« Alors que les dirigeants du monde entier luttent contre la propagation du coronavirus, ils accumulent de nouveaux pouvoirs radicaux. Alors que les législatures limitent ou suspendent les activités au nom de la distanciation sociale, nombre des normes qui définissent la démocratie – élections, délibérations et débats, contrôles et rapports – ont été mises en attente indéfinie »
Les sept docteurs et professeurs Fioranelli, Sepehri, Roccia, Jafferany, Olisova, Lomonosov et Lotti ont publié une étude scientifique intitulée “Technologie 5G et induction du coronavirus dans les cellules de la peau” (5G Technology and induction of coronavirus in skin cells). Cette étude a été reçue le 13 mai, acceptée le 9 juin et publiée le 16 juillet dans le magazine académique BIOLIFE et aussitôt reprise sur la base de données biomédicale et scientifique PubMed. Or, à peine 8 jours plus tard, cette étude fut retirée et censurée suite à des articles médisants publiés par Elisabeth Bik et l’analyste technologique Joel Hruska (voir l’archive sur Wayback Machine).
Dans cette recherche, les auteurs affirment que les ondes millimétriques 5G pourraient être absorbées par des cellules dermatologiques agissant comme des antennes, transférées vers d’autres cellules et jouer le rôle principal dans la production de coronavirus dans les cellules biologiques.
Je ne possède pas les connaissances scientifiques nécessaires pour affirmer si, oui ou non, cette étude doit être prise dans son intégralité. Par contre, comme je l’ai écrit dans un article précédent, « je conspue tous ceux et celles qui dénigrent publiquement des scientifiques pour faire valoir leur propre idéologie. Il s’agit d’une basse manœuvre ne relevant en rien de la grandeur d’âme et de l’honnêteté intellectuelle. » Ce fut le cas pour le Dr Paul Héroux, le Pr. Didier Raoult, le biologiste espagnol Bartomeu Payeras i Cifre, et les Drs américains Dan Erickson et Artin Massihi. L’analyste technologique (et non pas scientifique), Joel Hruska a osé traiter le Dr Massimo Fioranelli et ses collaborateurs de crétins sur le site internet de ExtremeTech, En effet, il écrit à propos de l’étude : « Cet article n’est pas tant un article scientifique qu’une représentation de ce qu’un crétin pense qu’un article scientifique est. » Pour sa part, la blogueuse Elisabeth Bik s’est permise de ridiculiser une étude des Prs Fioranelli et Sepehri intitulée “A mathematical model for the virus medical imaging technique” (Un modèle mathématique pour la technique d’imagerie médicale virale), ce à quoi le Pr Sepehri répond :
« Avant de nous concentrer sur la partie scientifique de l’article et de répondre à ces questions, nous nous demandons comment cette personne se laisse aller sur Twitter et rend certains principaux instituts d’édition discutables. Je ne pense pas qu’aucune loi dans aucun pays autorise une personne à utiliser Twitter pour détruire la personnalité des autres. Elle devrait répondre de son action en justice. (…) Dans cet article, nous discutons du comportement de l’ADN à l’intérieur des cellules et des virus en utilisant des concepts de physique. Ainsi, on se demande comment ce chercheur en biologie donne une idée de la partie physique du papier. »
L’auteur principal de l’étude, le Dr Massimo Fioranelli est professeur agrégé de physiologie humaine à l’Université Guglielmo Marconi de Rome, en Italie. Il dirige depuis juin 2019, le premier centre italien de cardiologie et de médecine intégrée à la maison de soins infirmiers Villa del Rosario, Via Flaminia à Rome. Il est également directeur du centre cardiaque de Mater Dei, directeur du Centro Studi en sciences de la vie à l’Université Guglielmo Marconi, professeur associé de physiologie au Département de physique nucléaire, subnucléaire et des rayonnements de la Faculté des sciences de l’éducation. et l’éditeur en chef de l’International Journal of Inflammation, Cancer and Integrative Therapy. Il est membre de plusieurs sociétés scientifiques.
Le professeur Massimo Fioranelli est l’auteur de plusieurs livres dont “Medici eretici” (Médecins hérétiques), écrit à quatre mains avec Maria Grazia Roccia, publié par Laterza en 2016, avec une présentation de Giorgio Cosmacini. Un livre qui parle des médecins qui ont changé l’histoire de la médecine même lorsque la société n’était pas prête pour leurs découvertes.
Les collaborateurs dans l’étude du Pr Fioranelli sont Mohammad Jafferany, professeur clinicien (psychodermatologie et psychiatrie) à la Central Michigan University aux États-Unis; Olga Yu. Olisova, professeure au Département de dermatologie et vénéréologie, ainsi que Konstantin M. Lomonosov MD, PhD, DSc, professeur à l’Université Sechenov en Russie (I.M. Sechenov, première université médicale d’État de Moscou); Alireza Sepehri et Maria Grazia Roccia de l’Université Guglielmo Marconi, ainsi que Torello Lotti, lui-même professeur de dermatologie et vénéréologie à l’Université Guglielmo Marconi en Italie. Ce dernier est aussi le rédacteur en chef de l’International Journal of Inflammation, Cancer and Integrative Therapy.
MISE À JOUR [8 août 2020] : Le professeur Fioranelli m’a personnellement informé que son équipe est en train de réécrire l’étude et il espère qu’elle sera bientôt publiée à nouveau.
« Je crois que la médecine doit retrouver cette pensée systémique, qui évalue la vie en termes de connectivité, de relation, de contexte. Selon la vision systémique, un organisme ou un système vivant est une totalité intégrée, dont les propriétés essentielles ne peuvent être réduites à celles de ses parties; au contraire, elles émergent des interactions et des relations entre les organes et entre l’organisme et son contexte environnemental, social et culturel. C’est ma méthode, mon approche du patient et de sa maladie. » — Dr Massimo Fioranelli
À propos de l’étude « Technologie 5G et induction du coronavirus dans les cellules de la peau »
Dans cette recherche, nous montrons que les ondes millimétriques 5G pourraient être absorbées par des cellules dermatologiques agissant comme des antennes, transférées à d’autres cellules et jouer le rôle principal dans la production de coronavirus dans les cellules biologiques. L’ADN est construit à partir d’électrons et d’atomes chargés et a une structure semblable à un inducteur. Cette structure pourrait être divisée en inducteurs linéaires, toroïdaux et ronds. Les inducteurs interagissent avec les ondes électromagnétiques externes, se déplacent et produisent des ondes supplémentaires dans les cellules. Les formes de ces ondes sont similaires aux formes des bases hexagonales et pentagonales de leur source d’ADN. Ces ondes produisent des trous dans les liquides à l’intérieur du noyau. Pour combler ces trous, des bases hexagonales et pentagonales supplémentaires sont produites. Ces bases pourraient se joindre les unes aux autres et former des structures de type virus telles que le coronavirus. Pour produire ces virus au sein d’une cellule, il est nécessaire que la longueur d’onde des ondes externes soit plus courte que la taille de la cellule. Ainsi, les ondes millimétriques 5G pourraient être de bons candidats pour la construction de structures de type virus telles que les coronavirus (COVID-19) dans les cellules.
La maladie à coronavirus (COVID-19) est le principal problème cette année impliquant le monde entier. Il s’agit d’une maladie infectieuse causée par un coronavirus nouvellement découvert. Ce virus fait partie de virus apparentés qui causent des maladies chez les mammifères et les oiseaux. Chez l’homme, les coronavirus provoquent des infections des voies respiratoires qui peuvent être bénignes, comme certains cas de rhume (parmi d’autres causes possibles, principalement des rhinovirus), et d’autres qui peuvent être mortelles, comme le SRAS, le MERS et le COVID-19. Parmi eux, COVID-19 est un virus enveloppé avec un génome ARN simple brin de sens positif et une nucléocapside à symétrie hélicoïdale. La taille du génome des coronavirus varie d’environ 27 à 34 kilobases, la plus grande parmi les virus à ARN connus. À ce jour, de nombreux scientifiques ont tenté de trouver une méthode pour guérir cette maladie; cependant, sans succès. Le COVID-19 peut avoir des effets sur différents types de cellules. Par exemple, il a été avancé que ce virus pouvait avoir des effets sur les cellules dermatologiques. D’autre part, on sait que certaines ondes de la technologie 5G ont des effets directs sur les cellules de la peau. Ainsi, il existe certaines similitudes entre les effets du COVID-19 et les ondes dans la technologie 5G.
Une nouvelle question se pose concernant une relation entre la technologie 5G et le COVID-19. La technologie 5G est la technologie mobile de cinquième génération dans laquelle son spectre de fréquences pourrait être divisé en ondes millimétriques, bande moyenne et bande basse. La bande basse utilise une gamme de fréquences similaire à celle du prédécesseur, la 4G. L’onde millimétrique 5G est la plus rapide, les vitesses réelles étant souvent inférieures de 1 à 2 Gbit / s. Ses fréquences sont supérieures à 24 GHz, atteignant jusqu’à 72 GHz, ce qui est au-dessus de la limite inférieure de la bande de fréquences extrêmement élevée. Les ondes millimétriques ont une portée plus courte que les micro-ondes, donc les cellules réactives sont celles de plus petite taille. Par conséquent, les cellules biologiques pourraient également agir comme un récepteur pour ces ondes. De nombreux chercheurs ont examiné les effets de la technologie 5G sur la santé humaine. Par exemple, il a été démontré que la technologie de réseau mobile 5G affectera non seulement la peau et les yeux, mais aura également des effets systémiques néfastes. Dans une autre étude, il a été avancé que les technologies 5G nuisent gravement à la santé humaine. Le cancer n’est que l’un des nombreux problèmes. La 5G cause 720 maladies (factorielles) différentes chez les êtres humains et peut tuer tout ce qui vit, sauf certaines formes de micro-organismes. Pour considérer les effets des ondes millimétriques 5G sur les systèmes biologiques, nous proposons un modèle qui décrit le processus d’échange d’ondes entre les tours 5G et les cellules hôtes.
À ce jour, certains chercheurs ont tenté de proposer un modèle d’utilisation des ondes dans l’extraction d’informations au sein des cellules. Ces ondes peuvent être des champs électromagnétiques transversaux ou des ondes ultrasonores longitudinales. Un ADN est construit à partir de particules chargées et selon les lois de la physique, par tout mouvement de ces particules, certaines ondes électromagnétiques émergent. De plus, la structure d’un ADN est similaire à la structure d’un inducteur dans un récepteur et peut produire des ondes. Ainsi, un ADN pourrait émettre des ondes et interagir avec des ondes externes. Cependant, la plupart des ondes ont une longueur supérieure à la taille des cellules et les passent sans aucun effet. Seules des ondes limitées avec des longueurs inférieures au millimètre pourraient pénétrer dans la membrane cellulaire et interagir avec les inducteurs d’ADN. Ces longueurs d’onde ont pu être observées en technologie 5 G. Ainsi, les tours de cette technologie pourraient échanger des ondes avec des ADN dans les cellules et produire divers types de maladies telles que le COVID-19. Dans cette étude, nous proposons un mécanisme d’échange d’ondes entre les tours et les cellules hôtes pour obtenir des longueurs d’onde efficaces. Dans notre méthode, les cellules de la peau agissent comme une antenne dermatologique, captent des ondes dans la technologie 5G et les transfèrent aux cellules hôtes. Ensuite, les ADN des cellules hôtes interagissent avec ces ondes et se déplacent. Par les mouvements d’un ADN, des trous hexagonaux et pentagonaux émergent. Pour combler ces trous, certaines bases sont construites dans des cellules. Ces trous se rejoignent et forment des ARN de COVID-19.
Nos résultats montrent qu’en diminuant la longueur d’onde, les ondes émises par les tours en 5G et les technologies supérieures pourraient avoir plus d’effet sur les évolutions d’ADN dans les cellules. En effet, les membranes cellulaires dermatologiques agissent comme une antenne pour ces ondes. Ils sont construits à partir de particules chargées, telles que des électrons et des atomes, et pourraient émettre ou recevoir des ondes. En revanche, une antenne ne peut capter que des ondes dont la longueur n’est pas supérieure à sa taille. Ainsi, une membrane cellulaire pourrait prendre des ondes millimétriques dans la technologie 5G. Ces ondes pourraient passer la membrane et interagir avec les matières biologiques au sein d’une cellule. Si les longueurs d’onde des ondes 5G sont égales ou inférieures à la taille d’un noyau, elles peuvent passer la membrane nucléaire et interagir avec les ADN. Ces ADN sont construits à partir de bases hexagonales et pentagonales et, par leurs mouvements, certains trous émergent. Ces trous sont remplis par des bases supplémentaires hexagonales et pentagonales qui sont construites par des cellules. Ces bases pourraient se rejoindre et former des virus comme le Coronavirus. Il est conclu que dans la prochaine génération de technologie mobile, les ondes émises par les tours auront plus d’effets sur les cellules biologiques. Dans cette recherche, nous avons montré que la technologie mobile de nouvelle génération, comme la 5G, pourrait jouer le rôle principal dans la construction de divers types de virus, tels que les coronavirus, au sein d’une cellule. Certaines longueurs d’onde de ces technologies sont plus petites que la taille des cellules biologiques et pourraient passer la membrane cellulaire et pénétrer dans le noyau. Ces ondes pourraient être captées par une antenne dermatologique, transférées vers les cellules hôtes, interagir avec les ADN et les déplacer. Un ADN est formé de particules chargées et, par ses mouvements, des ondes électromagnétiques émergent. Ces ondes produisent des trous hexagonaux et pentagonaux dans les liquides à l’intérieur du noyau et de la cellule. Pour combler ces trous, des bases sont produites. Ces bases se rejoignent et peuvent construire des virus comme les Coronavirus.
NOTA BENE : Nous vous invitons à compléter votre lecture en consultant l’étude intitulée “Estudio sobre la asimétrica distribución de casos de COVID-19 y su relación con la tecnología 5G” (Étude sur la distribution asymétrique des cas de COVID-19 et sa relation avec la technologie 5G), du biologiste espagnol Bartomeu Payeras i Cifre.
Chronique d’une mort annoncée, par Massimo Fioranelli
Le texte du Dr Fioranelli « Chronique d’une mort annoncée », que nous partageons ci-dessous, représente l’analyse lucide, qui sert à nous ouvrir les yeux sur pourquoi, comment et à cause de qui, nous sommes arrivés au drame actuel de la santé publique. Aussi impitoyable soit-elle, c’est comme le dit un proverbe abruzzes : « Lu miedeche piatose fa la piaga verminose » (Le pitoyable médecin infecte la plaie).
Je crois que les mots ne sont plus nécessaires, un jour où nous aurions dû être heureux, avec nos plus chères affections, avec nos souvenirs dans nos cœurs, nous nous retrouvons seuls et désespérés. Le goût de la défaite nous assaille. Ma génération d’hommes, de médecins, a échoué. Nous offrons à nos enfants un monde pire que celui dont nous avons hérité.
Nous n’avons pas pu opposer une fausse conception de la science, une dérive scientifique contraire à la nature de l’homme et à l’environnement dans lequel il vit. Une histoire qui a commencé avec l’absurde loi sur les vaccins; une véritable arme thérapeutique aussi efficace que néfaste lorsqu’elle n’est pas utilisée avec discrétion, sens critique, modération, discernement. Soutenu par un système d’information partisan, médiéval, subjugué, dépendant, violent, terrifié par la moindre dissidence.
Nous n’avons pas pu nous opposer à cette vision de la médecine, pas avec la force avec laquelle nous aurions dû. Les visions des Burioni, Lo Palco, Villani, Ricciardi, Lorenzin, Grillo, Speranza ont gagné, représentants d’un paradigme qui a soumis notre population à la plus grande expérience biologique jamais testée sur des êtres humains sans méfiance, qui ont involontairement fait confiance à l’image d’un système de santé protecteur, dont le seul défaut était de ne pas avoir su discerner entre les agents de santé qui sont à leurs côtés au quotidien et un système politico-bureaucratique au service de grands intérêts économiques. Nous n’avons pas pu nous opposer à l’exaspération du concept de chimie comme seule forme de thérapie pour l’être humain. Méthodiquement chaque jour, ils attaquaient et se moquaient de tout ce que la thérapie complémentaire représentait, des techniques de guérison millénaires inoffensives et durables. Ils appréciaient quand les médecins qui étaient en désaccord avec leurs visions limitées, les intelligences mortifiées, les carrières détruites étaient interdits. Nous avons eu peur de perdre nos conforts, les conforts acquis, notre flux de travail quotidien, les intérêts; nous étions complices. Nous n’avons pas été en mesure de défier une classe politique qui a remporté des concours aux primaires sans qualification sur la base d’un favoritisme effréné et qui occupe aujourd’hui les pupilles des cliniques privées en dérogation à une loi sur les « extramoenia » qu’ils n’ont jamais eu le courage d’achever. Ils mortifiaient les intelligences, détruisaient l’avenir de jeunes brillants, ne tenaient compte d’aucun critère méritocratique; ils ont pensé organiser des parents, des amis, des compagnons de fête, selon des critères de favoritisme qui éclairaient les choix administratifs de ce pays.
Nous n’avons pas pu nous opposer à la destruction de l’environnement au nom du profit. Nous avons permis de remplir notre pays d’amplificateurs micro-ondes sans aucune étude préalable de sécurité biologique. Ils continuent à planter des antennes et à couper des arbres en secret, la nuit, même pendant cette catastrophe sociale. Une énorme charge de souffrance que nous avons induite délibérément ou involontairement tombera sur eux mais aussi sur notre conscience. Nous avons enlevé la liberté, les valeurs essentielles de notre civilisation, nous leur avons permis de compromettre l’avenir de nos enfants et petits-enfants au nom d’un positivisme inhumain, d’autre part leur suprématie culturelle méprisante, insultante et hypothétique. Vous avez mis toute une société dans une cage et maintenant vous ne savez pas comment la sortir, car toute votre science inconsistante n’a pas été en mesure de trouver un remède à ce drame que vous avez causé.
La représentation de tout cela est l’image d’un ministre de la Santé pâle, balbutiant, sans défense, imprudent, politiquement, humainement mal préparé, maîtrisé par ses directeurs généraux, qui aspire à un hypothétique vaccin avant de mettre fin à cette absurde tragédie; la plus grande illusion du système de santé moderne. Un comité technique scientifique composé principalement de bureaucrates et soutenu par toutes les personnalités qui ont contribué à cette catastrophe sociale et sanitaire.
À vous et à nous la responsabilité de tout cela; mais la souffrance que vous avez induite ne disparaîtra pas dans l’oubli anonyme typique de ce pays. Ici, vous jouez avec ce que nous avons de plus précieux: la vie, la santé, l’avenir de nos enfants, notre liberté. Je ne parle pas de politique, maintenant succube et aplatie, mais de mon monde : faites un saut dans la dignité, gardez le silence, libérez cette population, mettez-vous de côté au nom d’un bien supérieur, d’une société démocratique que nos pères ont livré après de longues souffrances. Que les meilleurs esprits de ce grand pays prennent les rênes avant que le désastre ne soit complet. L’histoire vous jugera, nous jugera, sans indulgence.
Dr Massimo Fioranelli (12 avril 2020)
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« Merci infiniment pour l’énorme travail de réinformation que vous faites. 🙏 La lutte est vraiment épouvantable, avec tous ces parlementaires achetés par ces tarés!! »