Les objectifs du Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique (IPCC) visent à réduire la quantité du rayonnement solaire

Selon les apôtres et les fanatiques du réchauffement climatique, il est plus urgent que jamais de réduire immédiatement et de façon « draconienne » les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES). Pour y parvenir, il faudra non seulement tourner le dos aux énergies fossiles, mais aussi transformer en profondeur nos villes, nos modes de transport et notre régime alimentaire, conclut le nouveau rapport du Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique (de l’anglais « Intergovernmental Panel on Climate Change »). La troisième partie du nouveau rapport d’étape du IPCC, “Climate Change 2022: Mitigation of Climate Change”, traite de la manière dont le changement climatique d’origine humaine peut être réduit. Par atténuation, on entend toutes les mesures visant à réduire le changement climatique et ses conséquences. Parmi ces options il y a celle de réduire le rayonnement solaire et de refroidir la Terre.

Il s’agit d’une autre approche de la soi-disant géo-ingénierie qui décrit des méthodes avec lesquelles le rayonnement solaire frappant la terre doit être réduit. Cela pourrait se produire, selon les modèles, avec des particules de soufre pulvérisées à 15 à 20 kilomètres au-dessus de la terre, ou avec des aérosols réfléchissant la lumière du soleil. L’Agence fédérale de l’environnement met en garde : « Ces mesures dites de géo-ingénierie ont un point commun : elles recèlent des risques pour les personnes et l’environnement qui pourraient avoir un impact global ». Le 17 janvier 2022, 60 experts et scientifiques ont publié une lettre ouverte. Injecter des milliards de particules de soufre dans la couche supérieure de l’atmosphère – un des projets les plus controversés de modification intentionnelle des rayonnements solaires – pourrait renvoyer une partie des rayons du soleil, mais les effets secondaires risquent de dépasser les bénéfices, insiste cette lettre ouverte.

Les signataires, comme le professeur Aarti Gupta de l’université néerlandaise de Wageningen ou le président de l’Agence allemande de l’environnement Dirk Messner, s’inquiètent également du risque de créer un faux espoir de solution face au réchauffement, ce qui pourrait « dissuader les gouvernements, les entreprises et les sociétés de faire tout leur possible pour parvenir à la neutralité carbone dès que possible ». Enfin, les experts soulignent l’absence de gouvernance pour surveiller ces projets.

La lettre ouverte appelle à un « accord international de non-utilisation » qui bloquerait le financement, l’expérimentation et l’octroi de brevets à ces technologies, sans pour autant mettre un terme aux recherches scientifiques. « Le déploiement de la géo-ingénierie solaire ne peut pas être géré au niveau mondial de manière juste, inclusive et efficace. Nous appelons donc les gouvernements, l’ONU et autres acteurs à prendre des mesures politiques immédiates pour empêcher la normalisation de la géo-ingénierie solaire en tant qu’option contre le réchauffement », écrivent les signataires.

Le IPCC appelle à l’obscurcissement du soleil

Alors que les gens s’indignent de la prolifération des taxes sur l’énergie, les architectes de la politique climatique admettent ouvertement que les objectifs climatiques définis dans le cadre de l’accord de Paris n’étaient, avec les mesures prévues, pas du tout réalisables. Bien que les objectifs climatiques actuels soient qualifiés de totalement absurdes par des scientifiques renommés et indépendants, le GIEC, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat exige désormais dans son dernier rapport des mesures encore plus effarantes. Il s’agit notamment d’aspirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère ou – écoutez bien – d’obscurcir le soleil par des nuages de poussière artificielle.

La technologie permettant d’aspirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère a déjà été développée et s’appelle « Captage et stockage du carbone ». Selon The Times, le projet a été financé par l’oligarque Bill Gates. Outre l’aspiration du dioxyde de carbone vital, Bill Gates a également financé la technologie de protection contre le soleil, selon le quotidien « Frankfurter Rundschau ». Des scientifiques de l’Université de Harvard, à travers l’« expérience de perturbation stratosphérique contrôlée » (ScoPEx), tentent de réfléchir les rayons du soleil dans l’espace. De cette manière, un effet de refroidissement devrait être déclenché. Selon le « Frankfurter Rundschau », les chercheurs de Harvard veulent pour cela répandre dans l’atmosphère des particules de carbonate de calcium, plus précisément d’acide carbonique.

Les défenseurs de l’environnement tirent la sonnette d’alarme, car l’utilisation du carbonate de calcium pourrait avoir des conséquences indésirables sur la couche d’ozone. De plus, selon les critiques, des décalages météorologiques extrêmes sont à craindre. Combinées, ces interventions auront sans aucun doute des conséquences désastreuses, car il est bien connu que l’oxygène vital est produit par la photosynthèse. Les plantes et certaines bactéries utilisent la lumière, l’eau et le dioxyde de carbone pour produire du glucose et de l’oxygène. Si la lumière du soleil et le dioxyde de carbone leur sont retirés, elles ne peuvent plus produire d’oxygène. Ce qui laisse augurer une prochaine catastrophe.

Le fait que ces projets controversés, qui font manifestement plus de mal que de bien, soient justement financés par Bill Gates, fait dresser l’oreille. C’est bien Bill Gates qui se présente comme philanthrope, qui fait partie des acteurs les plus influents autour de la crise du Covid et qui s’illustre en outre avec les programmes de vaccination qu’il a financés. Il est prouvé que ces derniers ont également fait plus de mal que de bien à l’humanité, mais lui ont rapporté des milliards.

Il est prouvé que le concept commercial « créer des crises – définir des issues controversées – profiter largement des crises au détriment de la collectivité » fonctionne parfaitement chez Gates. La question est de savoir ce que l’humanité acceptera encore comme méchancetés destructrices jusqu’à ce que des misanthropes avides comme Bill Gates soient enfin stoppés ; par exemple par une interdiction globale de profit en temps de crise. Cela signifie que plus personne ne s’enrichirait sur la détresse des autres.


RÉFÉRENCES :


Les 12 mensonges du GIEC – Politique & Eco avec Christian Gerondeau

Il est difficile de croire qu’un organisme international officiel mente effrontément. C’est pourtant ce que fait le GIEC, émanation des Nations-Unies censées représenter l’intérêt de l’humanité. Il l’a fait par exemple lorsqu’il a déclaré en 2011 que l’humanité pourrait se passer des énergies fossiles en 2050 et que « près de 80 % des besoins d’énergie de l’humanité pourraient alors être satisfaits par les énergies renouvelables. » Or toutes les projections montrent que ces dernières ne pourront répondre au mieux à cette date qu’à 10% des besoins et que les énergies fossiles en satisferont toujours près de 80 %. D’autres mensonges, tout aussi grossiers, concernent l’évolution de la température terrestre, la montée supposée des eaux, la survie de la faune et de la flore… L’invité de « Politique & Eco », l’ingénieur polytechnicien Christian Gerondeau, les énumère dans son ouvrage “Les douze mensonges du GIEC”. Passionnant !
Myriam
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