy. À ce moment, Rosemary se leva pour se rendre à la salle de bains. Elle y remarqua un livre, « Jokes for The John » (littéralement « Blagues pour John »), « qui n’avait rien de particulièrement drôle ».[1] S’agit-il ici d’une clé de compréhension pour indiquer le surnom que prendrait le « bébé secret » d’Onassis, c’est-à-dire « John-John » ? À ce point, nous pouvons supposer tout ce que l’on veut. En conclusion du roman, le grec Argyron Stavropoulos demanda à Roman Castevet si le nom du bébé avait tellement d’importance. « Mais oui. Certainement, son nom est Adrian Steven », répondit-il. Rosemary rétorqua aussitôt : « Je comprends pourquoi vous voulez l’appeler comme cela, mais je suis désolée, ce n’est pas possible. Il s’appelle Andrew John. » [2]

Rosemary Woodhouse ne nous donne-t-elle pas la clé finale lorsqu’elle s’écrie lors de son viol par Satan lui-même : « Ce n’est pas un rêve. C’est la réalité, cela se passe vraiment. » ― C’est à vous d’en juger…

Lisez la suite de cet article à partir de 2,00 $CA seulement !


Abonnez-vous à ma lettre d’information

Et recevez un code de réduction de 40 % pour l’adhésion à mon Club VIP.
* CECI EST UN CADEAU SANS AUCUNE OBLIGATION D'ADHÉRER À MON CLUB VIP.

Partager cet article sur les réseaux sociaux :
Traduire/Translate
Ce contenu est protégé ! Merci.