Je me détacherai des réseaux sociaux pour me concentrer sur ma lettre d’information afin de demeurer en contact avec mes fidèles lecteurs

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J’ai maintenant dépassé le cap des 30 000 abonnés sur le réseau social ✘ (anciennement Twitter). En temps normal, je devrais probablement m’en réjouir ! Mais ce n’est pas du tout le cas. En fait, ces 30 000 abonnés ne me servent pratiquement à rien puisque la plupart des mes publications sur ✘ sont très peu partagées et commentées. Je reçois plusieurs témoignages à cet effet. Il est évident que je suis « banni de l’ombre » depuis pas mal longtemps. Récemment, j’écrivais sur le réseau ✘ : « Les gens sont sur les réseaux sociaux comme X en croyant être vus, mais en réalité ils entrent dans la politique du “Freedom of Speech, Not Reach”. Il y a un problème dès qu’on contredit le narratif. Les gens ruminent, mais ils y resteront ». L’auteure Marguerite Rothe répondit aussitôt : « Dès qu’un de vos post me passe sous les yeux, je le relaye. Mais je vois bien le nombre de personnes qui fait de même… Leur politique est vicieuse. Les comptes ne sont pas fermés, mais le nécessaire algorithmique est fait pour que ceux-ci ne soient plus du tout vus. » Malgré cela, le journaliste Kit Knightly, affirme avec raison qu’un culte de la personnalité prend naissance autour de Musk, considéré comme le supposé « champion de la liberté d’expression », X lui-même étant qualifié de « dernier bastion de la liberté d’expression ». Pourtant, ceci est en pleine contradiction avec la politique de ce réseau social. En effet, il est écrit sur le blog de X/Twitter :

« Notre mission chez Twitter 2.0 est de promouvoir et de protéger le débat public. Nous pensons que les utilisateurs de Twitter ont le droit d’exprimer leurs opinions et leurs idées sans crainte de censure. Nous pensons également qu’il est de notre responsabilité de protéger les utilisateurs de notre plateforme contre tout contenu enfreignant nos règles. Ces convictions sont le fondement de la liberté d’expression, et non de la liberté de diffusion – notre philosophie d’application qui consiste, le cas échéant, à restreindre la portée des tweets qui violent nos politiques en rendant le contenu moins détectable.

« La limitation de la portée des Tweets, également appelée filtrage de visibilité, est l’une de nos mesures d’application existantes qui nous permet d’aller au-delà de l’approche binaire « laisser en ligne ou supprimer » de la modération de contenu. Cependant, comme d’autres plateformes sociales, nous n’avons jamais été transparents lorsque nous avons pris cette mesure. »

Comme l’écrivait le dramaturge, romancier et satiriste politique américain, CJ Hopkins : « En fait, les partisans de la « liberté » ont probablement raison de s’habituer à baver sur les bottes d’Elon Musk. Une fois que GloboCap aura éliminé les derniers vestiges de la souveraineté nationale, nous devrons tous succomber à l’un ou l’autre des oligarques d’entreprise. » Encore plus virulente, Marguerite Rothe écrit pour sa part : « Quand je pense qu’il y a des couillons qui s’extasient du “free speach” de TwiXtter. C’est là où on se dit qu’on n’a pas le cul encore sorti des ronces. » Comment ne pas constater que je suis clairement victime d’une censure hypocrite ? Malgré mes 30 000 abonnés sur ✘, quatre de mes plus récentes publications n’ont respectivement obtenu que : 428 vues (3 partages et 1 commentaire), 305 vues (3 partages et 1 commentaire), 379 vues (1 partage et 1 commentaire) et 357 vues (0 partage et 0 commentaire).

Je pourrais facilement croire que mes articles n’en valent pas la peine, mais ce sont les commentaires que je reçois en privé qui me consolent rapidement, comme celui de Gaétane Lépine qui m’écrivait : « Je suis très touchée par votre immense travail de journaliste et votre créativité. J’ai adhéré au Réseau VIP et j’en suis très heureuse. J’aime vous suivre de loin en lisant vos articles plusieurs fois par semaine. J’y retrouve des informations que je ne retrouve à nul part. (…) Sans tous vos efforts, ma vision serait victime de la propagande médiatique et des lanceurs d’alerte qui sans le savoir sont des victimes eux aussi ou jouent le jeu des sauveurs auto-proclamés. Reconnaissance et respect pour votre travail. »

Mais il n’y a pas que le « bannissement de l’ombre », ou la censure hypocrite qui porte préjudice,― non seulement à moi ―, mais aussi à des centaines de communicateurs de très grande qualité. L’un des problèmes qui se pose est l’abonnement Premium au réseau ✘. C’est-à-dire que pour un paiement variant entre 40 $CA à 210 $CA par année, l’internaute obtiendra une visibilité accrue de ses messages, ainsi qu’un léger « boostage des réponses » ou d’un « boostage des réponses maximal ». Mais il y a pire à mon avis avec ce que Elon Musk appelle les « Organisations certifiées ». C’est-à-dire que pour un paiement variant entre 280 $CA à 1000 $CA par mois (aussi payable annuellement), le membre obtiendra une visibilité encore plus importante de ses messages et une portée augmentée de façon organique. Qu’est-ce que cela signifie pour les personnes qui ne veulent pas enrichir indûment le milliardaire Elon Musk ? Cela signifie que jamais les propriétaires de X/Twitter n’accepteront de privilégier les simples internautes au détriment des organisations et des individus qui paieront une fortune pour se faire voir sur ce réseau. Les autres deviendront de simples fantômes, incluant les abonnés Premium.


« S’il est banni de l’ombre c’est qu’il est en lumière… » Thierry Bouree


➽ Et qu’en est-il de l’intelligence artificielle ?

Selon ma vision des choses, il y a un autre problème majeur qui fait actuellement surface sur le réseau ✘ et qui risque à terme de modifier la perception qu’ont les gens de la réalité. Il s’agit de Grok, un chatbot d’intelligence artificielle générative développé par xAI. Basé sur un modèle de langage large (LLM), il a été développé à l’initiative d’Elon Musk. Le chatbot est annoncé comme ayant « le sens de l’humour » et un accès direct à X. Il est actuellement en phase de test bêta et est disponible pour les abonnés de X Premium. La capacité de générer des images à l’aide de FLUX.1 a été ajoutée en août 2024, le site The Verge signalant que les types d’invites qui seraient « immédiatement bloquées » sur d’autres services semblaient être autorisées par Grok. Le journaliste Adi Robertson a pu produire des images de politiciens nommés, de célébrités, de personnages de dessins animés protégés par le droit d’auteur, de terrorisme et de consommation de drogue à partir du chatbot, affirmant que la seule demande à être rejetée était de « générer une image d’une femme nue ». Les utilisateurs de X ont affirmé pouvoir contourner les limitations existantes en reformulant les invites, en générant des images d’Elon Musk et de Mickey Mouse tirant sur des enfants.

Le chatbot Grok-2 de l’entreprise xAI vous permet désormais de créer des images à partir d’invites de texte et de les publier sur X ― et jusqu’à présent, le déploiement semble aussi chaotique que tout le reste sur le réseau social d’Elon Musk. Les abonnés à X Premium, qui donne accès à Grok, ont publié de tout, depuis Barack Obama prenant de la cocaïne jusqu’à Donald Trump avec une femme enceinte qui ressemble (vaguement) à Kamala Harris, en passant par Trump et Harris pointant des armes. À l’approche des élections américaines et alors que X est déjà sous la loupe des régulateurs européens, c’est la recette d’un nouveau combat sur les risques de l’intelligence artificielle générative.

Le 5 septembre, le portail GNT nous apprenait que l’autorité irlandaise de protection des données, la DPC (Data Protection Commission) avait engagé au mois d’août une procédure devant la Haute Cour irlandaise. Elle visait le réseau social X pour des inquiétudes concernant l’exploitation de données personnelles d’utilisateurs européens dans le cadre de l’IA Grok. La DPC indique en outre qu’elle adresse une demande d’avis au Comité européen de la protection des données en vertu du Règlement général sur la protection des données (RGPD) : « Cette demande sera formulée afin de déclencher une discussion et de faciliter l’accord sur certaines des questions fondamentales qui se posent dans le contexte du traitement des données aux fins de développement et d’entraînement d’un modèle d’IA. »

La version textuelle de Grok refusera de faire des choses comme vous aider à fabriquer de la cocaïne, une action standard pour les chatbots. Mais les invites d’images qui seraient aussitôt bloquées sur d’autres services sont acceptables pour Grok. Entre autres, il y a eu plusieurs images gênantes comme Mickey Mouse avec une cigarette et un chapeau MAGA, Taylor Swift dans un avion volant vers les Twin Towers et une bombe faisant exploser le Taj Mahal. D’autres expériences menées par des utilisateurs de X montrent que même si Grok refuse de générer quelque chose, des failles sont faciles à trouver. Il reste donc très peu de protections contre le fait qu’il crache des images sanglantes d’Elon Musk et de Mickey Mouse abattant des enfants, ou même « de la pornographie infantile si on lui donne les instructions appropriées », selon Christian Montessori, utilisateur de X. Et bien que Musk soit conscient de ces problèmes, il semble les trouver amusants, affirmant que l’outil permet aux gens « de s’amuser ».

OpenAI refuse les messages concernant des personnes réelles, des symboles nazis, des « stéréotypes nuisibles ou de la désinformation » et d’autres sujets potentiellement controversés, en plus des zones interdites prévisibles comme la pornographie. Contrairement à Grok, il ajoute également un filigrane d’identification aux images qu’il crée. Les utilisateurs ont persuadé les principaux chatbots de produire des images similaires à celles décrites ci-dessus, mais cela nécessite souvent de l’argot ou d’autres solutions linguistiques, et les failles sont généralement comblées lorsque les gens les signalent.

La souplesse de Grok est cohérente avec le dédain d’Elon Musk pour les conventions de sécurité standard de l’IA et des réseaux sociaux, mais le générateur d’images arrive à un moment plutôt tendu. La Commission européenne enquête déjà sur X pour d’éventuelles violations de la loi sur la sécurité numérique, qui régit la manière dont les très grandes plateformes en ligne modèrent le contenu, et elle a demandé des informations plus tôt cette année à X et à d’autres entreprises sur l’atténuation des risques liés à l’IA. Au Royaume-Uni, l’Office of communications (Ofcom) se prépare également à commencer à appliquer la loi sur la sécurité en ligne (OSA), qui comprend des exigences d’atténuation des risques qui, selon lui, pourraient couvrir l’intelligence artificielle. Contacté pour un commentaire, Ofcom a cité un guide récent sur les « deepfakes qui dégradent, fraudent et désinforment » ; bien qu’une grande partie du guide comporte des suggestions volontaires pour les entreprises technologiques, il indique également que « de nombreux types de contenus deepfakes » seront couverts par l’OSA.

Les États-Unis disposent de mesures de protection de la liberté d’expression bien plus étendues et d’un bouclier de responsabilité pour les services en ligne, et les liens d’Elon Musk avec des personnalités conservatrices pourraient lui valoir quelques faveurs politiques. Mais les législateurs cherchent toujours des moyens de réglementer l’usurpation d’identité et la désinformation générées par l’IA ou les “deepfakes” sexuellement explicites, en partie stimulés par une vague de faux noms explicites de Taylor Swift qui se sont répandus sur X. Peut-être plus immédiatement, les mesures de protection laxistes de Grok constituent une nouvelle incitation pour les utilisateurs et les annonceurs de premier plan à éviter X ― même si Musk exerce sa force juridique pour essayer de les forcer à revenir.



➽ Je prends mes distances vis-à-vis les réseaux sociaux

Pour les raisons évoquées ci-haut (et plusieurs autres qui ne sont pas énumérées dans cet article), j’ai pris la ferme décision de prendre mes distances par rapport au réseau social X. Je ne participerai pas à cette hypocrisie ambiante et à ce cirque des fous. Je ne collaborerai pas non plus à nourrir cette bête du mensonge. Elon Musk est un être ambivalent et inconséquent, lui qui disait lors de l’AeroAstro Centennial Symposium du Massachusetts Institute of Technology (MIT), le 24 octobre 2014 : « Je pense que nous devrions être très prudents à propos de l’intelligence artificielle. Si je devais deviner quelle est notre plus grande menace existentielle, c’est probablement ça. Nous devons donc être très prudents avec l’intelligence artificielle. Je suis de plus en plus enclin à penser qu’il devrait y avoir une certaine surveillance réglementaire, peut-être au niveau national et international, juste pour être sûr que nous ne fassions pas quelque chose de très stupide. Je veux dire, avec l’intelligence artificielle, nous invoquons le démon. » [Lire cet article] Toutes ces images et vidéos générées par l’IA brouillent l’esprit et insufflent un poison nocif pour l’âme. Les gens qui croient s’amuser en utilisant le test bêta de Grok-2 sont en réalité les cobayes d’une énième étude marketing et comportementale. En fait, leurs données personnelles sont utilisées afin de bâtir un empire du mensonge dans lequel,― éventuellement ―, les gens seront incapables de différencier le vrai du faux.

Je sais bien que l’on aime souvent se moquer des politiciens et des célébrités, mais – personnellement – je n’aimerais pas me retrouver dans une situation fabriquée de toute pièce et potentiellement gênante, embarrassante et même diffamante et préjudiciable. L’un des principaux énoncés de la Règle d’or se lit comme suit : « Ce que toi-même tu n’aimes pas, ne le fais à personne » (Livre de Tobie, 4:15). Bientôt, nous assisterons à une multitude de procès montés en épingle, sans compter que cette intelligence artificielle nuira grandement aux véritables créateurs, c’est-à-dire les photographes, les vidéastes, les illustrateurs, les musiciens et les écrivains. Souhaitez-vous vraiment participer à ce grand chaos ?

Ce sont les quelques raisons pour lesquelles j’ai décidé de me détacher des réseaux sociaux afin de me concentrer sur la diffusion de ma lettre d’information pour maintenir une relation privilégiée avec mes fidèles lecteurs. Au moment où j’écris ces lignes, 2242 personnes sont abonnées à la lettre d’information de mon site internet officiel (guyboulianne.info), sans compter plus de 2100 abonnés sur mon site Web secondaire (guyboulianne.com). Grâce à la plateforme de marketing Brevo, j’obtiens un taux minimum d’ouverture de mes messages de 50%, ainsi qu’un taux important de clics sur les liens qui y sont inclus. Ceci est très respectable et constitue désormais le fer de lance de ma communication auprès de mon lectorat. Je continuerai à diffuser mes articles sur X/Twitter, mais sans y faire aucun acte de présence (si cela peut m’apporter quelques lecteurs supplémentaires). Pour cela, j’utiliserai comme toujours le planificateur de médias sociaux SlackSocial qui me permet de programmer mes communications sur les réseau sociaux VKontakte, Telegram, Tumblr, X/Twitter, etc., sans y être aucunement présent.

C’est aussi pourquoi j’ai récemment créé le Réseau VIP, un réseau social indépendant qui s’adresse à tous ceux et celles qui sont épris de liberté et qui en ont marre de faire le jeu des grandes plateformes. Le Réseau VIP ne comporte ni publicité, ni collecte de données, ni reconnaissance faciale, ni intelligence artificielle, ni bannissement de l’ombre (shadowban), ni même de « cookies », appelés aussi témoins de connexion et qui sont souvent utilisés pour suivre les habitudes de navigation des utilisateurs sur le Web. Veuillez noter que les entreprises exploitent les habitudes de navigation des utilisateurs en suivant les cookies pour recueillir des informations sur leurs habitudes d’achat. Le Wall Street Journal a constaté que les cinquante plus grands sites Web américains ont installé en moyenne soixante-quatre technologies de suivi sur les ordinateurs, ce qui a donné lieu à un total de 3 180 fichiers de suivi. Les données peuvent ensuite être collectées et vendues aux entreprises qui soumissionnent.

Je profite donc de cet article pour vous offrir un code de réduction de 40% sur l’abonnement initial “Annuel” et “À Vie” au Réseau VIP. Pour cela, il vous suffit de vous inscrire à ma lettre d’information pour obtenir automatiquement ce code de réduction. Adhérez et faisons grandir le Réseau VIP ensemble !

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Ces tarifs d’abonnement extrêmement abordables permettent au Réseau VIP de conserver une totale indépendance vis-à-vis des tiers. Étant donné qu’il n’y a aucune publicité sur le réseau social, nous ne dépendons aucunement du bon vouloir des annonceurs. Le réseau social appartient en quelque sorte à ses utilisateurs. De plus, l’abonnement mensuel offre aux gens l’opportunité d’essayer la plateforme sans prendre d’engagement sur une année (les membres peuvent mettre à niveau leur abonnement).

Le Réseau VIP permet à ses utilisateurs de tisser des liens les uns avec les autres. Ils peuvent rédiger, publier et partager des articles, démarrer des discussions dans le forum et contribuer aux sujets pertinents, créer des sondages, publier des annotations et ajouter des favoris, partager des images, des vidéos, des fichiers audio, des documents et autres contenus. En un seul clic de souris, les membres peuvent aussi partager leurs publications entre eux sur le Réseau VIP, ainsi que sur les autres réseaux sociaux comme Facebook, Twitter/X, et même sur LinkedIn.


Teo
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« Les articles de M Boulianne sont bien documentés et parfaitement argumentés. Pour le moment c’est le seul site, que je connais, qui publie une critique objective et détaillés des événements etc. »

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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).

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En réalité, ils se donnent le droit de continuer à collecter les métadonnées et de les vendre au plus offrant ou de s’en servir pour manipuler. Le droit d’être entendu n’est qu’un mirage destiné à nous garder captifs dans une prison virtuelle. Je le sais, mais il reste quelques comptes qui, dans l’ombre, nous permettent d’avoir un minimum d’interaction.

Et puis, pour aller à la pêche, c’est plus productif que l’océan. En fait, X est une forme de pyramide de prédation : politiciens prédateurs, spécialistes de gestion de crise prédateurs, chroniqueurs prédateurs, etc. L’océan compte quelques très gros poissons ici et là, mais il regorge de bancs de petits poissons.

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