Voici la préface que j’ai écrite pour le livre de Jarl Ale de Basseville intitulé « My Duty », version anglaise du livre « Mon Devoir » qui fut publié aux Éditions Dédicaces au mois de février dernier. Cette version anglaise a aussi été récemment publiée dans ma maison d’édition.
Plusieurs personnes croient que la chevalerie n’est qu’une chimère du passé, un doux souvenir pour les rêveurs nostalgiques, mais il n’en est rien. La chevalerie de coeur et d’esprit existe toujours aujourd’hui. Elle est un héritage légué par nos ancêtres qui ont su bâtir le monde dans lequel nous évoluons, mais que nous nous ingénions souvent à détruire pour le simple appât du gain et du pouvoir, ou par pur égoïsme individualiste.
Jarl Alé de Basseville fait partie de ces chevaliers des temps modernes, de ceux dont la conscience s’élève au niveau du peuple pour en extirper les vérités qui transformeront le monde actuel. Il est celui qui dénonce et qui n’a pas froid aux yeux : « Cette Europe s’engouffre dans les égouts de la négligence et du conflit d’état en se cachant derrière les institutions créées par les manigances électorales ». Fier descendant du roi d’Angleterre Guillaume le Conquérant, du duc de Normandie Robert Courteheuse et du légendaire Guilhelm de Gellone, Alé de Basseville perpétue la tradition du grand pourfendeur de dragon, non seulement en dénonçant les méfaits de nos gouvernements, mais en proposant des solutions aux problèmes qui nous envahissent.
Né le 8 juillet 1970 au sein d’une famille aristocratique liée à l’industrie pétrolière, il est façonné à la dure dans les internats catholiques de France et d’Helvétie. Le prince de cette Normandie en Exil s’adresse dans son discours aux tribus vikings, celtiques et gothiques qui cherchent une explication plus approfondie sur leurs traditions, leurs identités et leurs cultures. Ce gouvernement en exil revendique à sa façon le fait d’être le gouvernement légitime, le but étant de reconquérir le pouvoir dans le pays dont il se réclame, pour le rendre au peuple.
Jarl Alé de Basseville est aussi un artiste et un photographe accompli. Durant sa carrière, il aura côtoyé les artistes les plus réputés tels que Andy Warhol, Lucchi Renato Chiesa, Jane Fonda, Tom Cruise, Val Kilmer, Brad Pitt, Michael jackson et Marilyn Manson. Le 31 juillet 2016, il créa un véritable séisme politico-people international en acceptant de publier les photos qu’il avait prises de Melania Trump nue dans le New York Post, l’un des plus puissants journaux conservateurs américains.
Tel les chevaliers de la Table Ronde, Jarl Alé de Basseville poursuit sa route sur cette terre étrangère en quête de ce Graal qui redonnera espoir au monde. Terre-à-terre dans ses propos, il continue à vociférer ceux et celles qui nous dirigent dans le seul but de rétablir l’équilibre dans toutes choses : « Le chef doit être le ciment de la confiance de ses concitoyens et accepter ce devoir qui est le sien : amener la nation au rang qu’elle mérite ».
Guy de BOUILLANNE
Régent du Royaume de Nova Francia
Directeur général du Projet Liberté-Nation
Le livre est disponible dans toutes le bonnes boutiques en ligne.
VEUILLEZ NOTER : Les commentaires des lecteurs et lectrices peuvent être approuvés ou non, à ma seule discrétion et sans préavis. Merci de votre compréhension. — Guy Boulianne
En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs AuthorsDen et de la Nonfiction Authors Association (NFAA) aux États-Unis. Il adhère à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).





Bonjour Prince de Bouillane:))
je me nomme Nathalie Boulay, je suis de montréal. je fait appel à vous pour me démèler un peu!(enfin..seulement si vous le voulez bien) alors voila, j’ai 2 ancêtres de la noblesse de très longue date et je me demande pourquoi ils datent du moyen âge au lieux d’être plus près comme au xvi ou xvii siècles !! alors le premier est Charlemagne et le deuxième est: Louis vi roi de france et de navarre, en plus de plusieurs comtes dans la vieille france et en normandie!! suis-je de la monarchie ?
Bien à vous
Nathalie Boulay xox
Dans un article publié en 2015 dans les Annales HSS sous le titre « La France profonde. Relations de parenté et alliances matrimoniales (XVIe-XVIIIe siècle) », Gérard Delille proposait de considérer les figures « structurantes » de la parenté qu’il observait à partir de données massives et denses recueillies sur les alliances conclues au fil de plusieurs générations de provinciaux sous l’Ancien Régime comme des « contextes durables ». Ce faisant, il répondait à la critique classique adressée à l’anthropologie structurale de la parenté que celle-ci ne prenait pas suffisamment en compte les dynamiques diachroniques en privilégiant l’observation des structures pérennes et des faits immuables. Cet article reprend cette notion de « contexte durable » pour éclairer les permanences dans la condition des bâtards de la noblesse entre le XVIe et le XVIIe siècle. Si les bâtards continuent d’être si importants dans les lignages nobles du début de l’époque moderne, n’est-ce pas imputable à l’inflexion patrilinéaire de la transmission de la noblesse ainsi qu’à l’exaltation du sang qui semble caractériser la noblesse sur la longue durée ? Au regard des recherches récentes sur l’histoire de la filiation et sur l’histoire du sang, cette hypothèse est ici discutée par une historicisation des liens de filiation et de l’imaginaire du sang en tant que supposé « substrat » biologique de la filiation depuis la fin du Moyen Âge jusqu’à la fin du XVIIe siècle. À un autre niveau d’analyse, la substitution du terme « contexte durable » au terme « structure » ouvre sur d’autres questionnements : questionnement historiographique sur le « jeu d’échelles » des temporalités où prennent place les faits historiques, questionnement sur les attendus, les questionnaires et les horizons de l’anthropologie historique de la parenté.
SOURCE : Sang des bâtards, sang de la noblesse : à propos des « contextes durables » en anthropologie historique de la parenté, par Sylvie Steinberg.