Les gouvernements et les médias préparent le mental des gens à une « Apocalypse Internet » dans la perspective de la Grande Réinitialisation


L’Internet pourrait-il, un jour, tomber en panne pour quelques jours voire quelques mois ? Un tel évènement n’est pas impossible, si la Terre est soumise à une tempête solaire particulièrement forte. Pas de connexion pendant 5 minutes et vous voilà perdus ? Alors, imaginez ce que serait votre vie si le réseau internet mondial était coupé pendant plusieurs semaines ! Sur notre Terre, il souffle en permanence un vent solaire constitué de particules chargées. La plupart du temps, celles-ci sont heureusement bloquées par le champ magnétique qui entoure notre planète. Mais parfois, le vent solaire devient tempête et il parvient à se glisser jusqu’à notre atmosphère en passant par les pôles, menaçant nos systèmes de navigation, nos réseaux électriques et même nos réseaux de communication. Des chercheurs de l’université de Californie à Irvine (États-Unis) avancent que les conséquences d’une telle tempête solaire pourraient être pires qu’attendu. Une météo spatiale défavorable — une éjection de masse coronale suffisamment importante — pourrait provoquer un black-out du réseau internet. Une panne qui pourrait durer plusieurs semaines. Voire plusieurs mois.

À ce sujet, les médias « mainstrean » diffusent depuis quelques semaines une campagne de peur parmi la population. Le magazine Wired a titré son article comme suit : « Une mauvaise tempête solaire pourrait provoquer une “apocalypse Internet” », tandis que Forbes titrait sont article ainsi : « Pourquoi l’Amérique devrait soudainement se préparer à une “apocalypse Internet” d’un milliard de dollars causée par le soleil ». Pour sa part – toujours alarmiste – le journaliste Normand Lester annonce dans le Journal de Québec que la tempête solaire pourrait être imminente, alors que RTBF va encore plus loin en prédisant que la super tempête solaire pourrait anéantir internet en 2023, c’est-à-dire dans moins de deux ans. La même sonnette d’alarme est tirée par des médias variés à travers le monde comme MétéoMédia, MSN, 01net, 7sur7.be, 20 minutes, Futura-Sciences, Yahoo! Actualités, AllAfrica et CNEWS.

En 2012, Pete Riley, scientifique principal au Predictive Science à San Diego, affirma dans une étude publiée dans le Space Weather que « la Terre a environ 12% de chances de connaître une énorme éruption du soleil au cours de la prochaine décennie. » C’est ce que réaffirme Sangeetha Abdu Jyothi, professeur adjoint d’informatique à la Donald Bren School of Information and Computer Sciences de l’UCI, dans une étude publiée le 9 août dernier dans le ACM Digital Library : « Les astrophysiciens estiment de 1,6 à 12% la probabilité qu’une tempête solaire d’une force suffisante provoque une perturbation catastrophique au cours de la prochaine décennie. » Mais alors, pourquoi donc vouloir semer la panique parmi la population comme si la menace était assurément imminente, comme le sous-entend lui-même le conspirationniste Normand Lester ? L’objectif réel ne serait-il pas de servir le plan préétabli de Klaus Schwab ?

En effet, tel qu’annoncé dans mon article du 22 juillet dernier, Cyber ​​Polygon 2021 s’est terminé par des discussions ouvrant la voie à une plus grande centralisation du pouvoir et de la surveillance qui fait avancer le grand programme de réinitialisation de l’économie mondiale et de toutes les structures sociétales. L’exercice annuel de formation à la cybersécurité Cyber ​​Polygon du Forum économique mondial (FEM) s’est achevé le 9 juillet avec l’émergence de plusieurs tendances clés susceptibles de façonner l’élaboration des politiques mondiales pour les années à venir. Ces tendances incluent :

  • Une volonté d’immuniser Internet avec des anticorps numériques pour « protéger » la société des cyberattaques et de la désinformation en exploitant des attaques de ransomware et une crise de santé publique pour justifier la centralisation du pouvoir et du contrôle ;
  • Une diabolisation des crypto-monnaies en faveur des monnaies numériques de la banque centrale où toutes les transactions sont enregistrées sur un grand livre centralisé et ont la possibilité d’accorder des autorisations sur les achats, ce qui consolide davantage le pouvoir ;
  • Une fusion plus étroite de l’entreprise et de l’État comme solution à une crise donnée, qu’il s’agisse de la cybersécurité, du changement climatique ou de COVID-19, sans jamais être soumise au vote de la volonté du peuple.

Les discussions issues de Cyber ​​Polygon 2021 se sont terminées par le désir d’immuniser Internet, de diaboliser les crypto-monnaies et de soutenir des systèmes de gouvernance centralisés grâce à une fusion plus étroite des entreprises et des États (partenariats public-privé). Cette propagande mondiale autour d’une possible tempête solaire « imminente » ne servirait-elle donc pas les visées hégémonistes des conspirateurs globalistes, ces êtres immondes se situant en dehors de toute humanité ? Ceux-ci pourraient profiter de ce chaos planifié afin de créer un « black-out » artificiel à travers des attaques de ransomware et autres cybermenaces. Cette vidéo du FEM, désormais « non répertoriée » sur YouTube, affirme que la COVID-19 était connue comme « un risque anticipé », tout comme son équivalent numérique – une cyber pandémie. Alors, est-ce si hasardeux d’émettre une telle hypothèse ?!

Déjà, les politiciens du Québec souhaitent instaurer « une semaine » sans médias sociaux et proposent de se mêler de la composition d’algorithmes qui font en sorte d’élever les publications Facebook à forte charge émotive au rang de publications les plus populaires. En effet, le chef péquiste Paul St-Pierre Plamondon y est allé de cette proposition, au lendemain d’une consultation sur la santé des jeunes et l’utilisation des écrans. Il propose que tous les Québécois, adultes comme enfants, prennent une pause des réseaux sociaux pendant la même semaine chaque année pour soi-disant « briser la solitude et la haine ». Or, nous savons par expérience que « une semaine » pour le gouvernement pourra s’éterniser “ad vitam eternam”. Et comment convaincre l’ensemble de la population de se priver des réseaux sociaux si ce n’est que de prendre le contrôle sur ceux-ci et sur l’Internet ?!

En fait, cette proposition de Plamondon devance le gouvernement minoritaire de Justin Trudeau qui a fait adopter le projet de loi C-10 visant à modifier la Loi sur la radiodiffusion et à placer entre les mains de quelques bureaucrates non élus le pouvoir de décider ce qui est « acceptable » pour les Canadiens ordinaires d’afficher et de voir sur Internet, y compris ce que les médias indépendants mettent en ligne. Le projet de loi donne à ces mêmes bureaucrates le pouvoir de prélever de lourdes amendes.

Nous sommes donc en droit de penser que quelque chose de louche se trame dans les soubassements du pouvoir afin de faire s’écrouler tous les fondements de la société tels que nous les connaissons depuis toujours et d’instaurer une prise de contrôle sur tous les humains qui la composent.


« Les cyberattaques seront probablement programmées pour coïncider avec ce chaos planifié et cette vague de mort de guerre biologique, et il semble presque certain que la Chine choisira ce moment de vulnérabilité pour attaquer la situation financière de l’Amérique, c’est-à-dire le statut de monnaie de réserve mondiale du pétrodollar. » – Mike Adams, 23 septembre 2021

Les médias « mainstream » organisent la panique

Dans les faits, les médias grand public ne font qu’amplifier à mauvais escient les préoccupations soulevées par la scientifique Sangeetha Abdu Jyothi. Celle-ci a présenté sa recherche, « Solar Superstorms: Planning for an Internet Apocalypse » (Super tempêtes solaires : Planification d’une apocalypse Internet), à SIGCOMM 2021, la conférence annuelle du groupe d’intérêt spécial de l’ACM sur la communication de données. « Je m’attendais à un certain intérêt en raison de la pertinence du sujet, mais j’ai été surprise par l’ampleur de l’attention que ce travail a reçue », explique Abdu Jyothi. « Des entreprises technologiques au grand public, plusieurs personnes m’ont contacté. »

Sangeetha Abdu Jyothi
Pr Sangeetha Abdu Jyothi

Tel qu’indiqué dans les articles de presse, « l’un des plus grands dangers auxquels est confronté Internet avec un potentiel d’impact mondial est une puissante tempête solaire ». De telles tempêtes, connues sous le nom d’éjections de masse coronale (CME), se produisent lorsqu’une grande masse de particules hautement magnétisées est éjectée du soleil. Un CME peut produire des courants induits géomagnétiquement (GIC) à la surface de la Terre par induction électromagnétique. « Dans les cas extrêmes », explique Abdu Jyothi dans le journal, « le GIC a le potentiel de pénétrer et d’endommager les câbles longue distance qui constituent l’épine dorsale d’Internet. » Elle souligne que l’impact économique d’une interruption d’Internet pendant une journée aux États-Unis est estimé à plus de 7 milliards de dollars, demandant : « Et si le réseau restait non fonctionnel pendant des jours, voire des mois ? »

Après avoir analysé la menace posée par les super tempêtes solaires et l’impact potentiel sur l’infrastructure Internet, Abdu Jyothi quantifie cet impact à l’aide d’ensembles de données du monde réel et de divers modèles de défaillance. Elle suggère ensuite des moyens de « gérer les périls » de tels événements, mais ses recherches se poursuivent.

« Ce document fait le premier pas vers la compréhension des risques encourus par Internet ; cependant, il y a beaucoup d’inconnues », explique Abdu Jyothi. « J’envisage plusieurs prochaines étapes, notamment le développement de meilleurs modèles pour les pannes d’équipement réseau, la compréhension du comportement de bout en bout des applications Internet lors du partitionnement de réseau à grande échelle et des solutions pour reconnecter un Internet partitionné. »

Abdu Jyothi conclut son article en insistant sur la probabilité estimée de 1,6% à 12% qu’une tempête solaire se produise au cours de la prochaine décennie, ce qui pourrait provoquer des perturbations catastrophiques. « Prêter attention à cette menace et planifier des défenses contre elle… est essentiel pour la résilience à long terme d’Internet. »

Éruptions solaires vs éjections de masse coronale

Bien sûr, la Terre n’ont des défenses contre les éruptions solaires, des rafales intenses de rayonnement qui menacent notre planète seulement quand ils se produisent du côté du Soleil qui lui fait face.

Lorsque des éruptions solaires se produisent, la magnétosphère terrestre accélère les particules chargées le long de ses lignes de champ jusqu’aux pôles. Le résultat, bien sûr, est une rémanence connue sous le nom d’aurore – les aurores boréales et australes.

Les éjections de masse coronale (CME) sont différentes. D’énormes éruptions plus rares sur le Soleil causées par des orages magnétiques, elles créent d’énormes nuages ​​de plasma qui pourraient endommager les réseaux électriques s’ils dérivent vers nous.

Réseaux électriques vs Internet

Cependant, les réseaux électriques sont conçus pour atténuer l’effet des CME. Internet ne l’est pas. « La communauté des réseaux a largement ignoré ce risque lors de la conception de la topologie du réseau et des systèmes géo-distribués tels que le DNS et les centres de données », lit-on dans le document, qui prédit des pannes Internet à grande échelle couvrant l’ensemble du globe et durant plusieurs mois.

Le problème des câbles sous-marins

Le problème, disent les auteurs, ce sont les câbles sous-marins qui sont l’épine dorsale invisible d’Internet. Alors que les câbles à fibres optiques sous les pays et les villes ne souffriraient pas, en grande partie parce qu’ils sont plus courts et mis à la terre, le grand nombre de liaisons sous-marines entre les continents sont plus vulnérables.

« [Les CME] produisent des courants induits géomagnétiquement (GIC) à la surface de la Terre par induction électromagnétique », lit-on dans le document. « Sur la base de la force du CME, dans des cas extrêmes, le GIC a le potentiel de pénétrer et d’endommager les câbles longue distance qui constituent l’épine dorsale d’Internet. »

Les câbles longue distance ont des répéteurs pour amplifier les signaux optiques espacés à des intervalles de 30-93 miles/50-150 km, qui sont alimentés à l’aide d’un conducteur. Savons-nous s’ils résistent aux super tempêtes solaires ? Non. Les derniers grands événements solaires ont eu lieu en 1859 et 1921, qui ont endommagé le réseau télégraphique. Quant à l’Internet moderne, sa résilience n’a pas été testée, affirment les auteurs.

Éjection de masse coronale : Cette vidéo montre le flux de particules autour de la Terre sous forme d’éjecta solaires associés à une éjection de masse coronale frappant la Terre.

Pourquoi l’Amérique du Nord souffrirait le plus

Étant donné que les particules à haute énergie d’une super tempête solaire seraient canalisées vers les pôles, les latitudes plus élevées seraient les plus à risque. C’est là que se trouve la plupart des infrastructures Internet, y compris les câbles sous-marins. Mais alors que l’Europe a tendance à utiliser des câbles plus courts, l’Amérique du Nord s’appuie sur des câbles plus longs, disent les auteurs. Ainsi, l’Amérique du Nord pourrait subir des pannes Internet plus longues.

Quoi qu’il en soit, l’Europe et l’Amérique pourraient se déconnecter tandis que la plaque tournante équatoriale de Singapour en Asie serait probablement moins affectée. Le document indique également que les centres de données de Google ont une meilleure résilience que ceux de Facebook.

Et les satellites ?

Les satellites en orbite risquent également d’être endommagés, précise le journal. C’est potentiellement une affaire encore plus importante à l’avenir si des systèmes comme la constellation SpaceX Starlink d’Elon Musk réussissent à apporter une large bande à faible perte à une grande partie du monde qui ne peut pas encore accéder à Internet.

Pire encore, les auteurs pensent que les réseaux satellitaires de style Starlink pourraient être particulièrement vulnérables, écrivant : « Les satellites GPS et de communication qui sont directement exposés aux tempêtes solaires souffriront d’une perte de connectivité pendant l’événement, de dommages potentiels aux composants électroniques et, dans le pire des cas, d’une décroissance orbitale et d’une rentrée sur Terre (en particulier dans les satellites en orbite terrestre basse tels que StarLink). »

Comme le coronavirus encore une fois?

Éclipse solaire du 4 décembre 2021
Éclipse solaire du 4 décembre 2021

Ceci, a déclaré l’auteur principal Sangeetha Abdu Jyothi à Wired, est une histoire à propos de nous, les humains, qui ne sont absolument pas préparés à quelque chose d’une importance majeure. Cela semble familier, non ?

« Ce qui m’a vraiment fait penser à cela, c’est qu’avec la pandémie, nous avons vu à quel point le monde n’était pas préparé. … il n’y avait pas de protocole pour y faire face efficacement et c’est la même chose avec la résilience d’Internet », a-t-elle déclaré. « Notre infrastructure n’est pas préparée pour un événement solaire à grande échelle. Nous avons une compréhension très limitée de l’étendue des dommages. »

Pour illustrer à quel point les gouvernements pourraient être mal préparés, en mai 2021, l’ancien conseiller principal du Premier ministre britannique, Dominic Cummings, a révélé que les plans du Royaume-Uni sont « complètement sans espoir » et que les tempêtes solaires pourraient provoquer une « situation pire que la Covid. »

Pourquoi la menace devient maintenant réelle

Tout cela survient alors que notre Soleil croît vers le « maximum solaire » en 2024. Le Soleil a un cycle qui dure entre neuf et 14 ans, généralement 11 ans en moyenne. Au sommet de ce cycle, appelé maximum solaire, le Soleil produit plus d’électrons et de protons que les éruptions solaires et les CME.

Nous lisons dans le document : « Pendant les maxima solaires, il y a une augmentation de la fréquence de deux phénomènes solaires, les éruptions solaires et les CME, tous deux causés par des contorsions dans les champs magnétiques du soleil, ».

‘Maximum solaire’ et éclipses solaires totales

On pense que le Soleil atteindra le maximum solaire au milieu des années 2020, bien que personne ne puisse deviner exactement quand la fréquence des taches solaires atteindra son maximum. C’est quelque chose qui ne peut généralement être décrit que rétrospectivement. Le dernier maximum solaire a eu lieu en 2013/2014, mais a été classé parmi les plus faibles jamais enregistrés. Le suivant pourrait être le plus fort. Une façon d’évaluer visuellement ce qui se passe est de compter les taches solaires — et l’autre est de regarder la puissante couronne solaire pendant une éclipse solaire totale.

La prochaine aura lieu le 4 décembre 2021 en Antarctique.

En guise de conclusion

Les chercheurs estiment qu’une interruption de la connexion internet pendant une journée aux États-Unis coûterait plus de 7 milliards de dollars. Alors imaginez un black-out qui pourrait durer des semaines ou des mois… Les chercheurs préviennent que lorsque la prochaine tempête solaire sera détectée au niveau de notre étoile, nous aurons environ 13 heures pour réagir. Mieux vaudrait donc se préparer avant en multipliant les câbles aux basses latitudes — car les hautes latitudes sont plus exposées et c’est notamment là que se trouvent les câbles qui relient l’Europe et les États-Unis, au-dessus de 40° de latitude nord –, en isolant mieux les câbles sous-marins et en développant des tests de résilience, par exemple.

Quoi qu’il en soit, les réseaux électriques sont quelque peu protégés contre les super tempêtes solaires. Si nous pensons qu’Internet est également une infrastructure critique — et, bien sûr, il l’est — il doit être protégé contre un autre type d’urgence corona.


« Si la fausse pandémie était prévue en 2019 et a éclaté dans la colonie chinoise des Rothschild et des Sassoons en 2021, j’imagine que la nouvelle guerre diffuse est prévue pour 2022 ou 2023. Une conflagration mondiale n’est pas une mince affaire et nécessite de nombreux préparatifs, c’est quelque chose comme un mariage royal célébré en enfer. » – Jose Francisco Fernández-Bullón, 24 septembre 2021

Le 29 août 2021, Sangeetha Abdu Jyothi, professeur adjoint d’informatique à la Donald Bren School of Information and Computer Sciences de l’UCI, a présenté sa recherche « Solar Superstorms: Planning for an Internet Apocalypse » à la conférence annuelle SIGCOMM du groupe d’intérêt spécial de l’ACM sur la communication de données.

RÉFÉRENCES :

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Richard Bernier
5

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