La dignité du Vatican fait naufrage dans l’urine ! Le pape François se trouve dans le piège LGBT avec un artiste de crucifix gay blasphématoire

Le 30 juin dernier, j’ai publié un article concernant le pape François qui a honoré à la chapelle Sixtine l’artiste Andres Serrano, créateur de l’œuvre anti-chrétienne “Piss Christ” (Le Christ pisseux) montrant un crucifix immergé dans un verre de sa propre urine, et le pornographe Abel Ferrera, dont les films reposent sur la nudité gratuite, la consommation de drogue et la violence. Or, cet article a été repris en partie par le journaliste italien Carlo Domenico Cristofori sur la plateforme Gospa News, une agence d'information dirigée par mon collègue Fabio GC Carisio. En voici la traduction.

À de nombreuses reprises, Gospa News a soutenu la thèse selon laquelle l’évêque de Rome le plus naïf de l’histoire bimillénaire de l’Église catholique a été appelé au trône papal. Des cardinaux affiliés à la franc-maçonnerie, qui serpente dans l’État du Vatican depuis des siècles, voulaient qu’il mette en œuvre un projet diabolique de tentative de délégitimation et d’implosion de l’Église apostolique romaine. L’Esprit Saint a probablement voulu qu’elle éduque à l’humilité les chrétiens qui savent tout du troisième millénaire et qui, imitant les luthériens les plus fanatiques, ont oublié des pontifes bien pires dans l’histoire (y compris les antipapes d’Avignon) et, au lieu de prier pour que le Vicaire du Christ sur terre soit éclairé, ils rivalisent avec ceux qui l’insultent en abusant sur les médias sociaux boueux de cet orgueil spirituel qui a été la raison de la condamnation de Lucifer et de l’expulsion des anges rebelles du Paradis.

C’est pourquoi il serait trop facile, comme l’ont fait certains médias et journalistes chrétiens, de s’en prendre à la énième gaffe du cardinal Jorge Mario Bergoglio, qui est devenu pape François précisément pour dénoncer, en raison aussi de sa naïveté très proche d’une incapacité partielle de comprendre et de vouloir, les pièges sordides que des cardinaux pingres et corrompus tentent quotidiennement de tisser pour salir non seulement sa personne, mais la dignité papale elle-même.

En effet, il convient de rappeler que la primauté pétrinienne consacrée dans l’Évangile par les paroles de Jésus-Christ, « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle » (Évangile de saint Matthieu 16:18), a été désavouée par l’Église anglicane, qui a été la principale complice de la naissance de la franc-maçonnerie, et qui se réjouit donc chaque fois que la crédibilité d’un pontife est ridiculisée par des événements absurdes tels que l’éloge par Bergoglio du pseudo-artiste qui a trempé un crucifix dans de l’urine pour créer une œuvre photographique profanatrice et faire parler de son art médiocre et insubstantiel.

Le pouce levé du pape François pour saluer le photographe américain Andres Serrano est à lui seul un coup de poing dans l’estomac de tous les fondamentalistes chrétiens.

Le fait que Serrano, 72 ans, auteur de l’œuvre controversée Piss Christ, ait été reçu au Vatican parmi 200 autres artistes à l’occasion du 50e anniversaire de l’inauguration de la collection d’art moderne des musées du Vatican n’est pas une justification suffisante. Pas plus que le fait que le photographe blasphémateur se dise chrétien.

Andres est d’origine hispanique et est également gay (comme le rapporte Oxford Reference). Cela a sans doute contribué à en faire une icône des mouvements arc-en-ciel qui cherchent chaque jour un individu capable de représenter les minorités pour revendiquer des droits en décalage avec l’éthique humaine et qui visent parfois même à supprimer ceux des majorités, comme dans le cas de l’éducation des enfants au transgendérisme, sévèrement condamnée par le pape François lui-même.

C’est trop même pour nous de le commenter en cultivant l’espoir que ce sera la énième fois qu’un Pontife de modeste préparation spirituelle, théologique et intellectuelle, utilisé par la Divine Providence pour prouver l’humilité et la fidélité du Peuple de Dieu à l’Église comme Corps mystique du Christ, et d’ailleurs bien plus qu’un Clergé du Vatican à la dérive, glisse sur un tapis de peaux de bananes spécialement construit par le Lobby LGBT qui l’a déjà conduit à une défiguration encore plus grave : l’attribution du prix portant le nom de Paul VI, icône de la sainte chasteté, à un fan de la communauté gay et transgenre comme Sergio Mattarella, malheureusement président de la République italienne.

C’est pourquoi nous publions un extrait de l’article du journaliste canadien Guy Boulianne, dont nous ne partageons pas l’introduction, qui présente Bergoglio comme un prophète de l’apocalypse. Mais d’abord, nous reprenons de Wikipedia l’histoire de l’œuvre Christ Piss de l’artiste américain blasphématoire, cible compréhensible de toutes les malédictions bibliques de la part des vrais chrétiens.

Le Christ dans l’urine également contesté au Sénat américain

Piss Christ (Le Christ pisseux) est une photographie prise en 1987 par le photographe américain Andres Serrano. La photo représente un petit crucifix en plastique immergé dans un bocal en verre contenant l’urine (vulgairement appelée “pisse”) de l’auteur. De toute évidence, l’un des messages contenus dans l’œuvre est une intention provocatrice.

« L’œuvre a remporté le prix 1989 Awards in the Visual Arts décerné par le Southeastern Center for Contemporary Art et sponsorisé par le National Endowment for the Arts, une agence gouvernementale américaine qui protège et finance des projets reconnus pour leur excellence artistique. L’œuvre a été endommagée par des catholiques le 17 avril 2011 lors de son exposition à Avignon, en France », écrit Wikipedia, d’où nous avons tiré les informations suivantes.

Au fil des ans, Serrano a réalisé des œuvres similaires telles que Madonna and Child II (Madone et enfant II, 1989) : une estampe ilfochrome dont le sujet est également immergé dans l’urine, mais qui n’est pas aussi connue que Piss Christ.

L’exposition de l’œuvre, en 1989, provoque un scandale généralisé aux États-Unis ; parmi ses principaux détracteurs figuraient les sénateurs républicains Al D’Amato et Jesse Helms qui ont porté le débat au Sénat ; dans un discours prononcé le 18 mai 1989 au Sénat des États-Unis, les deux membres du Congrès ont accusé le travail de vulgarité et de blasphème, et que le prix de 15 000 $ obtenu par Serrano pour Piss Christ violait le principe de séparation entre l’Église et l’État, en tant que financé avec de l’argent public par une institution fédérale (le National Endowment for the Arts).

Les partisans de l’œuvre, au contraire, l’ont qualifiée d’exemple significatif de la liberté de parole et d’expression dans le domaine artistique ; parmi ses défenseurs figurait la religieuse et critique d’art anglaise Wendy Beckett, selon laquelle Piss Christ n’avait pas d’intention blasphématoire, mais représentait la façon dont la société contemporaine se positionne vis-à-vis du Christ et des valeurs qu’il représente.

En 1997, la controverse a repris en Australie à l’occasion d’une rétrospective Serrano à la National Gallery of Victoria, lorsque l’archevêque catholique de Melbourne, George Pell, a demandé en vain une injonction à la Cour suprême de Victoria pour empêcher l’exposition de la photographie blasphématoire. Dans les jours qui ont suivi, des actes de vandalisme ont endommagé l’œuvre, ce qui a conduit la National Gallery à décider d’annuler l’exposition Serrano en raison de préoccupations concernant la sécurité d’une exposition contemporaine de Rembrandt.

Le cardinal Pell, après avoir adopté une position ferme, a été poursuivi par le système judiciaire pour la fameuse accusation non fondée de pédophilie, dont il a été complètement disculpé par la suite, après avoir subi l’opprobre de l’emprisonnement.

En avril 2011, l’exposition de l’œuvre à Avignon dans le cadre de la manifestation “Je crois aux miracles” n’a pas manqué de susciter controverses et protestations, culminant le 16 avec une marche organisée d’un millier de personnes à travers la ville jusqu’au musée. Le lendemain, quatre jeunes gens sont entrés dans le musée même, ont menacé et immobilisé les deux gardiens, ont brisé la vitre de protection et endommagé irrémédiablement la photo. Une deuxième photographie du même auteur, représentant une religieuse en méditation, a également été vandalisée.

Jusqu’à preuve du contraire, Gospa News continuera à croire à la naïveté “béate” (pas bénie, ce n’est pas une faute de frappe) de Bergoglio qui, vivant dans un monde géopolitique savamment construit par ses conseillers frauduleux, a ignoré la liste des artistes convoqués au Vatican. Voici maintenant le récit publié par le journaliste canadien Guy Boulianne sur le site qui défend aussi les valeurs éthiques du christianisme.

➽ SOURCE — Carlo Domenico Cristofori : « LA DIGNITA’ VATICANA NAUFRAGA NELL’URINA! Papa Francesco “Clown” nella Trappola LGBT con l’Artista Gay del Crocifisso Blasfemo ». Gospa News, Italia, 30 Giugno 2023.

Myriam
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).

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Montréalité

Article et commentaires très intéressants. Pour ajouter ma modeste contribution, je soulèverai deux points. Le premier concerne les erreurs du pape François commises par naiveté : n’est-il pas entouré de conseillers qui puissent le recadrer lorsqu’il s’égare ? Second point : accueillir un pécheur (repentant ou non) est une chose; l’inviter et le féliciter en est une autre…. Merci à tous pour ces échanges intéressants.

Dernière modification le 1 année il y a par Montréalité
teo

Je ne pense pas que cela soit de la naïveté de la part de Cristofori dans Gospa News, bien que je ne peux l’affirmer. C’est plutôt un moyen habile de semer le doute dans des esprits peu analytiques et ne cherchant pas par eux même la véracité des écrits, journalistique ou pas. C’est à mon avis une ruse de bas de gamme, mais cela s’observe tous les jours, cela reflète le manque de capacité cognitive et psychologique, rien de plus. Si cela égare certains lecteurs, c’est qu’il n’en faut pas beaucoup, il ne sera sûrement pas le dernier. Je préfère sans hésitation, des articles bien documentés, et analysé avec raisonnement, que le genre qui «essaye» de jouer sur l’émotionnel.

Merci M Boulianne

FR Marie Nestor NANA

Qui est le plus grand des pécheurs entre celui qui sacrifie son peuple en livrant ses ressources
minières du pays et éliminant toute personne qui se met à travers son chemin (accueilli par le pape), celui qui tue son semblable (accueilli par le pape), celui qui pratique le trafic des enfants, celui qui beigne un crucifix dans l’urine (pourquoi lui, il ne doit pas être accueilli par le pape?), qui donc a le plus preché?

L’Eglise doit-elle vivre selon les Évangiles à la suite du Christ sauveur de tous, qui accueillait aussi bien les bien portants que les mauvais pourtants (prostituées, collecteurs d’impôts, etc.), qui invite à aimer ses ennemis, à pardonner soixante dix sept fois sept fois ou doit elle vivre selon le désir du monde (rejeter les mauvaises personnes comme les blasphémateurs, gay, prostituées, etc.), les mettre à l’écart.

J’ai la ferme conviction que si l’Eglise abandonne les pécheurs pour les justes, elle manquera à une de ses principales missions salvatrices.

teo

Je comprends ce que vous voulez dire, mais il nous incombe pas de juger le degré de pêcher, ce n’est pas notre rôle, c’est la justice qui doit le faire avec les faits en sa possession. Je précise, que si nous choisissons un gouvernement, nous devons être impliqué afin qu’il serve les intérêts du peuple, et non l’inverse.
Ce dit, il nous incombe à tous de juger acceptable ou non des déviances dans notre société (chaque peuple construit sa société) dès qu’elles nuisent ne serait-ce qu’à une personne (règles de morale etc.) afin que chacun y trouve sont compte.

Concernant les organisme religieux etc. cela est un peu différent, personne n’est obligé d’y participer. Mais les droit de l’Homme s’y appliquent également, donc une certaine liberté peut y exister, tant qu’elle ne nuit pas, aux croyants de décider ce qu’elles approuvent ou non.

Ce qu’il est important de comprendre c’est qu’une attitude laxiste sur le manque de respect (de tout genre), sous couvert que le croyant doit être tolérant, amène des situations dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Concernant le pape, il ne s’agit pas seulement de cet art, d’autre célébrations païennes ont eu lieus.
Il importe donc, à mon avis, de rester cohérent dans ses objectifs, ses actes etc.

Ne pas tolérer certaines choses, ne signifie pas que l’on rejette la personne dans sa liberté de son cheminement, qu’ils se moque du Christ ou de Dieu, je m’en moque, et je ne pense pas que Dieu s’en préoccupe, ce qui compte c’est que cela amène encore et encore des situations qui au final aboutissent à des nuisances réelles.

Le pape a exigé que tous se fassent vacciner, il n’a donc pas respecté la liberté de chacun, pensez-vous que cela reflète la volonté divine? Je ne le pense pas.

Fr. Marie Nestor NANA

Ouiiii mon Théo
Merci pour votre approche très appréciable. Je partage votre avis.
Cependant je crois que vous n’avez pas compris mon point de vue contrairement à ce que vous semblez m’avoir compris.
Il n’a jamais été question de tolérer les déviances, ou le mal, ou même le “péché ” pas du tout. Ne le prenez pas dans les mots mais dans son sens global (l’objectif visé).
Vous pouvez approuver ou condamner un fait mais n’attendez pas forcément que l’autre partage votre point de vue; ce qui est riche à en tirer c’est de savoir la motivation de l’autre dans ces actes. Chacun est un produit de société; et nos actes ont leur source.
Le pape a une mission, qui n’est pas forcément la vôtre. Et il est appelé à poser des actes qui trouve son sens dans la Bible. Mais vous, vous n’en êtes pas forcément tenu. Alors permettez que si un de ses actes trouve source dans la Bible qu’on puisse le dire. Et cela ne veut pas signifier qu’on adhère ou accepté le mal. Recevoir un être et différent de cautionner son mal même si à vos yeux cela s’apparente. De la même manière, inviter à se faire vacciner en donnant l’exemple n’est pas une exigence et le pape n’exige rien d’ailleurs. Rien n’a été prouver de mal dans le vaccin anti COVID. Si une solution est trouvée face à un mal il faut le considérer comme une inspiration divine. Et Dieu n’inspire pas que le pape, nous sommes tous dans le plan de Dieu et il nous inspire bien souvent dans des situations difficiles. Et c’est ça la volonté divine. Jusqu’au jour qu’il ne voudrait pas et il s’y opposera. Car il en est capable.
Tout comme Dieu nous donne à tous (mauvais ou bon) son souffle de vie, alors qu’il ne cautionne pas le mal, acceptez aussi que les uns qui critique l’accueil de l’artiste au Vatican trouvent des réponses divergentes car nous avons tous des croyances et des motivations.
C’est dans le même sens que nous pouvons analyser les lois votées dans un pays; depuis la séparation opérée entre l’Etat et l’église, cette opposition est inévitable. C’est pas parce-qu’une décision vient de la justice d’un pays qu’elle doit être forcément partagée par l’Eglise.
L’exemple que j’ai pris devrait être vu dans son sens global du contexte actuel
Cordialement à vous

teo

À Marie Nestor NANA
Le commentaire de M Boulianne est on ne peut plus juste, que l’on soit croyant ou non, approuvant pleinement les exemples donnés je ne peux rien ajouter.
Je pense également que vous êtes mal informé, la situation est bien plus grave que vous ne le pensez.

Cordialement

NANA

Merci sincère à vous Mr BOULIANNE
Votre bonne volonté de contribuer à relever mes insuffisances d’information m’a beaucoup plu. Ceci afin que je puisse mieux vous comprendre dans la logique déjà citée plus haut. Cela est preuve d’une grandeur de maturité. Je vous suis gré.
Parlant de vaccin, je répondais à une opinion basée sur ceci: “le pape a exigé que *tous* se fassent vacciner.” Considérant ainsi que le ” *tous* ” utilisé ici représente tous les catholiques du monde j’ai donc apporté ma petite contribution de clarification. La précision est venue avec votre nouvelle approche.
En effet, j’étais au Vatican au temps de COVID mais je n’ai pas été contraint. J’y ai fini ma mission sans être contraint à me vacciner.
Notre cas ici avait donc besoin de précision. Pour le personnel directement en contact permanent oui permanent avec le pape ouiiii. Ça dit tout sauf celui qui ne veut pas comprendre. Dans ce cas, j’évite les débats autour car là encore j’ai certaines informations de source d’éléments d’observation participante sur des non dit sur ce qui est publié qui pourrait aider à comprendre certains faits.
Par rapport à la publication de Mgr Carlo, j’ai eu à donner mon avis lors d’un atelier autour de la question dans une perspective de conciliation entre fils de l’Eglise Mère avant même que Mgr ne fasse sa publication. Mais personnellement des membres ou communautés bien cités dans la publication de Mgr ne se retrouvent pas vrai et lui même le sait. Mais celui qui a soif d’atteindre ses objectifs trouvera toujours les justes raisons justificatives. Mais le silence ne veut pas dire souvent qu’on a tort. Et la justification n’est pas à l’ordre du jour face à ces genres de publication. Je parle de ce qui est cité dans la publication mais s’avère n’est pas être exact puisque ma communauté y est concernée et plein d’autres membres cités avec qui on est toujours ensemble. Mgr Carlo à ses raisons. Tout n’est pas faux dans ses dires mais rien d’humain n’est juste. Il est mieux souvent de concilier nos efforts pour améliorer surtout s’il s’agit de l’Eglise qui a une histoire tâchée de tout mais résiste parceque bâti sur le ” *Roc” qui est le Christ Jésus*. Si tu veux construire le bien et on refuse, alors reste et prie car Dieu fait la bagarre sans soulever la poussière. Mais certains préfèrent délibérément se démarquer pour créer le leur ou s’y opposent farouchement afin de pousser le pape à les mettre à l’écart tout en oubliant qu’avant eux, beaucoup ont fait pareil mais le *”après eux”* s’avère contradictoire car leurs œuvres ou initiatives deviennent pires que ce pour quoi il se sont bâttus. La défaillance d’un élément de l’Eglise quelqu’en soit son statut n’est pas la destruction de l’Eglise car Dieu écrit droit sur des lignes courbes et il conduira son Eglise vers la vérité entière. En aucun homme ne se trouve la vérité. Elle vient de DIEU. Les raisons de motivation de Mgr ont existé déjà maintes fois dans l’histoire de l’Eglise ; mais n’a pas empêché l’Eglise de grandir. C’est même dans ces dérapages qu’on doit rester soudé non pour faire le mal mais pour construire. Je connais bien l’homme Mgr Carlo.
En ce qui concerne les exemples de rencontre de l’apôtre Mathieu et de Madeleine, etc. Mon avis est que personne ne tende de se convertir sans Dieu. C’est la rencontre avec Dieu (soit physiquement ou soit dans la conscience) qui crée la repentance, qui change la donne. Le pécheur qui se convertit doit son salut à l’Éternel. Car sans Dieu pas de repentance, pas de salut. Tous ces hommes beignaient dans le mal et je puis dire même, persévéreraient dans un mal total, pire que ce que l’on croit mais dès le contact avec Dieu, leur salut a vu le jour. Que Dieu nous donne tous l’opportunité de le rencontrer réellement bien avant notre mort Amen. Car les psaumes nous disent qu’il prend les incapables pour en faire des capables. Et c’est ce qu’il a fait avec les personnages dont vous vous êtes servi comme illustration en citant les versets bibliques. Alors nous *(chrétiens)* sommes invités à *plus* *prier* pour la conversion de ceux qui se détournent du chemin juste.
Une chose est claire, ce n’est pas le point de vue des journalistes; mais plutôt captiver le plus grand monde de lecteurs (tout comme le titre de notre préoccupation commune le stipule), ou de fois chercher à imposer une certaine *”justice”* ou *”équilibre”* face à certains “dérapages dans le comportement en société. Les méthodes utilisées ne rythment pas *parfois* avec le monde religieux. Chacun a ses motivations.
Aussi je suis informé de beaucoup mais notre préoccupation est basée sur le fait que le pape a accepté l’invitation d’une personne que le monde considère “pervers”. Autrement dit “pourquoi le pape n’a t-il pas refusé de recevoir cet homme dont les actes sont orientés dans une persévérance de la perversité ou même “anti-christ” ou encore si le pape n’avait pas reçu l’homme, aucun problème, il aurait *”bien agit”* c’est ma compréhension. Si tel n’est pas le cas alors je me retire.
Mon approche s’inscrit sur une dynamique constructive d’apport de point de vue à partir de votre publication.
Une fois encore je vous remercie Mr ?

Fr. Marie Nestor NANA

C’est à moi de vous remercier. Vous avez une grandeur d’esprit. J’aime

NANA

Merci une fois de plus pour l’apport à ma maturité dans l’information.
Tout comme je l’ai dit, l’homme ne convertit pas l’homme ; il peut le rendre conscient; soit par des reproches, soit par la prière. Dieu seul convertit. Et donc parlent de la chrétienté, pour les reproches, nous pouvons passer par deux manières: celle luthérienne ou celle passive qui impliquerait des méthodes pour y parvenir.
Je l’ai dit plusieurs fois à mon frère GBENOU puisqu’on se connait mais lui, il a préfèré utiliser ses anciennes méthodes. Mon dernier contact avec lui était en 2019. En fin de compte c’est ce que j’ai prédit qui s’est passé. Lui même avait beaucoup de relation pour faire parvenir sa lettre et rester dans le silence et la prière une fois que sa lettre serait transmise. Mais recourir à d’autres moyens d’imposition aaaah non. Dans l’histoire de l’Eglise Dieu a passé par des enfants pour corriger des papes! En cela pour signifier que l’humilité tout comme un enfant qui n’impose rien attire l’intervention divine. Si nous croyons que les affaires de Dieu sont à résoudre à la manière et méthode humaine, nous allons toujours échoué. Nous crierons sur les toits mais Dieu se taira. Et gardera ce silence pour attendre celui sur qui les reproches sont portées avec celui qui porte les reproches devant sa face tôt ou tard; et tous deux, vous aurez à répondre. On peut se tromper mais on ne peut pas tromper Dieu.
L’histoire raconte qu’un frère moine qui aimait bien l’Eglise mère, priait tous les jours pour elle parceque Dieu lui révélait les tâches cachées du pape et de certains cardinaux; un jour une des fautes graves commises par le pape le poussa à se décider d’aller rencontrer le pape. Il tourna une semaine avant d’obtenir le rendez-vous ! La veille du rendez-vous le seigneur lui demanda si l’Eglise était pour lui le moine ou pour le Christ; il répondit que c’est pour Dieu. Alors le Christ lui dit de se taire et de prier seulement; il lui a demandé de se trouver 11 confrères avec qui ils prieront et jeûneront pendant 40 jours en invoquant le nom du pape. Puis que chacun d’eux fasse tout pour abandonner un de son défaut le plus repeté. Ce qui a été exécuté mais malheureusement un d’eux n’a pas pu abandonné le défaut recommandé (son péché mignon) et le seigneur le révèla le 21ème jour. Ils ont repris le jeûne et le prière pour 40 autres jours. au 35ème jour le pape démissionnant pour céder à un autre cardinal qui a su bien relever le défis. Comme quoi tout est possible à Dieu. l’Eglise c’est pour le Christ et non pour le pape ni pour mon confrère GBENOU, alors inutile de répéter qu’il n’a aucun droit d’utiliser des violences verbales contre le pape. Dieu agit dans les personnes humbles, et non dans des connaisseurs en droit canonique. C’est mon point de vue.
Je vous remercie

@fatherjesusmary

Que Jésus et Marie bénissent le frère Nana !

Silence et prière, dit Nana. Et pourtant, Jésus et Jean-Baptiste et de nombreux saints (Athanase, Chrysostome, etc.) ont fait voix (parler, dénoncer, critiquer) et prière. Évidemment, il nous faut prier et beaucoup. Mais oublierons-nous la correction fraternelle recommandée par Jésus en cas d’erreur du prochain (Matthieu 18, 15-17) ?

Jésus n’a pas dit que le silence était la solution pour les problèmes graves tels que ceux que nous vivons actuellement dans l’Eglise Catholique. Le Pape François enseigne le faux au peuple chrétien, devant le silence de plusieurs cardinaux et évêques qui devraient réagir. Mais le mal que constituent le relativisme et l’éthique de situation se répandent dans l’Eglise. Faut-il vraiment le silence ? N’est-ce pas de l’adulation ? Ce péché est interdit par le 8ème commandement du Décalogue : « Est à proscrire toute parole ou attitude qui, par flatterie, adulation ou complaisance, encourage et confirme autrui dans la malice de ses actes et la perversité de sa conduite. L’adulation est une faute grave si elle se fait complice de vices ou de péchés graves. Le désir de rendre service ou l’amitié, ne justifient pas une duplicité du langage » (Catéchisme de l’Eglise Catholique, 2480).

Fr Marie Nestor Nana, pourriez-vous me contacter inbox ? J’ai du mal à me souvenir du nom et du visage. Merci. Voici mon mail : fatherjmm@gmail.com

Que Dieu nous bénisse tous et donne enfin à François l’humilité de reconnaître ses erreurs et de les rectifier pour son propre bien et celui des fidèles catholiques et de l’humanité !

Daniel38

Vous avez raison. Je ferai deux remarques :

1) Le tableau ne crée le scandale qu’en raison de son titre et son explication. Mais si vous regardez la photo sans lire la légende, vous ne voyez qu’un crucifix flou dans des teintes rouges et jaunes, c’est à dire visuellement quelque chose d’insipide que vous ne regarderez que 2 ou 3 secondes puis l’oublierez bien vite. Je me rappelle d’un tableau dans un musée, qui était une surface blanche lisse, et donc avait besoin d’une légende très longue pour tenter de justifier son inexistence artistique. Ici c’est pareil : cette chose n’existe intellectuellement que par son titre, rien d’autre.

2) L’artiste ne m’apparaît que comme un individu pathétique. Sa tentative d’art est vide, et se résume à de la provocation bas de gamme, dernière chose qui lui reste pour tenter d’exister (regardez la biographie artistique de Georg Baselitz, et vous comprendrez ce que je veux dire…). Et **peut-être** même que cette photo est un cri de son âme, car celle-ci arrive à se manifester un peu au travers de sa personnalité égarée, en appelant le christ à son secours pour la sortir du marasme spirituel dans lequel ce photographe baigne. Bref, on pourrait prier pour que la grâce divine lui éclaire les yeux sur le chemin qui mène à une vraie vie de satisfaction spirituelle.

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