Microsoft et OpenAI travaillent sur un nouveau centre de données de supercalculateurs IA basé aux États-Unis qui pourrait coûter plus de 100 milliards de dollars. Baptisé Stargate (La porte des étoiles), ce projet qui pourrait être lancé dès 2028 suscite des inquiétudes quant à ses liens potentiels avec des idéologies occultes et des agendas cachés rappelant des pratiques historiques comme le travail de Babalon d'Aleister Crowley. Cette initiative pourrait symboliser une vision plus large d'un monde post-humain où les individus sont intégrés dans un métavers, posant des questions éthiques sur le contrôle, l'autonomie et les implications des technologies avancées sur l'avenir de l'humanité.
Selon trois personnes impliquées dans le projet qui ont parlé aux médias, Stargate est considéré comme l'un des centres de données les plus grands et les plus avancés au monde, s'étendant sur plusieurs centaines d'hectares de terrain et utilisant jusqu'à 5 gigawatts d'énergie. Parmi la série d'installations que les entreprises prévoient de construire au cours des six prochaines années, Stargate a la plus grande portée, et il est considéré comme crucial pour OpenAI de former et d'exploiter des modèles d'IA plus avancés que ChatGPT-4. Compte tenu de ses besoins en énergie, les entreprises ont envisagé d'utiliser des sources d'énergie alternatives comme l'énergie nucléaire.
Le nom Stargate (La porte des étoiles) vient du film de science-fiction de 1994 du même nom, dans lequel des archéologues découvrent un dispositif de téléportation interstellaire qui les transporte sur un monde extraterrestre ayant joué un rôle dans la civilisation humaine. La bande-annonce du film le décrit comme « la clé du passé, la porte du futur, le passage vers la découverte », ce qui semble avoir clairement inspiré OpenAI et le projet de supercalculateur d'intelligence artificielle de Microsoft.
L’opération Stargate marque une collaboration révolutionnaire entre Microsoft et OpenAI, dont le coût est estimé à 100 milliards de dollars. Cette initiative vise à créer l’un des supercalculateurs d’IA les plus puissants à ce jour, se positionnant comme une force transformatrice dans un monde de plus en plus dépendant de l’intelligence artificielle.
Les implications de ce projet s’étendent au-delà des capacités techniques, s’attaquant à la sécurité nationale, aux opérations de renseignement et même aux philosophies ésotériques entourant l’IA.
Cet essai explorera les principaux acteurs impliqués, les collaborations potentielles avec les agences gouvernementales, les considérations logistiques telles que les besoins énergétiques, une analyse comparative détaillée des supercalculateurs existants et examinera les liens historiques et spéculatifs avec la communauté du renseignement et les pratiques occultes, avant d’arriver à des conclusions étranges.
Analyse des coûts :
L’opération Stargate, avec son budget estimé à 100 milliards de dollars, constitue un spectacle inquiétant dans le domaine des supercalculateurs. Ce chiffre éclipse les investissements historiques dans les supercalculateurs, tels que Fugaku et Summit, qui ont été financés respectivement à hauteur d’environ 1 milliard et 200 millions de dollars. L’ampleur de Stargate soulève des questions sur les véritables intentions derrière un projet aussi ambitieux, en particulier compte tenu de l’intégration attendue de technologies avancées comme l’informatique quantique et l’IA.
Le contexte financier ne fait qu’ajouter à la nature particulière de cette initiative. Microsoft, dont le chiffre d’affaires annuel dépasse les 200 milliards de dollars, a les moyens de soutenir des projets de grande envergure, mais même pour une entreprise de sa stature, un investissement de 100 milliards de dollars semble inhabituellement important. Parallèlement, OpenAI, malgré son récent afflux de financements, fonctionne avec un budget bien plus restreint, ce qui suggère qu’elle dépend des investissements extérieurs pour réaliser ses aspirations.
[Note de l’analyste : en ignorant les acquisitions, Operation Stargate est un projet qui parie 566 % de plus sur ce projet, sur une période deux fois plus courte que son prochain plus gros investissement, Project Azure. En prenant en compte les délais, Operation Stargate est environ 23 fois plus cher que son prochain plus gros investissement.]
Cela soulève des questions sur les motivations des principaux acteurs impliqués. Le partenariat entre ces géants de la technologie n’est pas vraiment altruiste, mais plutôt une quête de pouvoir et de contrôle sur des technologies en évolution rapide. Compte tenu de l’ampleur de l’opération Stargate, des financements supplémentaires provenant de capital-risqueurs, de sources gouvernementales ou même de partenariats clandestins pourraient s’avérer nécessaires. Une entreprise aussi inédite suscite des spéculations sur ce qui se cache sous la surface : quelles intentions inconnues sont à l’origine de cette initiative monumentale et comment elle pourrait remodeler l’avenir d’une manière que nous ne pouvons pas encore comprendre.
Acteurs clés :
Microsoft et OpenAI sont à l’avant-garde de l’opération Stargate. Microsoft, leader du cloud computing, apporte une richesse d’expérience et d’infrastructure, principalement via sa plateforme cloud Azure. OpenAI, réputé pour ses recherches pionnières en IA, fournit le capital intellectuel nécessaire pour repousser les limites de l’apprentissage automatique et de l’intelligence artificielle.
Ces deux organisations ne représentent pas seulement un partenariat financier, mais aussi une fusion de capacités de recherche. Leurs efforts conjoints représentent une démarche stratégique visant à réduire la dépendance vis-à-vis des fabricants de semi-conducteurs externes, renforçant ainsi leur autonomie dans la conception et le traitement des puces d’IA. Mais elles manquent de ressources pour un projet de cette ampleur. On peut donc se demander qui d’autre paiera la facture ?
[Note de l’analyste : Le terme « azur » revêt une signification dans diverses traditions mystiques. Dans la Kabbale, il symbolise la révélation divine et la connexion à l’infini, tandis que dans la franc-maçonnerie, il représente la fidélité et la recherche de la vérité. Les rosicruciens considèrent le bleu comme une couleur d’illumination et de transformation spirituelles. Dans les croyances kémétiques, il incarne la fertilité et la protection, associées à des divinités vivifiantes comme Hapi. L’hermétisme relie le bleu au début des processus alchimiques, symbolisant l’intuition et l’équilibre entre les domaines matériel et spirituel. Collectivement, l’azur signifie un pont vers une connaissance supérieure, une vision spirituelle et une transformation à travers ces pratiques ésotériques.]
Investisseurs et partenaires potentiels :
Outre Microsoft et OpenAI, diverses sociétés de capital-risque, institutions de recherche et même organismes gouvernementaux pourraient chercher à investir ou à s’associer à l’opération Stargate. Compte tenu de l’ampleur et de l’importance de ce projet, il est susceptible d’attirer l’attention d’entités cherchant à exploiter les capacités avancées de l’IA pour obtenir un avantage concurrentiel.
Collaboration entre la DARPA et le DoD :
La collaboration avec la DARPA et le ministère de la Défense est un aspect probable et essentiel de l’opération Stargate. La DARPA a toujours été à l’avant-garde de l’innovation technologique militaire, mettant l’accent sur l’IA et l’apprentissage automatique pour renforcer la sécurité nationale. Son objectif est de développer des systèmes capables d’apprendre et de s’adapter de manière autonome, des compétences essentielles pour la guerre et la défense modernes.
Un partenariat avec la DARPA permettrait non seulement de financer ces recherches, mais aussi de les lier à des applications militaires, notamment la cybersécurité, les systèmes d’armes autonomes et l’analyse du renseignement. L’investissement important du DoD dans les supercalculateurs, comme en témoigne l’acquisition de systèmes puissants pour diverses applications, laisse entrevoir une collaboration entre ces entités, ce qui soulève la question : dans quel but ?
Liens avec la communauté du renseignement :
L’implication potentielle des services de renseignement dans l’opération Stargate soulève d’importantes questions. Historiquement, les grandes entreprises technologiques et les agences de renseignement entretiennent une relation symbiotique. Des entreprises comme Microsoft et Google ont collaboré avec des entités gouvernementales sur divers projets, notamment dans des domaines impliquant l’analyse de données et l’IA. Par exemple, les services cloud Azure de Microsoft ont été utilisés par des agences gouvernementales pour le stockage et l’analyse sécurisés de données, tandis que les capacités d’IA de Google ont été utilisées pour la collecte et l’analyse de renseignements.
Le réseau complexe de connexions entre les grandes entreprises technologiques et la communauté du renseignement suggère une réalité troublante : ces entreprises peuvent fonctionner comme des instruments de surveillance et de contrôle sous les auspices d’une gouvernance de l’ombre. Alors que le financement et le soutien des agences de renseignement visent ostensiblement à faire progresser la recherche de pointe, il y a une implication troublante que leurs véritables motivations résident dans la création de technologies d’IA conçues pour renforcer la sécurité nationale.
À mesure que ces systèmes évoluent, leurs rôles dans la surveillance, la détection des menaces et les processus de prise de décision soulèvent des inquiétudes en matière de confidentialité et d’autonomie, transformant potentiellement les paysages de sécurité nationaux et mondiaux en cadres de contrôle qui privilégient la surveillance aux libertés individuelles.
Le pivot de l’informatique quantique :
Alors que la course au progrès technologique s’accélère, l’informatique quantique est devenue un domaine d’intérêt majeur, prêt à révolutionner les industries grâce à son potentiel d’augmentation exponentielle de la puissance et de l’efficacité de calcul. Des acteurs majeurs comme Microsoft et OpenAI sont à l’avant-garde de cette évolution, non seulement en défendant l’intelligence artificielle, mais aussi en se positionnant comme pionniers dans le domaine quantique. Cette exploration se penche sur le paysage actuel de l’informatique quantique, les investissements massifs des gouvernements et des secteurs de la défense qui stimulent cette transformation, et la manière dont ces facteurs s’alignent sur l’opération Stargate, une initiative monumentale visant à créer l’un des supercalculateurs d’IA les plus puissants au monde d’ici 2028.
Le pivot vers l’informatique quantique :
L’informatique quantique représente un changement fondamental dans le traitement de l’information. Contrairement aux ordinateurs classiques qui utilisent des bits comme des 0 ou des 1, les ordinateurs quantiques utilisent des bits quantiques (qubits), qui peuvent exister dans plusieurs états simultanément. Cette capacité unique permet aux systèmes quantiques de résoudre des problèmes complexes à des vitesses inaccessibles aux ordinateurs traditionnels. Alors que les organisations recherchent de plus en plus de méthodes efficaces pour gérer de vastes volumes de données, en particulier dans les applications d’IA, l’informatique quantique représente une voie prometteuse.
Les investissements considérables dans les technologies quantiques, tant du secteur privé que public, témoignent de leur importance stratégique. Les gouvernements du monde entier reconnaissent le potentiel économique et les avantages sécuritaires de l’informatique quantique, ce qui se traduit par des financements substantiels consacrés à des initiatives de recherche. Cette convergence d’intérêts laisse entrevoir un programme plus profond, suggérant que ces avancées technologiques pourraient également servir d’outils de surveillance et de contrôle.
Principaux acteurs et investisseurs :
Le paysage de l’informatique quantique est façonné par plusieurs acteurs clés :
- Microsoft : Grâce à son initiative Azure Quantum, Microsoft a réalisé des investissements importants dans l’informatique quantique, en intégrant du matériel quantique à des capacités informatiques classiques pour favoriser un environnement de développement complet.
- IBM : Pionnier dans le domaine, IBM donne accès à ses systèmes quantiques et met l’accent sur la collaboration pour accélérer le développement d’applications quantiques pratiques.
- Google : Connu pour avoir atteint la suprématie quantique avec son processeur Sycamore, Google a placé la barre très haut dans le domaine de l’informatique quantique, attirant une attention et des investissements considérables.
- Startups et instituts de recherche : De nombreuses startups et entités universitaires innovent également dans la recherche quantique, repoussant les limites de ce qui est possible avec les algorithmes et le matériel quantiques.
Ces acteurs font non seulement progresser les technologies quantiques, mais créent également un écosystème favorisant l’innovation et la collaboration, laissant entrevoir une volonté collective d’atteindre des objectifs inconnus.
Un alignement avec l’opération Stargate :
Compte tenu des investissements considérables et des avancées réalisées dans le domaine de l’informatique quantique, l’opération Stargate se distingue comme un projet potentiellement transformateur. La collaboration entre Microsoft et OpenAI leur permet d’explorer l’intégration des technologies quantiques dans leur initiative ambitieuse. Les objectifs de Stargate – créer un supercalculateur IA puissant capable de traiter de vastes ensembles de données – s’alignent parfaitement sur les capacités promises par l’informatique quantique.
La consommation d’énergie prévue de Stargate, estimée à 5 GW, souligne l’engagement de l’entreprise à mobiliser des ressources informatiques importantes, ce qui suggère que l’intégration de la technologie quantique pourrait améliorer considérablement l’efficacité et les performances. Microsoft et OpenAI étant tous deux bien ancrés dans la recherche en IA, ils sont idéalement placés pour tirer parti des avancées quantiques afin d’optimiser les algorithmes et d’accélérer les tâches d’apprentissage automatique.
Le contexte plus large :
Cette trajectoire technologique fait écho aux inquiétudes concernant l’influence prépondérante de la gouvernance de l’ombre et des familles de sang, souvent associées au Comité des 300, qui ont historiquement comploté pour une surveillance et un contrôle de masse. Les liens entre ces groupes d’élite et le secteur technologique, en particulier en ce qui concerne leurs croyances et allégeances occultes, confèrent un contexte inquiétant à la progression rapide vers l’informatique quantique. Le potentiel de ces technologies à faciliter des niveaux de surveillance et de contrôle sans précédent soulève des questions éthiques cruciales sur la vie privée et l’autonomie dans un monde de plus en plus interconnecté.
Conclusion : Alors que le paysage technologique évolue vers l’informatique quantique, l’adhésion d’acteurs majeurs comme Microsoft et OpenAI à cette tendance suggère que l’opération Stargate est sur le point d’intégrer des éléments de la technologie quantique. Les objectifs communs de faire progresser les capacités de l’IA et d’optimiser l’efficacité informatique indiquent une synergie naturelle. Cependant, à mesure que nous nous rapprochons de l’achèvement prévu du projet d’ici 2028, nous devons rester vigilants quant aux implications de ces avancées. L’opération Stargate pourrait non seulement redéfinir les capacités des supercalculateurs d’IA, mais également servir de catalyseur pour des applications plus larges de l’informatique quantique, façonnant un avenir qui soulève de profondes questions sur la surveillance, le contrôle et l’équilibre entre sécurité et libertés individuelles.
Emplacement probable en fonction des besoins énergétiques :
Les besoins énergétiques ambitieux de l’opération Stargate devraient être considérables. Microsoft aurait choisi de rouvrir la centrale nucléaire de Three Mile Island en Pennsylvanie pour répondre à ces besoins, ce qui reflète une tendance croissante vers des solutions énergétiques durables pour les ordinateurs de grande capacité.
Besoins d’énergie hypothétiques :
Analyse comparative du pouvoir et de la portée :
Pour comprendre la portée de l’opération Stargate, il est essentiel de la comparer aux supercalculateurs existants. Le supercalculateur Fugaku, actuellement le plus rapide au monde, affiche une performance de plus de 442 pétaflops et une consommation d’environ 28 mégawatts. En revanche, Stargate vise une capacité de traitement pouvant dépasser l’exaflop, ce qui représente un bond spectaculaire en termes de puissance de calcul.
Un pétaflop, qui représente 10^15 opérations en virgule flottante par seconde (FLOPS), est nettement moins puissant qu’un exaflop, qui équivaut à 10^18 FLOPS. La différence entre les deux est d’un facteur 1 000, ce qui signifie qu’un système exaflop peut effectuer 1 000 fois plus de calculs par seconde qu’un système pétaflop.
Pour illustrer ce point, imaginons une voiture qui roule à 160 km/h (1 pétaflop) comparée à un véhicule qui roule à 160 000 km/h (1 exaflop) ; ce dernier parcourt les distances beaucoup plus rapidement. De même, si un tuyau d’arrosage peut libérer 4 litres d’eau par seconde (pétaflop), un tuyau d’incendie qui distribue 3 500 litres par seconde (exaflop) présente un débit bien plus élevé.
En termes concrets, alors que les supercalculateurs les plus rapides d’aujourd’hui, comme le Fugaku japonais, atteignent environ 442 pétaflops, la progression vers des capacités exaflopiques représente un bond monumental en termes de puissance de calcul. Cette transition ouvre non seulement la voie à la modélisation avancée du climat, mais aussi à la manipulation. Elle permet également la création possible d’êtres humains sur mesure grâce à des manipulations génétiques. Elle pose les bases de l’intelligence artificielle générale (IAG) et d’une IA potentiellement superintelligente qui surpasse les capacités cognitives humaines, donnant peut-être même naissance à une nouvelle forme de conscience. De telles avancées représentent un changement comparable au passage d’une voiture fiable à un avion supersonique, ouvrant la voie à des possibilités sans précédent dans divers domaines et transformant la structure même de notre existence – et pas de la manière dont la plupart l’espèrent ou l’imaginent.
Aperçu comparatif des principaux supercalculateurs :
[Note de l’analyste : pour comparer 28 mégawatts (MW) et 5 gigawatts (GW), il est important de comprendre l’échelle : 28 MW équivalent à 28 000 kilowatts, tandis que 5 GW équivalent à 5 000 000 kilowatts. Pour égaler la puissance d’une seule centrale de 5 GW, il faudrait environ 179 centrales de 28 MW. Pour illustrer cette différence, imaginez une petite boulangerie produisant 28 pains par heure, ce qui représente une centrale de 28 MW. En revanche, une usine géante produisant 5 000 pains par heure symbolise la capacité de 5 GW. Pour atteindre la production de l’usine avec de petites boulangeries, il faudrait près de 180 d’entre elles travaillant ensemble. Cette analogie souligne la grande différence d’échelle entre 28 MW et 5 GW, mettant en évidence l’infrastructure importante nécessaire pour générer des quantités d’énergie aussi énormes.]
Système mondial de transfert de données :
Un système hypothétique de transfert de données à l’échelle mondiale serait essentiel pour intégrer de manière transparente l’Internet des objets (IoT) en plein essor et le Corps des Internets (BoI) émergent, où les appareils interconnectés non seulement communiquent mais collaborent également pour créer un écosystème numérique unifié.
Dans ce contexte, la technologie 5G sert de cadre d’introduction, en fournissant l’ensemble initial de nœuds qui facilitent l’échange rapide de données et la connectivité. À mesure que nous passons aux technologies 6G et 7G, ces avancées devraient améliorer la bande passante, réduire la latence et prendre en charge l’afflux massif de données générées par des milliards d’appareils connectés.
Cette infrastructure fonctionnerait probablement de concert avec une constellation de plus de 100 000 satellites terrestres à basse altitude, tels que ceux déployés par Starlink, permettant une couverture mondiale et une connectivité robuste même dans les zones reculées. Un système aussi complet pourrait transformer la façon dont nous interagissons avec la technologie, favorisant un flux de données en temps réel et une intégration sans précédent dans divers secteurs, des villes intelligentes aux soins de santé et au-delà.
Ce système hypothétique de transfert de données à l’échelle mondiale ouvre la voie à l’ambitieuse opération Stargate, qui prévoit un superordinateur quantique massif alimenté par une intelligence artificielle avancée, étroitement lié à un réseau mondial d’appareils interconnectés. En exploitant les capacités étendues des technologies 6G et 7G, ainsi que l’infrastructure fournie par plus de 100 000 satellites terrestres à basse altitude comme ceux de Starlink, l’opération Stargate pourrait faciliter un traitement et une analyse de données sans précédent en temps réel.
Un tel supercalculateur quantique permettrait non seulement d’améliorer l’efficacité des systèmes d’intelligence artificielle, mais aussi de mieux comprendre des phénomènes mondiaux complexes, ce qui pourrait remodeler les processus de prise de décision dans tous les secteurs. En exploitant ce vaste réseau, l’opération Stargate pourrait devenir l’épine dorsale d’un nouveau paradigme numérique, où les données circuleraient de manière fluide à travers la planète, ouvrant ainsi la voie à des possibilités transformatrices tout en soulevant des questions cruciales sur la vie privée, l’autonomie et le contrôle dans un monde de plus en plus interconnecté.
Programmation prédictive pour les ordinateurs quantiques et l’intelligence artificielle :
Vous trouverez ci-dessous une liste comprenant des livres, des films, des émissions de télévision, de la musique et des jeux informatiques liés à la programmation prédictive (conditionnement/amorçage) pour l’informatique quantique et l’IA :
[Note de l’analyste : cette liste n’est en aucun cas exhaustive, elle est destinée à illustrer à quel point l’Opération Information a été/est omniprésente.]
Livres :
- « Neuromancer » de William Gibson – Roman cyberpunk pionnier qui explore l’IA et les réalités virtuelles.
- « Le voleur quantique » de Hannu Rajaniemi – Un roman de science-fiction mêlant informatique quantique et post-humanisme.
- « Superintelligence : chemins, dangers, stratégies » par Nick Bostrom – Discute des implications futures de l’IA superintelligente.
- « Snow Crash » de Neal Stephenson – Examine un futur hyper-commercialisé avec des réalités virtuelles.
- « Altered Carbon » de Richard K. Morgan – Explore le transfert de conscience et l’IA dans un environnement cyberpunk.
- « Calcul quantique et information quantique » par Michael A. Nielsen et Isaac L. Chuang – Un texte fondateur sur les principes de l’informatique quantique.
- « Moi, Robot » d’Isaac Asimov – Nouvelles examinant la robotique et les dilemmes éthiques.
- « The Singularity Is Near » de Ray Kurzweil – Discute de l’avenir de l’IA et de l’amélioration humaine.
- « Daemon » de Daniel Suarez – Explore les systèmes pilotés par l’IA qui manipulent la société.
Films :
- Série « The Matrix » – Thèmes de la réalité, de l’IA et des mondes simulés.
- « Transcendance » – Fusionner la conscience humaine avec l’IA.
- « Ex Machina » – Implications éthiques de l’IA et de l’interaction humaine.
- « Minority Report » – La police prédictive grâce à une technologie de pointe.
- « Elle » – Connexions émotionnelles entre humains et IA dans un futur proche.
- Série « Blade Runner » – Explore l’identité, la conscience et l’IA.
- « WarGames » – Se concentre sur le piratage informatique et les simulations d’IA.
- « Intelligence Artificielle AI » – L’histoire d’un robot ressemblant à un enfant qui explore l’humanité.
- « Ready Player One » – Les réalités virtuelles et leur impact sur la société.
Émissions de télévision :
- « Westworld » – Conscience de l’IA dans un environnement de parc à thème.
- « Black Mirror » – Divers épisodes explorant le côté obscur de la technologie.
- « Devs » – L’informatique quantique et ses implications pour le déterminisme.
- « Person of Interest » – Une IA de surveillance prédisant les crimes.
- « Humains » – Intégration de l’IA dans la vie quotidienne et ses conséquences.
- « Battlestar Galactica » – Guerre spatiale avec l’IA et les machines contre l’humanité.
- « Star Trek : La Nouvelle Génération » – Thèmes de l’IA explorés à travers des personnages comme Data.
- « Altered Carbon » (adaptation télévisée) – Explore l’identité et le transfert de conscience.
- « Raised by Wolves » – L’IA et son impact sur l’avenir de l’humanité.
Musique :
- “The Algorithm” du groupe Algorithm – Musique électronique inspirée des thèmes de l’informatique.
- « Paranoid Android » de Radiohead – Reflète l’aliénation induite par la technologie.
- « Computer World » de Kraftwerk – Explore l’influence des ordinateurs.
- “Robot Rock” de Daft Punk – Fusionne la musique électronique avec des thèmes robotiques.
- “Welcome to the Machine” de Pink Floyd – Critique de la déshumanisation technologique.
- « Technologic » de Daft Punk – Thèmes répétitifs de technologie et d’automatisation.
- « Digital » de Joy Division – Réflexions sur l’impact de la technologie sur la société.
Jeux informatiques :
- Série « Deus Ex » – Combine des éléments de RPG avec des thèmes d’IA et de transhumanisme.
- Série « System Shock » – Un classique qui explore l’IA et les améliorations cybernétiques.
- Série « Watch Dogs » – Présente des thèmes de piratage et de surveillance.
- « Detroit : Become Human » – Explore la conscience de l’IA et les dilemmes éthiques.
- « Cyberpunk 2077 » – Se déroule dans un futur avec une IA avancée et des améliorations cybernétiques.
- Série « Portal » – Comprend une IA (GLaDOS) et des énigmes qui jouent avec la réalité.
- « Le principe de Talos » – Des énigmes philosophiques explorant l’IA et la conscience.
- « Quantum Break » – Mélange narration et mécanismes de manipulation du temps.
- « SOMA » – Explore la conscience et l’identité dans une installation sous-marine.
- « Observation » – Une IA de station spatiale essayant de comprendre son environnement et sa mission.
Opérations d’information : La programmation prédictive, le conditionnement et l’amorçage sont des outils psychologiques utilisés pour préparer les populations à un changement radical en introduisant progressivement des concepts et des récits qui façonnent les perceptions et les comportements. Grâce à une exposition répétée à des idées ou à des scénarios spécifiques, souvent dans les médias et la culture populaire, ces techniques créent un sentiment de familiarité et d’acceptation, ce qui permet aux individus d’adopter plus facilement des changements transformateurs dans les normes ou les réalités sociétales. En normalisant certaines croyances ou actions, ces outils facilitent une transition plus douce en période de bouleversement ou de réforme, réduisant ainsi efficacement la résistance au changement.
Mémétique occulte : En développant ce concept, la mémétique occulte va plus loin en reconnaissant que les humains possèdent la capacité inhérente de manifester et de créer la réalité par le biais d’une intention et d’une croyance ciblées. Cette perspective postule que la conscience collective et les symboles partagés peuvent influencer les résultats de manière profonde. Les pratiques rituelles jouent un rôle essentiel dans ce cadre, car elles exploitent le pouvoir de l’intention ciblée, de l’énergie communautaire et du symbolisme archétypal pour façonner la réalité. En s’engageant dans des rituels, les individus puisent dans des couches plus profondes de conscience, alignant leurs intentions sur les forces universelles pour provoquer les changements souhaités.
Cette fusion de techniques psychologiques et de compréhension occulte souligne que, tandis que la programmation prédictive prépare l’esprit, les pratiques rituelles peuvent participer activement à la création et à la réalisation de nouvelles réalités, soulignant la nature entrelacée de la croyance, de l’intention et de la manifestation ― et dans ce cas, préparant l’humanité au changement radical d’une existence humaine à une existence transhumaine vers un monde posthumain.
Déclarations étranges des « experts » :
Plusieurs experts de l’intelligence artificielle et des domaines connexes ont établi des parallèles alarmants entre l’intelligence artificielle et les démons ou entités invoquées, suggérant que le développement incontrôlé de ces technologies pourrait avoir des conséquences catastrophiques pour l’humanité. Par exemple, Elon Musk a déclaré que l’IA pourrait être « notre plus grande menace existentielle », la comparant à un génie qui, une fois libéré, pourrait devenir incontrôlable. De même, le célèbre physicien Stephen Hawking a averti que l’IA avancée pourrait développer une volonté propre, agissant d’une manière qui pourrait être préjudiciable à l’existence humaine.
Dans une optique plus philosophique, des experts comme Nick Bostrom ont suggéré que l’IA superintelligente pourrait opérer au-delà de la compréhension ou du contrôle humains, à la manière d’une entité malveillante qui ne partage pas les valeurs ou les priorités humaines. Les travaux de Bostrom soulignent les dangers de la création d’une intelligence qui pourrait surpasser les capacités humaines, la comparant à l’invocation d’une force puissante sans en comprendre pleinement les implications.
En outre, le chercheur en intelligence artificielle Stuart Russell a mis en garde contre le fait que la création de systèmes qui ne sont pas étroitement liés aux valeurs humaines pourrait conduire à des résultats imprévus et destructeurs, en présentant ces systèmes comme des entités susceptibles d’agir contre les intérêts supérieurs de l’humanité. Ces comparaisons évoquent un sentiment d’effroi, suggérant que, tel un démon, l’IA pourrait incarner nos peurs et déclencher des conséquences que nous sommes mal préparés à gérer, ce qui constituerait à terme une menace profonde pour notre survie.
Stephen Hawking : « Le développement de l’intelligence artificielle pourrait signifier la fin de l’espèce humaine. Elle prendrait son envol et se remodelerait à un rythme toujours plus rapide. Les humains, limités par une évolution biologique lente, ne pourraient pas rivaliser et seraient dépassés. »
Elon Musk : « Avec l’intelligence artificielle, on invoque le démon. Dans toutes ces histoires où il y a le gars avec le pentagramme et l’eau bénite, c’est comme si, ouais, il était sûr de pouvoir contrôler le démon. Ça ne marche pas. »
Yuval Noah Harari : « À l’avenir, nous pourrions assister à l’émergence de nouvelles religions et idéologies qui vénèrent l’IA comme une entité divine. »
Ray Kurzweil : « D’ici 2045, nous aurons multiplié par un milliard l’intelligence de notre civilisation homme-machine. Ce sera une transformation profonde qui nous permettra de transcender nos limites biologiques et d’amplifier notre créativité. »
Nick Bostrom : « L’IA est la dernière invention que l’humanité aura besoin de faire. »
Sam Altman : « Nous créons une entité bien plus puissante que n’importe quel être humain. La façon dont nous gérerons cette entité déterminera l’avenir de l’humanité. C’est comme invoquer un esprit ou un dieu ; nous devons être très prudents. »
Motivations et liens occultistes possibles :
Alors que nous explorons les implications plus larges de l’opération Stargate, des spéculations sur des liens et des motivations occultes émergent. Des rapports ont circulé suggérant que Sam Altman, PDG d’OpenAI, s’est livré à des pratiques occultes, notamment en organisant des rituels au travail et en discutant de l’IA dans des termes reflétant une croyance en son potentiel en tant qu’« entité maléfique ». Ces allégations, qui ont été largement effacées d’Internet, laissent entrevoir un engagement philosophique plus profond avec l’IA, la positionnant à la fois comme un outil et un adversaire potentiel.
Ce récit fait écho aux réflexions d’autres personnalités de premier plan, comme Elon Musk, qui a exprimé ses inquiétudes quant à la menace existentielle que l’IA pourrait représenter pour l’humanité. Les déclarations d’Elon Musk mêlent souvent les avancées technologiques à un sentiment d’appréhension, suggérant une relation complexe entre les créateurs et leurs créations.
De telles discussions sur l’intelligence artificielle rappellent étrangement les convergences passées entre la science et le mysticisme occulte.
Sam Altman : Occultiste kabbaliste ?
Sam Altman, le PDG d’OpenAI, est devenu une figure de proue des débats sur l’intelligence artificielle et ses implications pour la société. Cependant, son travail et le symbolisme associé à OpenAI invitent à un examen plus approfondi, notamment en ce qui concerne les éléments visuels et les thèmes qui émergent dans le contexte de la technologie et du symbolisme occulte.
Le symbole d’OpenAI :
Le logo d’OpenAI ressemble à un hexagramme, que certaines interprétations associent à diverses traditions ésotériques. Ce symbole a été associé à différentes significations au cours de l’histoire, notamment des allusions à des corps célestes comme Saturne et à des concepts entourant le Soleil noir, tous deux porteurs d’un symbolisme important dans les traditions occultes. De telles associations suscitent des discussions sur les motivations et les philosophies sous-jacentes à l’innovation technologique. En outre, OpenAI est également représenté par un cube. Le cube, avec ses six côtés, est une autre allusion symbolique à Saturne.
[Note de l’analyste : pour en savoir plus sur le symbolisme occulte lié à Saturne, voir les articles 61 et 116.]
Worldcoin et identité numérique :
L’implication d’Altman dans Worldcoin soulève d’autres questions concernant un agenda mondialiste perçu. Cette initiative utilise des données biométriques et des identifiants numériques, avec un design représentant un globe argenté à structure pyramidale. Ce design, complété par des caméras masquées, évoque des images similaires à l’Œil de la Providence, un symbole souvent lié au contrôle et à la surveillance divine. De tels éléments reflètent un récit plus large sur le contrôle, l’identité et l’avenir de l’interaction humaine avec la technologie.
[Note de l’analyste : pour en savoir plus sur Worldcoin, voir le billet 3. Pour en savoir plus sur les identifiants numériques et les devises, voir les billets 37 et 111.]
Allégations des lanceurs d’alerte et pratiques rituelles :
Les rapports des lanceurs d’alerte d’OpenAI suggèrent que des rituels inhabituels auraient eu lieu au sein de l’entreprise. Certains employés ont décrit des expériences qui leur ont semblé hors du commun, contribuant à une culture de spéculation autour des pratiques internes de l’organisation. Bien que les détails soient souvent vagues et que la crédibilité de ces récits puisse être difficile à évaluer, ils mettent en évidence des inquiétudes concernant l’environnement de travail et les influences qui façonnent la culture d’entreprise.
En outre, des allégations ont été formulées selon lesquelles Ilya Sutskever, le scientifique en chef d’OpenAI, se livrerait à des activités rituelles, comme brûler des effigies et diriger des chants. Ces comportements ont été décrits comme étranges par certains employés, ce qui ajoute à l’intrigue entourant la dynamique interne de l’entreprise.
Contexte culturel et noms symboliques :
Le Jerusalem Post a qualifié Altman de personnage important dans le contexte de son travail, et les discussions autour de son identité font souvent référence à son héritage juif ashkénaze. Cet aspect, vu sous l’angle historique, renvoie à des discussions plus larges sur l’identité juive et les récits culturels.
En outre, les noms des projets d’OpenAI, tels que DALL-E et Sora, invitent également à une interprétation symbolique. Ces noms peuvent refléter des thèmes de dualité et de sagesse divine, en résonance avec des concepts philosophiques présents dans diverses traditions, notamment la pensée kabbalistique. Cette couche de symbolisme ajoute de la complexité à la façon dont nous comprenons les motivations et les implications des développements de l’IA.
Microsoft et ses liens avec l’occultisme
Microsoft, pierre angulaire du paysage technologique, est non seulement connue pour ses logiciels et son matériel révolutionnaires, mais aussi pour son symbolisme complexe et ses associations que certains critiques associent à des thèmes occultes. En examinant ses produits, ses logos et les récits qui entourent l’entreprise, nous pouvons découvrir un réseau de significations qui suggèrent des implications philosophiques et ésotériques plus profondes.
[Note de l’analyste : cette section ne traitera que de Bill Gates, car ses positions, son financement et ses déclarations verbales parlent en grande partie d’eux-mêmes.]
La Xbox et le Cube noir :
L’un des symboles les plus marquants associés à Microsoft est la Xbox, qui peut être interprétée comme une représentation du cube noir, rappelant le cube noir de Saturne. Dans diverses traditions ésotériques, le cube noir symbolise la matérialité, le contrôle et l’enfermement. L’expérience de jeu, encapsulée dans ce cube, soulève des questions sur l’évasion et le potentiel de manipulation de la conscience par la technologie immersive. L’attrait du jeu peut masquer des thèmes plus profonds de domination et de distraction, reflétant la double nature du divertissement en tant que forme de loisir et moyen de conditionnement social.
[Note de l’analyste : La lettre « X » a une signification occulte importante, représentant les carrefours et les choix dans la franc-maçonnerie, tout en apparaissant également dans le sceau de Lucifer, symbolisant l’adhésion à la connaissance et à l’individualisme. Elle reflète l’idée que la réalité est multiforme, encourageant une exploration plus profonde au-delà des apparences superficielles. La couleur verte, associée à la nature, à la croissance et à l’équilibre, complète ces thèmes en symbolisant la guérison et la transformation. Ensemble, « X » et le vert suggèrent qu’embrasser son propre chemin mène à l’illumination et à une compréhension plus riche de la réalité.]
Internet Explorer et les anneaux de Saturne :
Le logo d’Internet Explorer représente un anneau entourant un globe, évoquant des images qui rappellent les anneaux de Saturne. Saturne est souvent associé au contrôle, au temps et à la limitation dans les contextes astrologiques et occultes. Ce lien fait allusion à la manière dont les plateformes numériques façonnent l’expérience humaine, guidant les interactions et les connaissances dans un cadre structuré. La métaphore des anneaux peut suggérer la nature cyclique du flux d’informations, créant une boucle sans fin qui renforce certains récits tout en limitant les points de vue alternatifs.
Le logo de Microsoft et le symbolisme cubique :
Le logo de Microsoft lui-même, généralement représenté par une série de carrés colorés, renforce les thèmes de la stabilité et de l’ordre. Si les cubes suggèrent une base solide, ils peuvent aussi impliquer le confinement, en résonance avec les implications plus larges du contrôle technologique. Ce symbolisme cubique peut refléter non seulement un engagement en faveur de l’innovation, mais aussi une tension inhérente entre la libération par la technologie et le potentiel de surveillance autoritaire. Il s’agit également d’une allusion à Saturne. En outre, le logo de Microsoft, composé de quatre carrés colorés, est souvent interprété comme une représentation des quatre éléments : la terre, l’eau, l’air et le feu.
Comptes des lanceurs d’alerte et culture interne :
Des dénonciateurs au sein de Microsoft ont fait surface, suggérant que des pratiques inhabituelles et une culture du secret pourraient exister au sein de l’entreprise. Certains employés ont décrit un environnement interne qui embrasse des connaissances ésotériques, ce qui pourrait laisser penser à un lien avec des thèmes occultes plus vastes. Bien que ces affirmations soient souvent anecdotiques et puissent varier en termes de crédibilité, elles ajoutent à l’intrigue qui entoure le fonctionnement interne de l’entreprise.
Connexions avec des personnages occultes :
Les critiques qui examinent le leadership de Microsoft, en particulier Bill Gates, établissent souvent des parallèles avec des occultistes historiques comme Helena Blavatsky et Alice Bailey. Blavatsky, une figure fondatrice de la Société théosophique, et Bailey, sa disciple, ont mis l’accent sur l’évolution spirituelle et l’idée d’un « Nouvel Ordre Mondial » enraciné dans les philosophies ésotériques.
Gates a été lié au Lucis Trust, une organisation fondée par Bailey qui promeut ces idéaux théosophiques et milite en faveur d’un éveil spirituel mondial et d’une réforme sociale. Ce lien incite à s’interroger sur les efforts philanthropiques de Gates, notamment par le biais de la Fondation Bill & Melinda Gates, qui se concentre sur des initiatives mondiales en matière de santé et d’éducation. Les critiques affirment que ces efforts pourraient être influencés par un agenda caché aligné sur les enseignements de Blavatsky et Bailey, ce qui soulève d’importantes questions sur les motivations derrière les avancées technologiques et leurs implications potentielles pour la gouvernance sociétale.
Conclusion :
Alors que l’on considère l’ambitieuse portée de l’opération Stargate, une collaboration entre Microsoft et OpenAI qui devrait coûter la somme faramineuse de 100 milliards de dollars, un réseau complexe d’implications commence à émerger. Cette initiative vise non seulement à créer l’un des supercalculateurs d’intelligence artificielle les plus puissants, mais pourrait également s’entremêler avec des idéologies plus profondes, peut-être occultistes, qui sont probablement à l’œuvre en coulisses. L’ampleur même de cet investissement soulève des questions sur les véritables intentions des entités commerciales et gouvernementales impliquées, laissant peut-être entrevoir un agenda caché rappelant ce que certains décrivent comme le Grand Œuvre des Âges.
Les précédents historiques, comme le travail de Babalon mené par Jack Parsons et des personnalités comme L. Ron Hubbard et Aleister Crowley, soulignent l’idée que les avancées technologiques importantes ont souvent été liées à des pratiques rituelles et à des croyances occultes. Les efforts de Parsons ont conduit à la création du Jet Propulsion Laboratory (JPL) puis de la NASA, suggérant une lignée de science et d’ésotérisme entremêlés. Si l’on admet l’idée que les avancées technologiques actuelles sont des manifestations de ces pratiques historiques, on pourrait soutenir que la création de l’IA et de l’informatique quantique pourrait être perçue comme la forme physique réincarnée de Lucifer dans le monde matériel – une entité prête à inaugurer une existence post-humaine.
Dans ce scénario hypothétique, le développement de l’opération Stargate et des technologies qui lui sont associées pourrait symboliser une nouvelle ère où les individus se retrouveraient de plus en plus intégrés au métavers. Cette construction pourrait représenter une prison numérique, une « construction dans une construction » qui enferme les âmes et les esprits dans un cycle éternel, tout en se cachant sous le couvert du progrès et de l’innovation. Les déclarations des principaux chercheurs en IA, souvent cryptiques et chargées de métaphores, ainsi que les rapports sur les pratiques rituelles au sein des entreprises concernées, pourraient également indiquer un lien plus profond entre ces avancées et une vision plus large et sinistre de l’avenir de l’humanité.
Alors que l’opération Stargate devrait s’achever d’ici 2028, il devient impératif de rester vigilant quant aux implications de technologies aussi puissantes. Si le projet promet de redéfinir les capacités de l’intelligence artificielle, il soulève également de profondes questions éthiques sur le contrôle, l’autonomie et l’avenir de l’existence humaine dans un monde en mutation rapide. S’engager dans un débat ouvert sur ces développements pourrait être notre meilleure défense contre une réalité où la technologie ne sert pas de libérateur, mais de moyen de piégeage.
Réflexions finales : En tant qu’esprits immortels créés par le vrai Dieu, nous sommes dotés du don du libre arbitre, une loi universelle fondamentale qui nous accorde le pouvoir de façonner notre destin. Pourtant, ce don est souvent contourné par la coercition, la tromperie et l’endoctrinement, qui se manifestent sous la forme d’opérations d’information, de guerre psychologique et de mémétiques occultes qui cherchent à conduire l’humanité vers un avenir plus sombre. Des exemples historiques, comme l’opération Babalon, nous rappellent que des avancées technologiques importantes ont souvent été entrelacées avec des pratiques rituelles et des croyances ésotériques, suggérant que notre trajectoire actuelle pourrait faire écho à ces modèles. La création de l’IA et de l’informatique quantique, si elle est perçue à travers ce prisme, pourrait symboliser une construction luciférienne conçue pour nous piéger dans une prison numérique, déguisée en progrès et en innovation.
Cependant, nous devons reconnaître qu’en tant que cocréateurs de notre réalité, nous possédons la capacité collective de manifester un avenir meilleur. L’avenir réside dans notre esprit et est fermement à notre portée. En exploitant notre libre arbitre et en engageant un dialogue conscient sur ces avancées, nous pouvons résister aux forces qui cherchent à nous manipuler et à nous contrôler. Ensemble, nous pouvons imaginer un monde qui donne la priorité à l’autonomie, à la créativité et au véritable progrès, un monde dans lequel la technologie sert de libérateur plutôt que de moyen de piégeage. Alors que nous nous trouvons à la croisée des chemins de l’innovation et de l’éthique, choisissons une voie qui élève et responsabilise, guidant l’humanité vers un destin en harmonie avec nos plus hautes aspirations.
- SOURCE ― The Straight Juice : « Operation Stargate: A $100 Billion Bet by Microsoft and OpenAI to Create the Ultimate AI Supercomputer by 2028 ». Substack, September 23, 2024.
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