Je vous ai récemment parlé de l’auteur Noel Kilkenny, alias Patrick Scrivener, en rapport avec le dossier du véritable John F. Kennedy, Jr., alias David Keith Quigley. Je vous disais que Patrick Scrivener est un auteur qui mérite d’être connu et que « ses articles peu conventionnels nous amènent à réfléchir et nous apportent une vision complémentaire du monde dans lequel nous vivons ». Je prévoyais déjà de partager avec vous quelques-uns des autres articles de cet auteur, dont celui qui s’intitule “Nikola Tesla a découvert le dôme en 1899“, et dont vous trouverez la traduction ci-dessous. Pour Scrivener, « Nikola Tesla était un chrétien orthodoxe, et l’Église orthodoxe n’a jamais accepté le mythe selon lequel la Terre était un globe ».
Le théologien et Père de l’Église, Jean Damascène (∼675 – 749), écrit dans son ouvrage “Une Exposition exacte de la foi orthodoxe” publié vers 743 : « C’est cela qu’on appelle donc lieu de Dieu, ce qui a le plus part à son énergie et à sa grâce. C’est pourquoi le ciel est son trône car y sont les anges faisant sa volonté et lui rendant gloire sans fin. C’est là qu’est son repos, et la terre est son marchepied, car c’est en elle que par la chair il s’est rendu familier aux hommes. » Il poursuit plus loin, au chapitre intitulé “Du Ciel” :
« D’autres imaginent le ciel hémisphérique ; c’est ainsi que David, divinement inspiré, dit : « Il étend le ciel comme une peau ». (Psaume 104:3). Il veut dire une tente ; et le bienheureux Isaïe « Il a mis le ciel comme une voûte » (Ésaïe 40:22). De plus, en se couchant, le soleil, la lune et les astres circulent autour de la terre depuis le couchant vers le nord et ils reviennent à nouveau ainsi vers le levant. Que le ciel soit l’un ou l’autre, tout advient et reste ferme par décret divin, et la volonté et le conseil divins le posent sur un fondement inébranlable : « Il a parlé et cela arrive. Il a tout disposé pour les siècles et pour les siècles des siècles. Il a mis une loi et elle restera toujours ». (Psaume 104) »
La célébration cultuelle est essentielle dans la vie orthodoxe. « L’église est le ciel sur la Terre, elle anticipe la vie céleste. Image du monde, ses parties hautes – coupoles et voûtes – figurent le ciel, où resplendit la gloire du Christ sous forme réelle ou symbolique. Le sanctuaire, réservé à la célébration de la liturgie eucharistique (messe), représente le monde divin, et la nef le monde sensible : l’église est le lieu où s’opère l’union de tous les êtres avec Dieu. » [Encyclopédie Larousse] Nous lisons dans le Fascicule de cours “L’Espace liturgique” : « le décor des églises orthodoxes avec une exposition assez riche de peintures (icônes, fresques), donne l’impression que l’église est un lieu où habite Dieu Lui-même, qu’elle représente Ses demeures célestes. C’est exactement cette conviction et cette expérience que l’Église orthodoxe souhaite transmettre par son architecture. Celle-ci révèle en effet que Dieu est avec les hommes, qu’Il demeure en eux et vit en eux … Elle y parvient par l’emploi du dôme ou de la voûte en coupole couronnant l’édifice. »
Comme l’écrit Patrick Scrivener, le père de Tesla était prêtre dans l’Église orthodoxe, il n’était donc pas imprégné du mythe selon lequel la Terre était une planète. L’inventeur et ingénieur américain d’origine serbe a lui-même déclaré au sujet de ses capacités : « Le don de force mentale vient de Dieu, de l’Être divin, et lorsque nous accordons notre esprit à cette vérité, nous sommes en harmonie avec cette Grande Puissance. Ma mère m’a appris à chercher toute la vérité dans la Bible ». [Vision Times] Dans cette optique, Saint Augustin affirmait le caractère aberrant de l’hypothèse des Antipodes et de l’idée que ce “monde à l’envers” soit peuplé par des hommes (La Cité de Dieu, Livre Seizième, Chapitre IX) :
« Quant à leur fabuleuse opinion qu’il y a des antipodes, c’est-à-dire des hommes dont les pieds sont opposés aux nôtres et qui habitent cette partie de la terre où le soleil se lève quand il se couche pour nous, il n’y a aucune raison d’y croire. Aussi ne l’avancent-ils sur le rapport d’aucun témoignage historique, mais sur des conjectures et des raisonnements, parce que, disent-ils, la terre étant ronde, est suspendue entre les deux côtés de la voûte céleste, la partie qui est sous nos pieds, placée dans les mêmes conditions de température, ne peut pas être sans habitants. Mais quand on montrerait que la terre est ronde, il ne s’ensuivrait pas que la partie qui nous est opposée ne fût point couverte d’eau. D’ailleurs, ne le serait-elle pas, quelle nécessité qu’elle fût habitée, puisque, d’un côté, l’Ecriture ne peut mentir, et que, de l’autre, il y a trop d’absurdité à dire que les hommes aient traversé une si vaste étendue de mer pour aller peupler cette autre partie du monde. »
Il est toujours difficile de discuter des sujets qui sortent des sentiers battus sans se faire ostraciser sur la place publique. C’est ce qui advint avec le créationniste[1] et platiste, Neo Salva, lorsqu’il se fit inviter sur les plateaux de Legend et de Jordanix. Au lieu de discuter de façon équitable et pondérée, il est clair que le but recherché par les animateurs était avant tout de ridiculiser et de discréditer leur hôte. Comme l’expliquait Neo Salva, ce n’était pas facile car l’animateur a essayé de le piéger à plusieurs reprises : « Je n’avais pas un ordinateur, je n’avais rien vraiment pour expliquer tout cela ». À mon avis, c’est ici le danger d’accepter une entrevue alors que le sujet abordé mérite plusieurs explications. C’est pourquoi, personnellement, j’avantage l’écriture qui permet d’être précis et sans équivoque. Comme résultat, l’entrevue de Neo Salva s’est retrouvée dans les médias grand public comme le Lorraine Actu.
Notons que le créateur de la Web TV Legend, Guillaume Pley, provient lui-même des médias grand public. Il nous est donc permis de nous questionner sur sa propre crédibilité. Il est également connu pour des vidéos à l’humour grossier, notamment à l’époque où il exerce en tant qu’animateur radio sur NRJ (l’une de ses vidéos en caméra cachée, abondamment commentée, lui vaudra des accusations de harcèlement de rue et d’agression sexuelle). Références : Libération, Le Point et France Info.
Nous sommes loin de l’époque où les gens pouvaient discuter de sujets controversés sans être crucifiés publiquement par leurs adversaires, tout comme le font de nos jours les sbires des médias maintream et leurs acolytes. Il en était ainsi à l’époque du très respecté Sir Patrick Moore. Homme aux opinions très arrêtées, beaucoup le connaissaient néanmoins comme un humanitaire objectif et juste, prêt à écouter toute personne ayant des arguments défendables, aussi peu conventionnels soient-ils. Loin d’insulter les gens, Patrick Moore les appelait affectueusement les « penseurs indépendants ». Il est écrit sur la jaquette de son livre “Can you speak Venusian?” : « Le penseur indépendant, qui n’a pas peur de rompre avec les conventions et qui n’est entravé par aucun préjugé, a un rôle majeur à jouer dans le monde moderne. Très souvent, ses idées sont complètement fausses ; mais il y a des moments où il a absolument raison — tout comme Copernic, Marconi et d’autres pionniers ont été justifiés au fil du temps. »
L’article que j’ai écrit le 7 novembre 2023 au sujet de Sir Patrick Moore et de son livre “Can you speak Venusian?” faisait suite à un article très élaboré et détaillé que j’avais moi-même « osé » écrire trois mois auparavant au sujet de la terre plate et du firmament (réservé aux membres de mon Club VIP). Comme je l’écrivais dans mon précédent article concernant Patrick Scrivener, « celles et ceux qui analysent les événements socio-politiques [et culturels] en n’effleurant que la surface, sans oser plonger leur regard de l’autre côté du miroir, alimentent simplement leur ignorance à travers le prisme de ce qui est visible ». Pour sa part, Sir Patrick Moore écrivait dans son livre : « Ceux qui croient que le monde a la forme d’une crêpe comptent parmi les penseurs véritablement indépendants les plus attrayants. »
« En ces temps d’imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. » (George Orwell)
« Il a bâti sa demeure dans les cieux, Et fondé sa voûte sur la terre; Il appelle les eaux de la mer, Et les répand à la surface de la terre : L’Eternel est son nom. » (Amos 9:6)
➽ Nikola Tesla a découvert le dôme en 1899
➦ Par Patrick Scrivener
Dans ce verset, le nom hébreu du dôme est aguddah (אֲגֻדָּה), ce qui signifie ARCHE (dôme voûté). Un autre nom pour le dôme ou la voûte est raqia (רָקִיעַ), (franç. firmament), (grec. stereoma), (lat. firmamentum), qui apparaît 17 fois dans la Bible : « Et Dieu fit le firmament, et il sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament d’avec les eaux qui sont au-dessus du firmament. Et cela fut ainsi. » (Genèse 1:7) Ce dôme est également réfléchissant ou semblable à un miroir : « Peux-tu comme lui étendre les cieux, Aussi solides qu’un miroir de fonte? » (Job 37:18).
Toutes les civilisations antiques croyaient que l’univers était à l’origine un abysse aquatique en forme d’œuf. Elles croyaient que leurs dieux ou idoles avaient créé la terre après avoir séparé les eaux. Le récit de la création des anciens Égyptiens reflète étroitement celui du livre de la Genèse.
Dans le monde antique, l’idée selon laquelle l’univers a commencé comme un abîme aquatique en forme d’œuf est aussi omniprésente que le récit du Déluge de Noé. De cet œuf cosmique, la Terre a émergé comme une terre plate et sèche séparée des eaux situées au-dessus par un dôme. Les Grecs païens se sont emparés de l’idée d’un univers en forme d’œuf pour affirmer que la terre elle-même était en forme d’œuf ou ronde. Il y a toujours une part de vérité dans les mensonges de Satan… Le mythe selon lequel nous vivons sur un globe en rotation a été plus tard volé au paganisme grec par les Jésuites.
En mai 1899, Nikola Tesla, génie de l’électricité, arrive à Pike’s Peak, dans le Colorado. Sa mission est de prouver la possibilité de transmettre l’électricité à l’échelle mondiale sans utiliser de fils. Nikola Tesla est l’inventeur du système d’éclairage et d’alimentation à courant alternatif utilisé aujourd’hui dans le monde entier. Son moteur à induction a littéralement révolutionné le monde. Tesla avait déjà prouvé que l’induction électromagnétique pouvait fonctionner sur de courtes distances, mais il voulait prouver qu’elle pouvait fonctionner sur de grandes distances.
Le moteur à induction de Tesla fonctionnait sans aucun contact physique entre le stator et le rotor. Tesla a donc décidé de prouver la viabilité de l’induction électromagnétique sur de longues distances. C’est la raison pour laquelle il a mené ses expériences au Colorado en 1899.
La transmission sans fil de l’électricité vers toutes les parties de la Terre était l’objectif principal de Tesla dans la célèbre expérience de Pike’s Peak. Le père de Tesla était prêtre dans l’Église orthodoxe, il n’était donc pas imprégné du mythe selon lequel la Terre était une planète. Sa découverte des ondes stationnaires fut aussi révolutionnaire que sa découverte du champ magnétique rotatif.
Lorsque tout fut prêt, Tesla commença à envoyer des millions de volts dans l’atmosphère (hémisphère). C’est alors que Tesla découvrit l’étonnant phénomène des ondes stationnaires. Les ondes stationnaires ont besoin de deux extrémités solides pour fonctionner. Les cordes d’une harpe ou d’une guitare produisent des ondes stationnaires. [Dans ce cas précis, selon Patrick Scrivener, le dôme du ciel et le Colorado étaient les deux nœuds solides des ondes stationnaires.] À sa grande surprise, Tesla découvre des ondes stationnaires qui vibrent à une très basse fréquence, comprise entre 4 et 12 hertz. Le pic de l’onde est appelé un NŒUD et le point d’intersection de l’onde est appelé un ANTINŒUD. Les deux nœuds d’extrémité doivent être SOLIDES pour que l’onde stationnaire fonctionne.
Voici une citation sur cette découverte fantastique tirée d’une biographie autorisée de Tesla :
« Par la suite, des observations similaires furent faites par mon assistant, M. Fritz Lowenstein, et peu après, plusieurs occasions admirables se présentèrent qui firent ressortir, avec encore plus de force et de certitude, la véritable nature de ce merveilleux phénomène. Il ne restait aucun doute, quoi qu’il en soit : j’observais des ondes stationnaires. » (John J. O’Neill, Prodigal Genius, p. 181)
➤ À GAUCHE : Système de transmission sans fil mondial proposé par Tesla (Source : Patrick Scrivener). AU CENTRE : Si le rayon du petit cercle est le même que celui de la sphère, la calotte sphérique est alors appelée un hémisphère (Source : Scolab). À DROITE : Tour de transmission et tours de réception Tesla (Source : All About Circuits / DissDash).
Nikola Tesla a essayé de maintenir le secret le plus total pendant ses expériences car il savait que les agents de l’espionnage industriel l’épiaient en permanence. Ses expériences terminées, Tesla est retourné à New York en octobre, plein d’enthousiasme, espérant que son système sans fil serait bientôt adopté avec enthousiasme par le monde.
➽ Tesla a commencé à construire la tour de transmission électrique sans fil de Wardenclyffe en 1901
Tesla n’avait pas l’intention de fournir de l’électricité GRATUITE au monde… mais il avait l’intention de rendre l’électricité disponible dans les endroits les plus reculés… sans câbles coûteux et disgracieux.
Le laboratoire que Tesla a construit dans le Colorado était extrêmement coûteux, mais il l’a financé avec ses propres fonds. Il est revenu à New York presque ruiné et a dû demander à son vieil ennemi, John Pierpont Morgan (dit J. P. Morgan), des fonds pour construire son émetteur mondial. Demander à la « trompe éminente » de financer sa tour fut la pire décision que le grand scientifique ait jamais prise. Morgan, « la pieuvre », avait une emprise mortelle sur Wall Street et sur l’économie américaine. Pendant la guerre des courants, il a presque conduit à la faillite de la société Westinghouse.
J. P. Morgan a finalement accepté de contribuer à hauteur de 150 000 $ au coût de construction de la tour, soit environ 4,5 millions de dollars en monnaie actuelle. Morgan a conclu un accord très difficile avec Tesla, et il a exigé une part de 51 % de tous les brevets sans fil générés. Tesla n’était pas un homme d’affaires, mais un scientifique brillant, et le coût de la construction dépassa bientôt ses estimations initiales.
L’ampleur des travaux à Wardenclyffe était stupéfiante, car rien de tel n’avait jamais été tenté auparavant. La plupart des travaux étaient en fait cachés sous terre. Pendant la construction, Tesla faisait quotidiennement la navette entre Shoreham, Long Island et l’hôtel Waldorf Astoria à New York.
Tesla a conçu sa tour Wardenclyffe pour refléter le système qu’il a découvert dans le Colorado. Sa tour aurait rempli la cavité résonnante ou l’éther avec du courant alternatif, qui aurait ensuite pu être capté par un récepteur n’importe où sur terre. Les maisons, les usines, les voitures, les trains, les avions, les bateaux, etc. pourraient être alimentés par une énergie alternative propre.
Il n’y avait absolument aucune raison scientifique pour que le système ne fonctionne pas parfaitement. Tesla n’était pas un expérimentateur comme Edison, qui utilisait la méthode des essais et des erreurs pour arriver à un système fonctionnel. Tesla a conçu la centrale électrique des chutes du Niagara et elle a parfaitement fonctionné dès la première fois.
➽ La tour de Tesla a été démolie en 1917
Le 4 juillet 1917, la tour Wardenclyffe, chère à Tesla, fut démolie en raison du manque de fonds pour achever le projet. John Jacob Astor IV était l’un des financiers de la tour Tesla, mais il a coulé avec le paquebot transatlantique britannique Olympic, « alias le Titanic ». Morgan a ensuite débranché la tour et Tesla a fait faillite. Sa grande quête pour électrifier le monde entier a pris fin. Ainsi s’est terminé le plus grand projet de construction de toute l’histoire du monde. Tesla en a évidemment eu le cœur brisé et a sombré dans une profonde dépression pendant des mois.
Après son expulsion pour l’hôtel Waldorf Astoria, Tesla s’installe dans le nouvel hôtel New Yorker, où il poursuit ses expériences jusqu’à sa mort prématurée en 1943. Au grand désespoir de ses ennemis, il n’a cessé d’inventer de nouvelles merveilles pour prévenir les guerres et améliorer le sort de l’humanité.
Tesla était un chrétien orthodoxe, et l’Église orthodoxe n’a jamais accepté le mythe selon lequel la Terre était un globe. En étudiant le système sans fil de Tesla, les gens acquerraient une compréhension biblique et scientifique des cieux, et la Terre entière disparaîtrait bientôt avec le vent.
➽ Il n’est pas trop tard pour remplir le dôme avec le courant alternatif !
Il n’est pas trop tard pour remplir le dôme avec le courant alternatif de Tesla. Imaginez le monde tel que Tesla l’avait imaginé il y a plus de 100 ans. Chaque voiture dans le monde entier devrait être une voiture Tesla, propulsée par son courant alternatif provenant de l’éther ou de la cavité résonnante. Sans pétrodollars, l’Arabie saoudite serait bientôt en faillite, et l’islam s’effondrerait et disparaîtrait avec le vent ! L’électricité serait distribuée sans fil à tous les points de la planète, sans interruption due aux ouragans ou aux tempêtes de verglas. Les lignes de transmission massives et disgracieuses concurrencent les arbres et sont vulnérables aux ouragans et aux tempêtes de verglas.
L’énergie nucléaire est une énergie empoisonnée, et les centrales sont des tueurs invisibles parce que les radiations mortelles sont invisibles. Tout ce que font les centrales nucléaires, c’est faire bouillir de l’eau pour produire de la vapeur qui fera fonctionner les turbines. Le kérosène est également très polluant, et les avions peuvent fonctionner à l’électricité produite par l’éther contenu dans le dôme. Cependant, le plus grand obstacle à la réalisation de l’objectif de Nikola Tesla d’une énergie propre et bon marché n’est pas technique… mais la cécité spirituelle :
Ces deux « aides visuelles » pour les aveugles sont des symboles jésuites omniprésents et il est temps qu’ils disparaissent avec le vent ! La Vulgate latine de Jérôme a volé l’idée du globe suspendu dans l’espace à la mythologie grecque : « Il étend le septentrion sur le vide, Il suspend la terre sur le néant » (latin : qui extendit aquilonem super vacuum et adpendit terram super nihili). (Job 26:7).
La Sainte Bible affirme que le dôme est transparent et solide, comme un verre fondu ou un miroir. C’est de là que vient le concept de « plafond de verre » : « Peux-tu comme lui étendre les cieux, Aussi solides qu’un miroir de fonte? » (Job 37:18) La Sainte Bible déclare également qu’il existe des piliers soutenant la terre plate : « Il secoue la terre sur sa base, Et ses colonnes sont ébranlées. » (Job 9:6).
La seule façon de briser le plafond de verre et d’atteindre le TROISIÈME ciel est de croire à la mort et à la résurrection du Messie juif, Josué de Nazareth (1 Corinthiens chapitre 15).
NOTE : Le créationnisme, qui s’exprime sous différentes formes, est une doctrine qui stipule que Dieu a créé non seulement l’univers mais également chacune des espèces vivantes, contrairement au très large consensus scientifique qui soutient l’idée d’un processus évolutif par lequel de nouvelles espèces se forment à partir d’ancêtres communs.
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