Comme nous le savons tous, l’administration Trump a annoncé le 31 juillet son intention d’ajouter une salle de bal à l’aile Est de la Maison Blanche, les travaux ayant débuté en septembre dernier. L’administration a qualifié ce projet d’agrandissement attendu depuis longtemps, qui permettra à la Maison Blanche d’accueillir plus facilement des réceptions importantes telles que les dîners d’État. Une partie de la nouvelle structure qui abritera la salle de bal occupera l’espace de l’ancienne aile Est, dont la démolition a débuté le 20 octobre. Bien que le bâtiment existant ait été démoli, Le président Donald Trump a déclaré que la salle de bal en construction « n’interférerait pas avec le bâtiment actuel », qu’elle ne le « toucherait pas » et qu’il témoignerait d’un « respect total pour le bâtiment existant, dont je suis le plus grand admirateur ». Le Washington Post a rapporté en août que le projet n’avait pas encore été soumis à l’examen de la Commission nationale de planification de la capitale (NCPC), comme l’exige la loi fédérale, et que de telles approbations prenaient souvent des années. L’administration a affirmé qu’un décret présidentiel de 1964 autorisait le président à contourner la commission, mais après qu’un journaliste du Post a souligné l’exigence légale, la Maison Blanche a déclaré que la commission « ferait partie de ce processus en temps voulu ».
Initialement annoncée pour un coût de 200 millions de dollars, la construction de la salle de bal est désormais estimée à 300 millions de dollars (chiffres d’octobre), un montant qui serait pris en charge par Trump et des donateurs privés. Depuis, 350 millions de dollars ont été collectés au total, mais le coût de la construction reste inchangé. Le 15 octobre 2025, le président Trump a reçu des dizaines de grands patrons dans le cadre de sa campagne de levée de fonds visant à récolter des centaines de millions de dollars pour l’ajout de la salle de bal à la Maison Blanche. La liste des invités au dîner dans la Salle Est comprenait la Fondation de la famille Adelson, des représentants de près d’une vingtaine d’entreprises, dont des sociétés technologiques comme Amazon, Apple, Meta, Google, Microsoft et Palantir, les fabricants de tabac Altria et Reynolds American, ainsi que les géants des télécommunications T-Mobile et Comcast, selon une liste fournie à CBS News par la Maison Blanche. Parmi les autres invités de marque figuraient le magnat du pétrole Harold Hamm, l’industriel du sucre Pepe Fanjul et les propriétaires des Buccaneers de Tampa Bay, Edward et Shari Glazer.
Traditionnellement, les événements officiels à la Maison Blanche se tiennent dans le Salon Est de la Résidence Exécutive, qui peut accueillir 200 personnes, ou sous des tentes spécialement installées sur le terrain de la Maison Blanche pour les dîners d’État. Trump a qualifié ces tentes de « spectacle peu esthétique ». Ces tentes, décrites par un ancien chef de la Maison Blanche comme « embarrassantes » et contraignant les invités à se serrer les uns contre les autres, coûtent souvent un million de dollars, voire plus, par événement. Initialement, la nouvelle salle de bal était prévue pour accueillir 650 personnes, la capacité a été revue à la hausse à 900 en septembre. Le 15 octobre, le président a déclaré qu’elle pourra accueillir jusqu’à 999 invités et sera entièrement vitrée avec des vitres pare-balles.
Mais pourquoi Trump mentionne-t-il que la salle de bal pourra accueillir jusqu’à « 999 » invités ? Pourquoi ne pas tout simplement dire « 1000 » invités ? Pourquoi 999 ? Les individus composant cette élite luciférienne savent très bien qu’en utilisant une symbolique inversée, ils provoqueront une polémique qui servira ultérieurement à discréditer les véritables chercheurs de vérité. C’est donc à bon escient que Trump a utilisé le nombre de la Bête inversé. Il savait très bien ce qu’il faisait.
Mais voici ce que le banquier Egon Von Greyerz, fondateur et associé directeur de l’entreprise de gestion et préservation du patrimoine Von Greyerz AG, nous rappelle dans un article publié le 26 septembre 2019 : « Ceux qui pensent que ce chiffre est de mauvais augure ont lu le mauvais chapitre de la Bible. 666 est un chiffre très important pour les métaux précieux dans la Bible : « Le poids de l’or qui revenait à Salomon chaque année était de six cent soixante-six talents d’or. » (2 Chroniques 9:13) 666 talents d’or représente 22 tonnes, ce qui vaut aujourd’hui plus d’un milliard de dollars. C’est la quantité d’or que le roi Salomon recevait en paiements et en cadeaux. 666 est donc un chiffre très important dans la Bible pour les investisseurs en métaux précieux, au contraire de ce que certains pensent. »
Plusieurs internautes ont fait remarquer que le plan de la nouvelle salle de bal de la Maison Blanche ressemble étrangement à la disposition du premier temple de Jérusalem, un lieu de culte édifié au Xe siècle av. J.-C. par le roi Salomon sur le mont Moria et détruit au VIe siècle av. J.-C. lors du siège de Jérusalem par l’armée babylonienne de Nabuchodonosor II. Selon le récit biblique, le Temple de Salomon avait pour but d’abriter l’Arche d’alliance (1 Rois 8:1-5 et 2 Chroniques 5:2-10). L’objectif inavoué de Donald Trump est-il donc de construire une réplique du Temple de Salomon afin d’y transférer la réplique de l’Arche d’alliance qui fut exposée durant des mois dans sa résidence privée à Mar-a-Lago, en Floride, avant d’être amenée à Jérusalem pour mener la guerre génocidaire contre Gaza ?
Soulignons ici que Salomon n’était pas nécessairement un symbole de vertu. Malgré sa sagesse, il prend de nombreuses femmes de nations païennes et se laisse entraîner vers l’idolâtrie : « Le roi Salomon aima des femmes étrangères en grand nombre […] appartenant aux peuples dont l’Éternel avait dit aux fils d’Israël : Vous n’irez point chez eux, et ils ne viendront point chez vous ; ils inclineraient certainement vos cœurs à suivre leurs dieux. Salomon s’attacha à eux pour ses amours. » Salomon construisit aussi des sanctuaires pour les divinités païennes : « Et Salomon suivit Astarté, divinité des Sidoniens, et Milcom, abomination des Ammonites. […] Alors Salomon bâtit un haut-lieu à Camos, l’abomination de Moab, sur la montagne qui est en face de Jérusalem, et à Moloch, l’abomination des fils d’Ammon. » (1 Rois 11:1-7)
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs AuthorsDen et de la Nonfiction Authors Association (NFAA) aux États-Unis. Il adhère à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).
L’hypothèse de la copie du temple est intéressante. D’autres mentionnent un bunker 5 étoiles….
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