Récemment, j’ai reçu un message de la part d’un confrère, Gérard Luçon. me faisant part d’un nouvel article se rapportant à l’élection présidentielle en France : « Bonjour Guy. Nous venons de finaliser un document qui pouvait se révéler capital suite à ce qui est arrivé au 1er tour en France. La première partie est d’ordre analyse simple, la seconde plus technique, mais prenez le temps, et si “OK” diffusez “Urbi et Orbi”. » Monsieur Luçon a rédigé cet article avec deux autres collègues, dont un informaticien « de haut niveau ». Gérard Luçon est un ancien éducateur puis directeur au Ministère de la Justice, ancien directeur de “Handicap International” puis de “Le Chèque Déjeuner” en Roumanie, ancien directeur général d’une société “Off Shore” en Chine (Harbin – HeiLongJiang) et ancien secrétaire général d’un fonds de pension en Roumanie. Officier de l’Ordre National “Steaua României”, il est l’auteur du livre “Aventures, Contes et Histoires Africaines” publié aux éditions L’Harmattan. Il a vécu en France, au Sénégal, en Roumanie et en Chine, suffisamment à chaque fois pour y connaître plus ou moins les gens, leur histoire, leur identité et leur culture. Gérard Luçon écrit plusieurs chroniques pour le compte de Agoravox.
Dominion : Elyze, Elise, élisez-moi … oui mais selon quelles règles ?
Elyse, nom du logiciel utilisé cette année …
Les résultats du 1er tour sont tombés et nous ont réservé quelques surprises difficilement explicables, par exemple :
• Macron a été « voté » par plus d’un électeur sur 4 ! Alors que jamais un président français n’avait été autant décrié, conspué, méprisé, critiqué, que son parti représente moins de 5%, il obtient un score « record ». Bien entendu des sociétés de sondage avaient prédit (sur commande d’état ?) cette victoire, et d’autres qui avaient en parallèle effectué ce travail créditaient Macron de 10 à 12% ! Il termine donc avec 28 moins 12 soit 16% de « bonus » …
• Jadot, Pécresse et Hidalgo par contre sont en dessous de la barre fatidique des 5% permettant le remboursement des frais de campagne ; c’est une grande surprise car, même si on ne peut que constater la faiblesse individuelle des candidats de ces 3 partis, cela semble signifier qu’EELV, le PS et LR n’ont plus de socle électoral, ce qui parait quand même très peu probable !
• le PCF, moribond, dépasse le PS !
• L’électron « libre », Zemmour, fait un score honorable mais à qui a-t-il pris des voix sinon en grande partie au RN? Encore que, n’ayant pas de socle électoral réellement identifié et pas d’histoire électorale, on peut penser qu’il a aussi un peu grappillé ici et là.
• Le Pen et Mélenchon obtiennent un score assez prévisible compte tenu de leur évolution historique, de la présence de Zemmour, et de leur socle électoral.
Donc la 1ère question que nous pouvons nous poser est celle-ci :
Et si ces +16% obtenus par Macron provenaient d’une manipulation aux frais de ces 3 partis (EELV, PS et LR) lesquels auraient pu se partager ces voix et arriver chacun autour de 10%, ce qui paraitrait plus logique et règlerait leur problème de remboursement !
Dans la foulée nous sommes en droit de nous demander si les partis politiques EELV, LR et le PS n’ont pas négocié leur silence, en coulisses, notamment au vu du retour sur scène de Sarkozy et de la prise de position de Hollande.
Derrière ceci nous pouvons aussi constater l’existence de problèmes et avoir de sérieux doutes sur la régularité du scrutin, et donc sur la validation des résultats :
Par exemple concernant le système de vote « électronique », un internaute a publié ce qui suit ;
« A 67,2 %, les machines votent Macron
Etonnant élan des machines à voter pour le candidat Macron. En France, 64 villes sont équipées d’un système de vote électronique et quand on les passe en revue une à une, on s’aperçoit que 41 d’entre elles votent Macron et elles ne font pas semblant, avec régulièrement, de très gros scores, ce qui donne 67,2 % des machines qui votent Macron, très au dessus donc, du score moyen du candidat. Les 21 villes à machines qui ne votent pas Macron, sont quasiment toutes des villes où la population est largement d’origine étrangère, nord-africaine, Stains, Marignane, Arcueil, Orange… où c’est Mélenchon qui rafle la mise et où il aurait été trop visible de tricher. Dans quelques autres, mais peu, on a Le-Pen en tête, des fiefs traditionnels du RN, en région PACA. Cette propension des machines à voter Macron est largement étonnante, sans compter la salade qui peut être réalisée, en prime, une fois tous ces résultats arrivés dans les machines du Ministère de l’intérieur. Le décalage entre le score du candidat dans les villes à machines et les villes sans machine, suffit à jeter le trouble et les précédents de chez Dominion, avec le logiciel Scylt devraient inciter à l’interrogation et à la vérification.
Source Pierre Duriot »
Nota: Je pense qu’il y a une petite erreur, Scytl était la société et dominion le logiciel, mais le constat donne à réfléchir.
Donc nous sommes allés étudier comment (de manière très technique) des machines, dont un rapport du Sénat met en doute la fiabilité, ont pu être utilisées et être considérées comme sûres:
Pour comprendre le fonctionnement du système (tant informatique que la dérive potentielle), si besoin est voir en fin de document le lien vers youtube, en hollandais sous-titré en français.
Le processus de récupération de données dans la mémoire vive dans des conditions normales est impossible parce que la mémoire vive (dite Random Access Memory) s’efface une fois que le courant ne transite plus par les composants de la carte mère et des modules mémoires.
Cependant il est possible de récupérer une partie du code (par exemple les formules mathématiques qui permettent la comptabilisation de ce qu’on a introduit comme données) exécuté en soumettant ces modules de mémoires vives a des températures extrêmement basse (c’est à dire a partir de -50°C) pour permettre aux propriétés de ces mémoires de changer, on intervient donc sur ces 2 facteurs que sont la température de fonctionnement des composants et le survoltage des composants (id. faire fonctionner à des voltages plus élevés un composant électronique).
Dans ces conditions il est possible de récupérer presque l’intégralité du code exécuté en mémoire du système de n’importe quel ordinateur fonctionnant selon ces principes.
Donc il faut tenir compte de ces paramètres suivant :
Si sur la machine à voter (la plus courante est Nedap) le changement d’une ROM (Read Only Memory) peut changer les algorithmes de comptage des votes, il faut savoir que la réaffectation des votes est une tache qui est bien plus complexe qu’une simple addition. Ce qui signifie que le programme de réaffectation des voix ou vols des voix nécessite une programmation plus complexe qu’une simple incrémentation des voix. Donc (en gros) la signature de la taille du programme sera bien plus importante en taille. D’où la capacité à comparer la taille du programme originel de la machine sans bidouillage et celui après bidouillage.De plus on peut extraire le programme depuis la mémoire pour le comparer. Et même y retracer la méthode de distribution des voix!
Donc le code exécuté en mémoire vive étant accessible, il sera possible de connaître la signature de la ROM et le code exécuté par la machine à voter électronique.
La simple comparaison de la signature et de la taille de la ROM qui peut être dans ces cas-là extraite en mémoire peut être comparée tout simplement à la ROM originelle de la machine.
Si la taille des fichiers diffère et que le code diffère de la ROM originale, alors c’est qu’il y a triche tout simplement.
Pour la suite il suffirait simplement de comparer aussi avec le code extrait de cette façon de la mémoire vive (stricto sensu) et donc de mettre en évidence qui bénéficie de cette redirection (et vols) des voix.
Par là-même si la machine a été utilisée ultérieurement, il faudra aussi justifier des dates heures et autres éléments indicatifs qui seront extraits dans la récupération des données dans la mémoire vive des machines à voter électroniques.
NOTA : la « réfrigération » est une technique connue sous le nom de cold boot attack (attaque au démarrage à froid) , utilisée en criminalistique informatique, dans les procédures de récupération de données et, inévitablement, dans les activités de piratage (hacking).
Elle tire parti d’une caractéristique physique des banques de mémoire RAM, en particulier des DRAM (Dynamic Random Access Memory), qui, de par leur nature même, ne perdent pas immédiatement des données en cas de coupure de courant soudaine, mais suivent une sorte de décharge beaucoup plus lente car les composants électroniques sont plus froids.
Rappelant que, sauf dans de rares cas :
- la mémoire RAM n’est jamais cryptée, contrairement au système de fichiers,
- qui contient souvent temporairement les clés utilisées par les systèmes de sécurité et
- que tout ce que vous faites est momentanément stocké dans la RAM.
- Pour toute information complémentaire contacter :
• Gérard Luçon sur Telegram ou bien via VK
et aussi
• Deek
« J’aime vos articles car ils permettent de remettre les choses en perspective et la planète entière en a grandement besoin… surtout en ce moment! »