Le 3 décembre 2020, le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a répondu à une question d’un téléspectateur lors d’une diffusion en direct sur Facebook (à partir de 28:19 minutes) concernant le projet de la Grande Réinitialisation (Great Reset) qui est promu par des politiciens du monde entier, comme le premier ministre Justin Trudeau. Il explique en quoi cela consiste et pourquoi il le rejette.
J’ai déjà publié plusieurs articles concernant le projet funeste du machiavélique et ténébreux Klaus Schwab. Vous pouvez en consulter la liste ci-dessous :
- Le systémicien et chercheur, Jean Tardy, expose la face cachée du plan de match machiavélique de la Grande Réinitialisation (Great Reset).
- Aldo Maria Valli : La Grande Réinitialisation (Great Reset) vu par un gourou du mondialisme.
- L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset ».
- Covid-19 / Great Reset — Les totalitaires visent une société utopique dans laquelle les maux sociaux, réels ou imaginaires, sont éliminés.
- The Great Reset : la grande remise à zéro est une coalition élitiste pour repenser le monde.
- Les Nations Unies annoncent que la pandémie est un portail : « La crise du COVID-19 peut et doit être un tournant dans l’histoire ».
- Le Forum économique mondial avoue son projet criminel de ruiner la population mondiale par l’intermédiaire de la grande réinitialisation.
- Un article de Benjamin Fulford : La campagne Covid-19 est la preuve même de la rébellion satanique totale contre le Créateur.
- Prince Philip d’Édimbourg : « Je dois avouer que je suis tenté de demander à être réincarné en tant que virus particulièrement meurtrier ».
- Le canular du coronavirus a un côté positif : il a exposé les Illuminati et leurs agents.
- COVID-19 — Les Globalistes préparent la Grande Réinitialisation et votre asservissement sous le couvert de développement durable.
À propos de Jason Kenney
Jason Kenney, né le 30 mai 1968 à Oakville (Ontario), est un homme politique canadien. Il est chef du Parti conservateur uni depuis 2018 et Premier ministre de l’Alberta depuis le 30 avril 2019.
Kenney est membre du Parti libéral de la Saskatchewan jusqu’en 1997, puis du Parti réformiste du Canada entre 1997 et 2000. Il rejoint l’Alliance canadienne entre 2000 et 2003 et est étiquetté conservateur depuis cette date. Député à la Chambre des communes du Canada, représentant les circonscriptions de Calgary-Sud-Est puis de Calgary Midnapore (Alberta) entre 1997 et 2015.
Il est élu à la Chambre des communes pour la première fois lors de l’élection de 1997, sous la bannière du Parti réformiste du Canada. Il est ensuite réélu lors de l’élection de 2000 sous la bannière de l’Alliance canadienne, le parti qui a succédé au Parti réformiste, et enfin sous la bannière du Parti conservateur aux élections de 2004, 2006, 2008, 2011 et 2015.
Il intègre le cabinet du Premier ministre Stephen Harper en tant que ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration, en fonction du 30 octobre 2008 au 15 juillet 2013. Il devient à cette date ministre des Ressources humaines et du Développement social et acquiert le portefeuille de ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration le 16 août 2013. Il quitte ses deux fonctions aux Ressources humaines pour devenir ministre de la Défense nationale le 9 février 2015 tout en conservant le poste de la Citoyenneté ; il quitte le gouvernement fédéral le 4 novembre suivant au profit du libéral Harjit Sajjan.
Lors de la guerre du Donbass, le gouvernement canadien envoie des troupes sous l’impulsion de Kenney pour entraîner l’armée ukrainienne mais refuse de former le régiment Azov à cause des sympathies de ce dernier envers le néonazisme. Jason Kenney précise alors que le Canada ne doit « pas permettre qu’un petit nombre de pommes pourries dans un bataillon définisse la nouvelle Ukraine ».
Carrière provinciale
Il annonce en juillet 2016 sa candidature au poste de chef de l’Association progressiste-conservatrice de l’Alberta, dans le cadre de la course à la chefferie prévue pour 2017. Il a démissionné de son siège de député à la Chambre des communes en septembre 2016, et est élu chef des progressistes-conservateurs albertains le 18 mars 2017 avec plus de 75 % des voix. Il défend alors la fusion avec le Parti Wildrose, autre parti conservateur d’Alberta, critiquant la division des votes de droite ayant permis au NPD de prendre le contrôle de la province. La fusion est opérée le 24 juillet à plus de 95 % et le Parti conservateur uni est créé. Kenney annonce alors sa candidature à la chefferie du nouveau parti. Le 28 octobre, il se lance dans cette nouvelle course à la chefferie et est largement élu (61,1 %) le 28 octobre, devançant Brian Jean, ancien leader du Wildrose (31,5 %), et Doug Schweitze (7,3 %).
Quelques jours plus tard suivant Dave Rodney, député sortant de Calgary-Lougheed, annonce sa démission afin de permettre à Kenney de se présenter et d’obtenir un siège à la chambre avec les élections générales de 2019. La partielle a lieu de 14 décembre et il est largement élu, avec plus de 71 % des suffrages.
Premier Ministre de l’Alberta
Suite aux élections générales albertaines le 16 avril 2019, il est assermenté Premier ministre de l’Alberta le 30 avril.
Jugeant sa province lésée par le système de péréquation, il menace de déclencher un référendum pour le 17 octobre 2021 si ce système n’est pas renégocié. François Legault, Premier ministre du Québec, refuse toute renégociation de ce système lors du congrès de la Commission de la Relève de la Coalition Avenir Québec, jugeant que ce dernier constitue « un droit ».
En conflit avec les associations écologistes, il crée une « cellule de guerre » disposant d’un budget de 30 millions de dollars canadiens pour « répondre aux mensonges et à la désinformation qui circulent sur l’énergie albertaine. Nous contesterons chaque affirmation à l’aide de faits et de preuves ».
Considéré comme un proche des compagnies pétrolières, il donne son soutien à la construction de l’oléoduc Keystone XL par l’entreprise TC Énergie, auquel il octroie 7,5 milliards de dollars canadiens de fonds publics. Il profite par ailleurs de l’état d’urgence sanitaire provoqué par la pandémie de Covid-19 en 2020 pour exempter les compagnies pétrolières de leur obligation de déposer périodiquement des rapports environnementaux.
D’après l’économiste Éric Pineault, « c’est une décision plus politique qu’économique. TC Energy prend très peu de risques. Pour moi, le gouvernement de l’Alberta essaie d’envoyer un signal au gouvernement fédéral : “Le secteur a de l’avenir, il y a des investissements, soutenez-nous.” »
« Merci de tout cœur M. Boulianne, vos informations sont capitales pour ceux qui recherchent la vérité. »