Je croyais que cela était peine perdue… Le 6 mai 2020 j’ai commandé chez ThriftBooks le livre de l’auteure Fleur Cowles intitulé “If I Were an Animal”, dans sa version originale de 1987 (cet ouvrage de collection est désormais pratiquement introuvable). Plus d’un mois plus tard, je n’avais toujours pas reçu mon livre. Celui-ci était bloqué chez FedEx, la compagnie d’expédition située à Mirabel. La boutique ThriftBooks eut alors la gentillesse de me rembourser. J’en profitai donc pour commander un autre exemplaire qui était alors disponible. Même problème ! Plus de six semaines plus tard, je n’avais toujours pas reçu mon exemplaire. Je le croyais donc perdu à tout jamais. Nous étions maintenant le 3 août et quelle ne fut ma surprise de découvrir dans ma boîte aux lettre le livre tant convoité.
Mais pourquoi donc tenais-je tant à ce livre ? Eh bien tout simplement parce que — lorsque cela est possible — j’aime bien avoir entre les mains les documents source dont je fais part dans mes différents écrits. Vous comprendrez qu’en tant que chercheur, les sources sont importantes car elles me protègent de toute médisance éventuelle. J’avais parlé du livre de Fleur Cowles dans mon dernier ouvrage “La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués” [1], plus précisément d’une citation de Philip Mountbatten, duc d’Édimbourg, qui est plus importante que jamais dans le cadre de mes travaux et de la crise actuelle du coronavirus, c’est-à-dire du virus royal. J’écrivais alors :
« La terrible idée de réduire la population de la Terre a été proclamée par le mari de la Reine Elisabeth II, le Prince Philip d’Édimbourg. En 2009, il disait au sujet de la démographie : « La population mondiale il y a 60 ans s’élevait à un peu plus de 2 milliards et elle dépasse maintenant les 6 milliards. Cette augmentation considérable – une véritable explosion – a probablement causé plus de tort à l’environnement qu’autre chose ». [2] Dans une préface écrite pour le livre de Fleur Cowles, “If I Were an Animal” (1987), il déclare : « Je dois avouer que je suis tenté de demander à être réincarné en tant que virus particulièrement meurtrier ». [3] Selon le journal The Guardian, il aurait précisé plus tard (1988) : « Au cas où je me réincarnerais, je voudrais revenir en tant que virus mortel, pour contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. » [4]
« Le 29 avril 1961, sous prétexte de protéger l’environnement, le Prince Philip fonda le Fonds mondial pour la nature (WWF) afin de réduire la population mondiale, de concert avec Julian Huxley (frère de Aldous Huxley, partisan de l’eugénisme et premier directeur de l’UNESCO), Godfrey A. Rockefeller (petit-neveu de John D. Rockefeller, fondateur de la Standard Oil) et le prince Bernhard des Pays-Bas, ancien NAZI SA et cofondateur du très controversé groupe Bilderberg. »
Comme il est écrit dans le magazine ENSTARS : « Bien que les citations semblent être une blague pour certaines personnes, il semble que le souhait du duc d’Édimbourg soit assez sérieux ». [5] En effet, le Prince Philip renchérit encore une fois lorsqu’il écrit dans son livre “Down to Earth” (1988) : « Je ne prétends pas avoir un intérêt particulier pour l’histoire naturelle, mais en tant que garçon, j’ai été mis au courant des fluctuations annuelles du nombre de gibier et de la nécessité d’ajuster l’« abattage » à la taille de la population excédentaire. » Il ne s’agissait donc pas d’une gaffe comme l’écrivait la source indépendante la plus populaire pour les nouvelles royales, Royal Central. Le duc d’Édimbourg croit fermement à ce qu’il dit.
Il le prouvait encore le 21 décembre 1981, alors qu’il répondait à une entrevue pour le magazine People :
« La croissance de la population humaine est probablement la menace la plus grave à long terme pour la survie. Nous nous attendons à une catastrophe majeure si elle n’est pas freinée – pas seulement pour le monde naturel, mais pour le monde humain. Plus il y a de gens, plus ils consommeront de ressources, plus ils créeront de pollution, plus ils se battront. Nous n’avons aucune option. S’il n’est pas contrôlé volontairement, il sera contrôlé involontairement par une augmentation de la maladie, de la famine et de la guerre. » [6]
Il est pour le moins étrange de constater que le monogramme royal du prince Philip est une représentation stylisée du Sceau de Lucifer extrait du Grimorium Verum (du latin “Grimoire vrai”), ou manuel d’instructions magiques. Ce grimoire a été publié pour la première fois en 1517 et aurait été traduit de l’hébreu. Basé dans une certaine mesure sur la “clé du roi Salomon”, il a pour objet d’invoquer des démons. Une partie de son récit concernant la hiérarchie des esprits est tirée du Lemegeton, ou petite clé de Salomon. [7] Le travail est divisé en trois parties. Le premier décrit les personnages et les sceaux des démons, avec les formes de leur évocation et de leur renvoi; le second donne une description des secrets surnaturels qui peuvent être appris par le pouvoir des démons; et le troisième est la clé du travail et sa bonne application.
Avec une telle pensée morbide et inhumaine l’habitant sans cesse, on peut se demander à juste titre à quel dieu le duc d’Édimbourg voue-t-il un culte exactement ? Baal, Asmodée, Moloch… ?
L’eugénisme : une histoire familiale
Cette philosophie eugéniste et raciale se perpétue de génération en génération au sein de la famille royale. En effet, le petit-fils de la reine Élisabeth II et du duc d’Édimbourg, le prince William, a été accusé de racisme après avoir imputé le déclin de la faune à la population croissante de l’Afrique.
Le duc de Cambridge s’exprimait lors d’un gala pour une organisation caritative de conservation en 2017 à Londres. Il est le patron royal du Tusk Trust. Comme son nom l’indique, l’organisme de bienfaisance a commencé par s’opposer au meurtre d’animaux pour leurs défenses. Cependant, il a maintenant un mandat de conservation plus large et une longue liste de « grands et bons » mécènes. La faune et la conservation sont certainement importantes, ne serait-ce que parce que de nombreux pays africains dépendent de leur faune pour le tourisme.
Le prince a proposé « une stratégie qui permettra aux humains et aux espèces animales de partager l’environnement ». Il a déclaré : « Au cours de ma vie, nous avons vu les populations mondiales de faune diminuer de plus de moitié. Nous allons devoir travailler beaucoup plus dur, et réfléchir beaucoup plus profondément, si nous voulons nous assurer que les êtres humains et les autres espèces animales avec lesquelles nous partageons cette planète puissent continuer à coexister. »
Le Fonds mondial pour la nature est venu avec le chiffre de baisse de 50% en 2014. L’organisation a dit que cela s’était produit en 40 ans. Le Prince a 38 ans. Ils ont blâmé « le changement climatique » et « les effets combinés de la perte et de la dégradation de l’habitat, induits par une consommation humaine non durable ». Mais même le WWF n’a pas spécifiquement attiré l’attention des Africains sur le déclin, comme l’a fait le prince William :
« La population humaine en croissance rapide en Afrique devrait plus que doubler d’ici 2050 – une augmentation stupéfiante de trois millions et demi de personnes par mois » (…) « Il ne fait aucun doute que cette augmentation met la faune et l’habitat sous une énorme pression. L’urbanisation, le développement des infrastructures, la culture – toutes de bonnes choses en soi, mais elles auront un impact terrible si nous ne commençons pas à planifier et à prendre des mesures maintenant. »
Le prince n’a pas suggéré quel type de « planification » était nécessaire, mais il s’agit clairement de réduire au moins le taux d’accroissement des Africains. Sa solution serait-elle aussi clairvoyante que celle de son grand-père ? En 2011, le prince Philip a déclaré qu’il croyait toujours qu’une population humaine croissante était le plus grand défi pour la conservation. Il a gentiment exclu la stérilisation de masse. La « limitation familiale volontaire », quoi que cela signifie, était le seul moyen de s’attaquer à ce qu’il considérait comme cet énorme problème. [8]
La vérité est que la surpopulation, bien-aimée des Malthusiens, royaux et roturiers, est un mythe athée. Le scientifique environnemental Erle Ellis le démystifie dans cet article du New Times. Et voici un site internet dédié au sujet. Les pays les plus peuplés sont les plus riches et à mesure que les populations deviennent plus riches, la taille de leur famille diminue. Nous avons réellement besoin d’une augmentation de la population pour la croissance économique et pour soutenir les personnes âgées. Le vrai problème de population est que les Européens ne remplacent même pas leurs effectifs. Cela conduit au vieillissement de la population et à une crise des retraites.
Le monde n’est pas surpeuplé et certainement pas surpeuplé d’Africains. La densité moyenne de la population africaine est de 39,1 habitants au kilomètre carré (Réf. Wikipédia). Le chiffre correspondant pour l’Europe est 73 (Réf. Wikipédia). Pendant ce temps, la densité de population (habitants par km2) en Chine est de 148, selon la Banque mondiale (Réf. TradingEconomics). En mettant tout cela en perspective, le chiffre équivalent pour le Royaume-Uni est de 272.
Le Tusk Trust a peut-être écrit la majeure partie du discours du prince William. Il existe de nombreuses similitudes avec les positions sur leur site internet. Mais l’organisme de bienfaisance ne blâme pas tout à fait les Africains et leur fécondité naturelle pour la diminution des populations d’animaux sauvages. Cela semble avoir été l’idée même du prince. Comme l’écrit Stephen Green dans Christian Voice : « Le duc de Cambridge ferait bien de s’excuser de son racisme, de rechercher l’humilité et d’apprendre la vérité sur les populations humaines. » [9]
Plus près de nous, l’annonce d’une Grande Réinitialisation (Great Reset) a été faite par SAR le Prince de Galles et le professeur Klaus Schwab lors d’une réunion virtuelle, suivie des déclarations du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, et de la Directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva. Lors de son discours liminaire prononcé au Forum économique mondial de Davos (FEM), le 22 janvier 2020, le Prince de Galles dit : « Changer notre trajectoire actuelle exigera une action audacieuse et imaginative, associée à de la détermination et un leadership décisif. Après près de cinquante ans à essayer de défendre cette cause, je ne peux m’empêcher de penser que, enfin, nous sommes prêts à changer de trajectoire. »
« Maintenant, il est temps de passer au niveau supérieur », affirme le Prince de Galles. « Afin d’assurer notre avenir et de prospérer, nous devons faire évoluer notre modèle économique. Par conséquent, pour aller de l’avant, nous n’avons besoin que d’un changement de paradigme, qui inspire une action à des niveaux et à un rythme révolutionnaires. » Pour être mis en route, ce plan nécessitait donc une action extrême. Le complot international du COVID-19 fut donc enclenché afin de réduire une partie de la population mondiale et d’implanter à chaque individu un système de suivi nanotechnologique sous-cutané, permettant ainsi aux globalistes d’épier les gens dans leurs moindres gestes et de les rationner selon les besoins du moment, dans une nouvelle forme de gouvernance communiste totalitaire.
Fleur Cowles : « If I Were an Animal » — Avant-propos du prince Philip Mountbatten, duc d’Édimbourg
Comme son nom l’indique, le World Wildlife Fund vise à collecter des fonds pour la conservation de la nature et à cette fin Fleur Cowles – une partisane de longue date et dévouée du fonds – a offert une partie des redevances de la vente de ce livre au WWF.
Il est assez facile de ressentir une affinité avec une espèce animale particulière, mais je me demande simplement ce que ce serait d’être réincarné dans un animal dont l’espèce avait été tellement réduite en nombre qu’elle était en danger d’extinction. Quels seraient ses sentiments envers l’espèce humaine dont l’explosion démographique lui avait refusé un endroit pour exister et par pure indifférence avait détruit toute chance de trouver un compagnon et de fonder une famille? Il n’y en a pas que quelques-unes, il y en a beaucoup et la liste s’allonge de jour en jour. Quand je regarde l’étagère avec tous les volumes des « Red Data Books » listant les espèces menacées, je dois avouer que je suis tenté de demander la réincarnation en tant que virus particulièrement mortel, mais cela va peut-être trop loin. Je préférerais de beaucoup voir l’espèce humaine restreindre volontairement son nombre par considération pour le reste du monde vivant avec lequel elle a encore une chance de partager cette planète.
H.R.H. le duc d’Édimbourg, K.G., K.T.
RÉFÉRENCES :
- Guy Boulianne : « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués ». Editions Dédicaces, 2019, pp. 405-406.
- The Alliance of Religions and Conservation : “Interview with Prince Philip”. News and Resources, 2009 (http://bit.ly/2vpsn4n).
- Wikiquote : Prince Philip, Duke of Edinburgh.
- John Hind : “Did I say that? Prince Philip, the Queen’s consort, 88”. The Guardian, 21 juin 2009.
- Staff Reporter : Prince Philip Once Wished To Be Reincarnated As A Pandemic. Enstars, June 08, 2020.
- Fred Hauptfuhrer : Vanishing Breeds Worry Prince Philip, but Not as Much as Overpopulation. People, December 21, 1981.
- Consulter: Les véritables clavicules de Salomon, trésor des sciences occultes, suivies d’un grand nombre de secrets, et notamment de la grande Cabale dite du papillon vert. Approuvé par Agaliarept, à Memphis, chez ALIBECK, l’Egyptien. Page 19.
- BBC One : Prince Philip at 90 on a lifetime of speaking his mind. BBC News, 9 June 2011.
- Stephen Green : Prince William blames Africans for wildlife decline. Christian Voice, 6 Nov 2017.
« Un grand merci pour tous vos travaux et éclaircissements que vous nous apportez. »